Baudricourt

de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs, forteresse voisine de Domrémy. En ces temps de guerres, les illuminés pullulent et Baudricourt conseille Laxart de ramener sa nièce chez ses parents avec une bonne gifle. L'année suivante, les Anglais déferlent sur la Lorraine, Jeanne voit l'ennemi de près et doit se réfugier à Neufchâteau avec sa famille. Revenue à Vaucouleurs, sa personnalité ne passe pas inaperçu, elle rencontre même le duc de Lorraine. Face à une telle détermination, Baudricourt, sceptique

femmes et enfants ; pas un, je crois, n’échappa. Dieu reçoive leurs âmes, s’il lui plaît, dans son paradis ! » (Chanson de la croisade albigeoise, laisse 21), «  Va, va et advienne que pourra ! » (parole adressée à Jeanne d’Arc par Robert de Baudricourt), « Grâces au ciel mes mains ne sont point criminelles. Plût aux dieux que mon cœur fût innocent comme elles ! » (Racine, Phèdre, Acte I, scène 3), « Qu’on aille sonner pour elle, et qu’on l’ensevelisse » , « Tous les Princes vinrent à Villers-Cotterêts

sombre quand Jeanne d’Arc décida d’agir et d’aller à la rencontre de Robert de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs. L’accueil qu’elle y reçu fut plutôt froid et Baudricourt lui ordonna de rentrer chez elle. Comment prendre au sérieux une jeune femme aussi jeune qui disait vouloir aider le Dauphin Charles VII à s’emparer du trône pour sauver le royaume de France ? Plus tard, Jeanne insista en affirmant à Baudricourt que sa venue était annoncée par une prophétie locale disant que la France, perdue

à l'église pour prier. Alors qu'elle a 13 ans, elle raconte entendre des voix de saintes et d'archanges. À 16 ans, Jeanne d'Arc se met en route. Elle demande à s’enrôler dans l'armée médiévale du Dauphin. Après deux rejets successifs, Robert de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs, finit par accepter de lui confier une escorte jusqu'à Chinon.  Au début du XVe siècle, cette jeune fille de dix-sept ans d'origine paysanne prétendant avoir reçu de la part des Saints Michel, Marguerite et Catherine la

Sainte Catherine et Sainte Marguerite. 2 Ces voix lui ordonnent de chasser les Anglais hors de France en libérant la ville d’Orléans assiégée et de venir en aide au roi de France. 3 Quatre ans plus tard, elle demande à Robert de Baudricourt, capitaine de la ville de Vaucouleurs, près de Domrémy, de l’aider à accomplir cette mission. La 1ère fois, il prend Jeanne pour une folle. Finalement, il se laisse convaincre et elle part accompagnée d’une escorte rejoindre le roi à Chinon

d’Arc : Jeanne d’arc dit la pucelle d’Orléans, héroïne française, née à Domrémy (1412-1431). Elle appartenait à une famille de paysans. Très pieuse, elle des voix qui l’engageait à délivrer la France, ravagé par l’invasion anglaise. Robert de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs, ne voulu pas d’abord déféré à son désir d’être conduite auprès de Charles VII ; il n’y consentit qu’à l’époque du siège d’Orléans (1429). Jeanne vit le roi de France à, Chinon, réussit à le convaincre de sa mission, fut

ramener le Dauphin sur le trône et de libérer la France de la présence anglaise. Elle résista pendant quatre ans avant de répondre à cet appel.   Obéissant aux voix qu’elle entendait, Jeanne part à Vaucouleurs pour rencontrer le capitaine Robert de Baudricourt, le représentant du dauphin Charles. Elle le convainc de l’aider à obtenir une audience auprès du Dauphin. Une prophétie (que beaucoup connaissaient) annonçait qu'une vierge provenant des marches de Lorraine sauverait le royaume perdu. Jeanne d’Arc

lui auraient exigé de ramener Charles VII sur le trône et de libérer la France de la possession anglaise. Après quatre ans de résistance, elle obéis aux voix et part à Vaucouleurs. Le but de ce départ était de rencontrer le capitaine Robert de Baudricourt et le convaincre à la présenter au Dauphin. Jeanne d’Arc part à la rencontre de Charles VII Chinon. Elle parle au Dauphin des voix qu’elle entend. Charles décide de faire subir à cette jeune fille un interrogatoire. Les autorités religeuses côntrolent

de faire sacrer le dauphin futur Charles VII roi de France à Reims. En mai 1428 elle va trouver le représentant du roi à Vaucouleurs, le capitaine Robert de Baudricourt, qui la traite de folle et la renvoie chez elle. Le 12 février 1429, elle fait une nouvelle tentative auprès de Baudricourt. Sous la pression de partisans de Jeanne Baudricourt cède. Il lui accorde une escorte armée. En onze jours la petite troupe, partie le 13 février de Vaucouleurs par la porte de France, arrive à Chinon, résidence

Robert de Baudricourt, capitaine de Vaucouleurs, forteresse voisine de Domrémy. En ces temps de guerres, les illuminés pullulent et Baudricourt conseille Laxart de ramener sa nièce chez ses parents avec une bonne gifle. L'année suivante, les Anglais déferlent sur la Lorraine, Jeanne voit l'ennemi de près et doit se réfugier à Neufchâteau avec sa famille. Revenue à Vaucouleurs, sa personnalité ne passe pas inaperçu, elle rencontre même le duc de Lorraine. Face à une telle détermination, Baudricourt, sceptique