Bouddhisme hīnayāna

être cher (mort, séparation, encore faut-il être en vaille de peine) * Lorsque la souffrance vient de Dieu (dans certaine religion, la souffrance a un rôle de rédemption) * Catholicisme : la souffrance fait partie de l’être humain * Bouddhisme : l’être est un être de souffrance puisqu’il désire. Il faut arriver à supprimer le désir pour supprimer toute souffrance. On atteint alors la pureté qui permet la compréhension grâle du monde * Protestants : la souffrance vient de l’absence

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finalité. L’Homme n’est qu’un jouet inconscient, esclave de son vouloir-vivre, vouloir-vivre qui devient le désir. Selon Schopenhauer il faut également renoncer à transmettre la vie car c’est transmettre l’illusion du bonheur. Il se rapproche du bouddhisme car la seule délivrance est la négation du vouloir-vivre (donc du désir) dans la non-volonté. Comment renoncer au désir ? Il faut tendre vers l’ascétisme car seul l’ascète a vaincu l’égoïsme dans le renoncement aux désirs et le choix de la mortification

LE BOUDDHISME UNE PHILOSOPHIE DE VIE UNE INTRODUCTION AU BOUDDHISME DE NICHIREN ET À LA SOKA GAKKAI INTERNATIONALE LE BOUDDHISME UNE PHILOSOPHIE DE VIE UNE INTRODUCTION AU BOUDDHISME DE NICHIREN ET À LA SOKA GAKKAI INTERNATIONALE SGI du Canada Publié par la SGI du Canada 2050, Dufferin Street Toronto, Ontario M6E 3R6 Copyright © 2004 © 2008 pour la traduction française Association de la Soka Gakkai internationale du Canada Tous droits réservés Imprimé au Canada La production de

LES RELIGIONS DANS LE MONDE CHRISTIANISME – ISLAM – BOUDDHISME – HINDOUISME – JUDAÏSME – SIKHISME – LES RELIGIONS TRADITIONNELLES – 1. HINDOUHISME • VÉDA (qui veut dire savoir) : Livres sacrés (4) • Forme de Dieu : chaque chose est une part de Dieu • Trio de divinités : >> BRAHMA (créateur du monde) • >> SHIVA (destructeur du monde) • >> VISHNOU (conservateur du monde) • PUJA : le culte Hindou • Les rivières sont des lieux sacrés (le Gange étant le plus célèbre). • Animal

mandarins, chargés d’écrire les ouvrages, pour la Famille Impériale ont une éducation semblable à celle des scribes, quoique bien plus rigoureuse car leur sélection était basé sur un examen extrêmement difficile : les examens Impériaux. En Inde, Le bouddhisme a développé une certaine forme d’enseignement accessible à tous. Les jingshi(prêtres) psalmodiaient les textes sacrés, sûtra*, de ville en ville en compagnie d’un répétiteur qui était chargé de traduire et d’expliquer ces sûtra. En Grèce antique

Rencontre avec le Bouddhisme Zen (« Zen » : « Montagne » en chinois). Pour définir le « zen » on utilise un paradoxe : philosophie qui veut dire que l'on agit pas dans l'action. Il se décline dans l'action suivante :  « c'est le plein du vide ». La pratique du zen c'est la contemplation méditative et de la vérité absolue. C'est une saisie de l'intérieur et non de l'extérieur. L'enseignement du zen se fournit passe par le silence. Cet enseignement se fait par le bouddhisme. Le bouddhisme est une philosophie

18ème siècle, l'empire connaît son extension maximale (Tibet, Mongolie Corée, Indochine). Dans l'Asie sinisée qui correspond en gros à l'Asie orientale sont diffusés l'écriture idéographique, des modèles urbains, la baguette, le confucianisme, le bouddhisme Mahayana " Grand véhicule ". Lorsqu'elle devient communiste en 49, elle entend son nouveau modèle en Asie ( VietNam, Corée du Nord, Laos) L'émigration chinoise. Certains la qualifie de diaspora mais le terme est impropre. Cette émigration représenterait

au sud de Bagdad-, en Assyrie puis en Perse), muezzin (chez les musulmans celui qui monte au minaret pour appeler les hommes à la prière), mufti (expert en droit musulman), pasteur, pontife, pope, prélat, rabbin, sorcier. ( Religions d’Orient : bouddhisme, brahmanisme, hindouisme, jaïnisme[1], tantrisme, védisme, manichéisme, mazdéisme, confucianisme, shintoïsme, taoïsme. 2) Pourquoi étudions-nous les religions dans leur ensemble et non pas une religion en particulier ? 3) Existent-ils

même les désirs réalisés. Désirer est en soi un acte répréhensible, en référence aux sept péchés capitaux. Penser au désir, penser à ce que nous serions susceptibles de désirer peut-être source de péché (Christianisme) et de souffrance (Hindouisme, Bouddhisme). Seul subsisterait le désir de proximité avec le divin et la volonté de se conformer à ses attentes. La multiplicité des désirs éloignerait l’homme de Dieu et le rendrait vulnérable à toutes sortes d’émotions et de sentiments négatifs tels que