Barthélemy Prosper Enfantin

Il a des obsèques uniquement civiles au Père Lachaise le 22 mai, sa famille était absente. Derrière son convoi se tiennent ceux qui iront développer sa doctrine jusqu’au délire : Olindes Rodriguès, Auguste Comte, Augustin Thierry et surtout Prosper Enfantin qui deviendra le maître d’oeuvre du saint -simonisme. La presse d’alors se fait l’écho de l’évènement : le Constitutionnel, le Courrier des Pays-Bas, le Globe. Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint Simon, né à Paris le 17 octobre 1760 et

saint-simonienne : continuité, ruptures 1) Saint-Simon et ses successeurs Rapidement: - Olinde Rodrigue : mathématicien, financier, économiste et réformateur social saint-simonien français - Barthélemy Prosper Enfantin: ecrivain, philosophe et entrepreneur, surnommé le ‘’pere Enfantin’’ - Saint-Amand Bazard: fondateur et dirigeant de la Charbonnerie française (=mouvement qui contribua à l'unification de l'Italie au milieu du xix HYPERLINK "http://fr.wikipedia.org/wiki/XIXe_siècle"

principalement Auguste Comte, Barthélemy Prosper Enfantin, Fourier… et probablement Lamennais, qui fut engagé dans la réflexion des catholiques. Cette période initia un grand nombre de mouvements de différentes natures : idéologies, utopies, qui donneront naissance par la suite aux grandes théories sur le libéralisme, ainsi qu'aux différentes formes de socialisme. Saint-Simonisme : continuation A la mort de Saint-Simon (1825), un polytechnicien, Barthélemy Prosper Enfantin reprend sa doctrine. Très

service des eaux, qui existe toujours [1]. Paris suivra en 1860. La création de la CGE découlait des idées saint-simoniennes et en particulier de celles de Prosper Enfantin, l'un des premiers administrateurs de la société, pour qui la création de réseaux était fondamentale au développement industriel et plus généralement au progrès de la société. Enfantin avait ainsi participé aux projets de création d'un canal à Suez ou de réseaux ferrés en France. Le succès boursier immédiat de la société Générale

partage des richesses, d’une aide apportée aux plus pauvres. Il est vrai cependant que le christianisme s’attache en dernier ressort à l’indigence “ spirituelle ” tandis que le socialisme se préoccupe davantage des besoins matériels. Barthélémy Prosper Enfantin essaya de mettre en pratique les idées de Saint-Simon. Sous la monarchie de Juillet, il crée une communauté de quarante membres, dans une grande maison à Ménilmontant, où il n’y a plus ni propriété privée, ni domestiques. Les disciples ont

famille n'était pas présente. Plusieurs de ses amis ou anciens amis étaient là : Olinde Rodrigues, Auguste Comte, Augustin Thierry, Barthélemy Prosper Enfantin. Le Dr Bailly et Léon Halévy prononcèrent chacun un discours. La presse se fit l'écho de l'événement, (le Constitutionnel, le Courrier des Pays-Bas, le Globe). Olinde Rodrigues réunit quelques amis et fonda, avec Enfantin, le journal le Producteur, journal philosophique de l'industrie, des sciences, et des Beaux-Arts.

Sous l'impulsion de l'un de ses principaux représentants, Barthélemy Prosper Enfantin, cette doctrine, au moment de son plus fort développement (vers 1830), prend la forme d'une secte. Après l'utopie (et la mort de Saint-Simon en 1825), les anciens militants, entrés dans les affaires, dans la politique et dans la presse, entreprennent de mettre en pratique les idées de leur jeunesse. Barthélemy Prosper Enfantin, avec son ami François Barthélemy Arlès-Dufour puis avec Ferdinand de Lesseps, sont les initiateurs

sur la philosophie des réseaux (La philosophie des réseaux est, selon le sociologue Pierre Musso, une doctrine philosophique conçue par Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon, développée par la suite par l'école saint-simonienne : Barthélemy Prosper Enfantin, Armand Bazard et Michel Chevalier...), sorte de pseudo-"religion" qui serait la résurgence de la philosophie de Saint-Simon (voir Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon), fondée sur le principe de gravitation (La gravitation est

la paix. Cette doctrine tient son nom de Claude Henri de Rouvroy, comte de Saint-Simon (1760-1825), cousin éloigné du célèbre mémorialiste Louis de Rouvroy, duc de Saint-Simon. Sous l'impulsion de l'un de ses principaux représentants, Barthélemy Prosper Enfantin, cette doctrine prit, au moment de son plus fort développement vers 1830, la forme d'une secte[1]. Le féminisme [modifier]En portant au cœur de sa doctrine la "question femme", le saint-simonisme participa au regain de féminisme qui se

Vieille Europe » embourbée dans sa routine. En revanche, l'Orient à justement ceci d'attirant qu'il est ce « levier qui permettra de faire sortir l'Europe de ses ornières » et qu'il est hypothétiquement le lieu des « révolutions à venir ». A Barthélémy Prosper Enfantin (Saint-Simonien clef sur lequel nous reviendrons dans notre troisième partie) d'ajouter que « l'expansion de l'Orient vers l'Occident est indispensable pour délivrer l'Occident du double fléau de l'apathie et de l'anarchie » stigmatisant