Brionne

16 septembre 2005, M. X a remis volontairement ses clés de son véhicule Peugeot 206 à M. Y qui n’était pas en possession d’un permis de conduire. En raison que M. Y était sous l’emprise de l’alcool avec un taux de 2,31 grammes d’alcool, les frères Brion on décidés de prendre place dans le véhicule pour exercer surveillance sur M. Y. Durant le trajet, un accident se réalise et produit la mort de M. Y. M. X a été poursuivi devant le tribunal correctionnel pour homicide involontaire et complicité

traduisent l’épaisseur symbolique des personnages et de leurs destinées. Tout au long du parcours des extraits de film, de nombreux passages du roman à lire ou à entendre, donnent au texte sa juste place. Aux toutes premières illustrations de Brion, aux peintures du XIXe siècle de Boilly, Delacroix, Carrière, Corot, Courbet, Géricault, Millet, Moreau, aux dessins et gravures de Doré, Gavarni, aux photographies de Bacot, Humbert de Molard et O. Rejlander, répondent des œuvres modernes et contemporaines

D O S S I E R* Innovation : exploiter ou explorer ? sous la direction de Caroline Mothe Sébastien Brion * Ce dossier spécial a été conçu lors de la préparation de la journée transdisciplinaire de recherche qui a eu lieu à l’IREGE, Institut de management de l’université de Savoie, le 26 septembre 2008 et qui a reçu le soutien de l’AIMS et de l’AGRH. Pour cette journée, 38 communications ont été reçues. Parmi elles, 19 ont été retenues pour présentation lors du colloque. Les 6 articles présentés

travaille comme dessinateur de mode dans la ville avant de tenter sa chance à New York en 1911, où il se fait vite remarquer pour ses portraits mondains qu’ils présentent même dans sa première exposition personnelle à la galerie Knoedler en 1917. (Brion, 1970, p. 4454) Cependant, afin d’explorer des horizons plus personnels, il abandonne le tout afin de se consacrer vers des recherches picturales dans lesquelles il mûrira tout au long de sa carrière. C’est en 1918 qu’il se conforme au bahaïsme, une

Maromme Roselyne PREVOTS (3.4 k€) Bernay Christine GUYOT (1.5 k€) Brionne Marie Ange THUMELIN (1.6 k€ ) Brionne Rouen : Jean-Pierre LEGRAND—02 32 18 43 14 Sotteville-Lès-Rouen : Didier LECOMTE—02 32 81 52 35 GROUPEMENT LITTORAL: Vincent DUPONT Dieppe : Christophe MICHEL—02 35 06 99 81 Yvetot : Christine DUVAL—06 85 93 24 60 GROUPEMENT EURE : Isabelle HERPIN Bernay : Jacky FORCHER—03 32 45 65 14 Brionne : Sylvain GUILBERT—02 32 41 89 85 Evreux : Nadine CHAERLES– 02 32 23 45

anticipation donation de son palais à Louis XIII, ce qu’il confirme avant sa mort qui survient au palais en 1642 : il le lègue en effet au roi et à ses héritiers directs, exception faite de la Capitainerie, ou Conciergerie qui deviendra ensuite le palais Brion (emplacement du Théâtre-Français). En 1643, devenue régente s’installe au palais avec ses deux fils, Louis XIV (5 ans) et Philippe d’Orléans (3 ans). Il devient alors le Palais-Royal. Par la suite, le cardinal Mazarin acquiert l’hôtel Tubeuf (bibliothèque

dans les assemblées élues inclus Hélène Brion et Hubertine Auclert. Elles étaient parmi les seules voix entendues au sujet de cette idée de la parité. Dès 1885, Auclert a exprimé son doute sur la capacité du suffrage (tout seul) pour créer l'égalité dans la société et suggéré qu'il y ait un nombre égal d'hommes et de femmes dans les assemblées dans le but de mieux garantir cette égalité à la suite de la réalisation du suffrage. Monette Thomas et Hélène Brion ont proposé des idées similaires au cours

sommeil, de se perdre en lui, de devenir fou, qui nous fait craindre le moment du coucher. Une peur familière à Baudelaire : « J’ai peur du sommeil comme on a peur d’un grand trou tout plein de vagues horreurs venant d’on ne sait où », avouait-il. Agnès Brion, psychiatre au Centre du sommeil à la Pitié-Salpêtrière, attribue cette panique à l’action des pulsions de mort qui, selon la théorie freudienne, mènent dans l’inconscient un incessant combat contre la pulsion de vie… Si les pannes de l’âge adulte

que j'ai vu de toute ma vie. Le pire est le vieux Coop piétinant son étoile de shérif. Je n'ai jamais regretté d'avoir aidé à chasser Foreman du pays. Je lui ai dit qu'à mon avis, il avait considérablement terni la réputation de Gary Cooper." (P. Brion, Cinéma : le western, Genève, Liber, 1996, p. 84)- Le film fut un grand succès en France. Il cumula (de 1952 à 1999), 5 744 243 spectateurs, dont 1 507 404 à Paris, se classant ainsi 6ème plus gros succès de l'année 1952.- La chanson Si toi aussi tu

Après lui avoir rendu visite, le sculpteur David d'Angers notait : « Voilà un homme qui a découvert la tragédie du paysage.   »     Il échange de nombreuses lettres avec Carus sur ce thème du paysage (dont une sélection a été publiée en 1983 par M. Brion). Friedrich ne fut pas, de son vivant, un artiste méconnu : en 1817, il devient membre de l'Académie de Dresde ; les milieux romantiques l'admirent, il a de nombreux et illustres amis comme le peintre norvégien Dahl, qui vit à Dresde, mais il mène