Bennecourt

représentent les espoirs, l'idéal de Claude. Cette phase euphorique se termine avec l'échec de Plein air au Salon des Refusés. Le chapitre 6 constitue une parenthèse. Claude, ulcéré par les critiques, fait retraite dans son nid d'amour à la campagne, à Bennecourt, en bordure de Seine. Après la période de "lune de miel", Claude finit par s'y ennuyer et rentre à Paris au bout de 3 ans. Suivent 4 chapitres (7 à 10) et dix années de lutte avec des alternances d'espoir, d'enthousiasme, de découragement, de

Intro - 14° de la série des Rougon-Macquart - son projet : écrire l'histoire naturelle et sociale d'une famille sous le second empire. - respecte la loi de l'hérédité liée au naturalisme - situation : sur un coup de tête, Christine quitte Mme Vanzade chez laquelle elle travaillait comme dame de compagnique, pour s'intaller à la campagne avec Claude. Le texte de situe au milieu du roman, évoque un bonheur plein et complet. Seul moment de bonheur du roman car il n'est pas question de peinture

atelier, ils s’installent dans un petit village « BENNECOURT », ils profitent de leur vie de couple insouciants, Claude ne cherche plus à peindre ? Lorsque Christine attend un enfant, leur vie basscule, Christine se sent plus amante que maman, elle a du mal à s’occuper correctement de son fils Jacques. Claude se remet à la peinture et l’hiver il retourne à Paris pour vendre quelques tableaux, mais il n’ose pas voir ses amis. Dans la campagne de BENNECOURT, il revoit DUBUCHE qui est accueilli par la famille

air VI Bennecourt Juin 1863-octobre 1866 Lune de miel - Naissance de Jacques - Ennui VII Paris (rue de Douai) novembre 1866 Retrouvailles - 2ème réception chez Sandoz VIII Paris novembre66 - décembre 69 Déchéance-Misère-Mariage avec Christine IX Paris (rue Tourlaque ; Montmartre) décembre 69 - mars 76 Mort de Jacques - L'Enfant mort au Salon X Paris Salon de 1876 Claude admis par "charité" au Salon officiel n'obtient aucun succès XI Paris-Bennecourt novembre 1876 Pélerinage à Bennecourt - 3ème

donnera de nouveau l’espoir de pouvoir reprendre sa place de chef au sein du groupe d’artiste. Analyse de texte Partie 1 : "le soir, […] lâché avec des rires de soulagement" Le chapitre démarre avec l'escapade de Christine et Claude à Bennecourt, et c'est là que pour la première fois ils voient la maison qui leur servira d'havre de paix. Le soleil au zénith lors de cette escapade représente l'apogée de leur relation amoureuse souligné par leur désir de s'exiler pour vivre leur amour au

autres amis Pavillon de la Concorde Un peu plus tard Tous se retrouvent dans un café et reprennent les discussions qu’ils en ont l’habitude Claude et Christine Chez Claude Le soir Christine vient réconforter Claude / une nuit d’amour Chapitre 6 " Bennecourt Fin juin 1863 Lune de miel de Claude et Christine " " Milieu du mois de février 1863 Naissance de Jacques Claude, Christine et Jacques " Un soir de fin octobre 1866 Après une longue période de tristesse, d’angoisse de Claude, il s’emporte sur

narratif Les chapitres 1 à 5 parlent des espoirs, des idéaux de Claude. Cela se termine avec l'échec de Plein air lorsque le tableau fut refusé. Le chapitre qui suit constitue une certaine parenthèse. Claude, blessé par les critiques, part à Bennecourt, en bordure de Seine avec Christine. Ensuite, après une période de calme, de paix, Claude finit par s'y ennuyer et rentre à Paris au bout de 3 ans. Dans les chapitres 7 à 10 sont décrites dix années de lutte avec parfois des zones d'espoir, d'enthousiasme

|Christine | |V |Paris |15 mai 1863 |Le Salon des Refusés ; échec public de Plein Air | |VI |Bennecourt |Juin 1863-octobre 1866 |Lune de miel ; naissance de Jacques ; ennui de | | | | |Claude

bonheur c'est de vivre avec Claude, de s'aimer. Pour elle vivre c'est s'aimer. On a aussi « aux bras l'un de l'autre ». C'est une référence aux premiers temps de leur liaison a Bennecourt avant que Paris ne revienne hanté le peintre. On a deux impératifs : « rappelle-toi » : elle lui demande de se plonger dans le passé. Bennecourt comme symbole de leur amour, de leur bonheur passé. Cela montre bien qu'elle vit dans le passé et qu'elle est mélancolique de ce bonheur autrefois présent et exprimé par leur

l’atelier, Christine qui l’attendait se donne à lui au cours d’une nuit de noces qui les laisse « anéantis ». Chapitre VI Sandoz entame un vaste cycle romanesque. Dubuche fait un riche mariage. Les deux amants quittent Paris et s’installent à Bennecourt, le long de la Seine après Mantes. Christine accouche d’un fils hydrocéphale, Jacques. Ils demeurent à la campagne jusqu’à l’hiver 1866. Passé les premières années de bonheur ou Claude délaisse la peinture, le séjour s’achève dans l’amertume d’une