Bataille de l'Aisne

quelques modifications, le plan Schlieffen sembla tout d’abord fonctionner comme prévu. 3 Bataille des frontières L’incursion éclair en Belgique au début du mois d’août ne rencontra guère d’obstacles. L’armée belge abandonna les places fortes de Liège et de Namur et fit retraite dans la forteresse d’Anvers (15 août). Les Allemands poursuivirent leur avancée et battirent les Français lors de la bataille des Ardennes (22 août) et de Charleroi (21-23 août), puis une armée britannique à Mons (23 août)

Pailleterie, général d'armée ayant fait une brillante carrière pendant la Révolution française, et Marie Labouret, fille de Claude Labouret, aubergiste à l'Écu d'or à Villers-Cotterêts1. « Je suis lié à Villers-Cotterets, petite ville du département de l'Aisne, située sur la route de Paris à Laon, à deux cents pas de la rue de la Noue, où mourut Demoustiers, à deux lieues de la Ferté-Milon, où naquit Racine, et à sept lieues de Château-Thierry, où naquit la Fontaine2. » L'enfant a pour marraine sa sœur

les plus enragés, qui s'est signalé en 1815 en réclamant « des supplices, des fers, des bourreaux », tandis que le ministre de la Guerre, le général de Bourmont, est un ancien chouan rallié à Napoléon Ier avant de le trahir quelques jours avant la bataille de Waterloo. L'opposition pousse des clameurs indignées : « Coblentz, Waterloo, 1815 : voilà les trois principes, voilà les trois personnages du ministère. Tournez-le de quelque côté que vous voudrez, de tous les côtés il effraie, de tous les côtés

Narbonne - 76 : répression des Volques 3-2 : La guerre des Gaules - 58 : César bats les Helvètes à Bibracte - 58 : César se porte au secours des Eduens et des Séquanes menacés par les germains d'Arioviste. Bataille d'Alsace et défaite des Germains. - 57 : Campagne face aux Belges. Batailles de l'Aisne et de la sambre. - 56 : soulèvement des Vénètes. Victoire navale dans le golfe du Morbihan. - 55 : incursions germaines dans le nord de la Gaule. César bat à nouveau les Germains et franchit le Rhin. 

français juif que l'armée accuse d'espionnage alors qu'il n'est pas coupable, l'affaire divise les français. Il est finalement innocenté. 1905 : Loi de séparation entre l’Église et l’État. 1914 – 1918 : Première Guerre Mondiale : 1916 : Verdun, bataille meurtrière symbolique de la guerre des tranchées. 1917 : Révolution russe, coup d’État bolchevique dirigé par Lénine, il installe un régime communiste en Russie. 11 novembre 1918 : L'armistice de la Grande Guerre met fin à la guerre entre la France

Colonel Thomas. Nombreux sont les témoignages et les ouvrages qui relatent les exploits de cette magnifique unité qui va s'illustrer sans faille dans la totalité des combats, de la Sarre et le Luxembourg, dans chacune des grandes batailles de la campagne de France,Longwy,l'Aisne et l'Ailette,la Somme, enfin celles de la Seine de l'Eure, avant que les 4° hussards et 3° RAM ne soient envoyés au sacrifice dans les derniers combats de l'Orne et de la Mayenne, pour permettre aux dernières unités de la X° armée

refus belge de l’ultimatum apres invasion du Luxembourg (2 aout), All envahit la Belgique 3 aout 1914 : Belgique en etat de guerre 6 aout 1914 : RU entre en guerre aupres de l’Entente Chap 2 : La Guerre a l’Ouest premiere etrangete : champ de bataille surtout en France La mobilisation generale joie que dans les villes, souci dans les campagnes et pour les ouvriers (incomprehension et consternation) MAIS idee que France agressee, defense de la patrie, devoir envers la patrie Union sacree = Burgfrieden

Internationale. IV. L'échec de la guerre courte En août 1914, les États belligérants sont persuadés que la guerre sera achevée à l'automne. Le plan allemand, dit plan Schlieffen (du nom du chef d'état-major de 1892 à 1906), prévoyait, pour éviter une bataille sur deux fronts, d'envahir le nord de la France en violant la neutralité belge pour déborder l'armée française par le nord, de l'envelopper par un mouvement tournant et de l'anéantir en six semaines avant de se retourner contre la Russie, plus lente

les soldats à se mutiner (= à se révolter collectivement contre l’autorité). Au cours des combats, les soldats français devaient «monter sur le plateau» tenu par l’armée allemande. Ce plateau surplombe le village de Craonne, dans le département de l’Aisne en Picardie. Le Général Pétain, nommé au poste de général en chef des armées françaises en remplacement du Général Nivelle, parvient à rétablir la discipline en alliant condamnations à mort exemplaires et mesures d’amélioration des conditions de vie

France : retraite française ; les Allemands à Meaux ; Reims occupé ; Paris menacé. - 6 au 13 septembre : 1ère bataille de la Marne conduite par le général Joffre (taxis de la Marne) ; les Allemands reculent jusqu'à l'Aisne ; Reims, libérée restera sous le feu de l'artillerie allemande jusqu'en 1918. - 15 septembre / fin novembre : course à la mer ; extension du front jusqu'à la mer du Nord et bataille des Flandres. - Stabilisation du front sur 800 km de la mer du Nord à la frontière suisse ; une dizaine