Bucarest

[précurseur des Lumières, dans son œuvre La Tziganiade], Urmuz [qu'Eugène Ionesco appelait « un surréaliste avant la lettre »], Tristan Tzara [revendiqué comme « père du surréalisme », car fondateur du dadaïsme, ce qui avait poussé André Breton à appeler Bucarest « la capitale du surréalisme »], Eugène Ionesco [le fondateur du théâtre de l'absurde], Gherasim Luca [que le philosophe français Gilles Deleuze considérait, en 1977, comme « le plus grand poète français »], Emile Cioran [unanimement reconnu comme

grand épanouissement, bon souvenir 1919-1922 Habite à Paris avec sa sœur Mai 1922 Mère les renvoit en Roumanie faute de moyens financiers FRANCE A LA ROUMANIE : Mai 1922 Apprend le roumain, va au collège Bucarest 1926 Violente dispute avec son père, retourne vivre avec sa mère à Bucarest 1928 Bac au lycée / Poème dans la revue quotidienne « Billets du Perroquet » 1930 1er article dans la revue « Zodiaque » Connaissance de sa future femme (philo) 1931 Elégie pour des êtres minuscules (poèmes

chargés de l’atentat de Duca ont été Constantinescu , Belimace et Caramica . Pour garantir la reussite on a du impliquer aussi le chef des gardes , Virgl Ionescu . Son assassinat a été très bien pensé , ils ont decidé de le tuer à son retour à Bucarest . L’audience avec le roi était prévu pour deux heures , entre 1600 et 1800 , et son retour dans la capitale était prévu pour 1915 , avec un retard 1955 . La voiture qui devait attendre le prime - ministre s’est arreté un peu plus loin de la station

une œuvre à la mémoire des morts de la 1ère guerre (mémorial). Vie du créateur : Constantin Brancusi est né le 17 février 1876 à Hobita en Roumanie. Dès 1894, il assiste de manière occasionnelle aux classes de l'école des Beaux-Arts de Craiova, Bucarest, Vienne, Munich et Paris, tout en travaillant comme charpentier. En 1907, il travaille brièvement dans l'atelier de Rodin (sculpteur) à Meudon. Il commence alors à développer son propre style, en se basant sur les traditions roumaines, le primitivisme

vaillamment battue l’été 1917 et enregistra de lourdes pertes. Les années suivantes sous le régime du roi Ferdinand, une nouvelle constitution fut acceptée. Ce furent les meilleures années de la Roumanie moderne. L’industrie du pétrole se développa et Bucarest fut surnommé le petit Paris. Après l’agression soviétique de 1940, la Roumanie entra dans la seconde guerre mondiale au côté des allemands. En Août 1940, le roi Michaël fit arrêter le chef des armées, Maishal Ion Antonescu et mis la Roumanie

Né en 1849 à Tonnerre (Bourgogne), il quitte la France en 1872 et s’établie à Bucarest, où il avait une sœur épousée Polizu. Dans la capitale de la Valachie il a fondé le premier journal de langue française pour l'espace culturel roumain. Il apprend le roumain très facilement, donc il devient capable d’écrire aussi en roumain comme en français. Mais sa contribution culturelle de référence est la monographie "Bucarest en 1906", publiée l'année suivante, qui est aussi l'année du décès de l'auteur

émigre à Paris où le père veut passer un doctorat. Quand, en 1916, la Roumanie déclare la guerre à l'Allemagne et à l'Autriche-Hongrie, le père revient au pays, coupant rapidement tous les liens avec sa famille qui le croira mort à la guerre ; à Bucarest, il obtient le divorce et se remarie. Restés à Paris, Ionesco et sa jeune sœur Marilina sont élevés par leur mère qui les fait vivre comme elle peut, grâce à des travaux occasionnels et à l'aide de leur famille française. Eugène est placé dans

en Roumanie sur un réseau ramifié d’institutions : l’Institut français de Roumanie, avec trois antennes en province (Cluj-Napoca, Iasi, Timisoara), cinq Alliances françaises (Brasov, Constantza, Craiova, Pitesti, Ploiesti) et le Lycée français de Bucarest "Anna de Noailles", à qui le gouvernement roumain a attribué à titre gratuit un terrain pour la construction d’un nouvel établissement, qui devrait être inauguré en juin 2013. Ce dispositif est complété par des sections bilingues dans l’enseignement

famille émigre à Paris où le père veut passer un doctorat. Quand, en 1916, la Roumanie déclare la guerre à l'Allemagne et à l'Autriche-Hongrie, le père revient au pays, coupant rapidement tous les liens avec sa famille qui le croira mort à la guerre; à Bucarest, il obtient le divorce et se remarie. Restés a Paris, Ionesco et sa jeune sœur Marilina sont élevés par leur mère qui les fait vivre comme elle peut, grâce à des travaux occasionnels et à l'aide de leur famille française. Eugène est placé dans

Né à Slatina (à Bucarest) d'un père roumain, Eugène Ionesco passa son enfance en France, avant de retourner en Roumanie (1925-1938). Diplômé de l'université de Bucarest, il enseigna le français, tout en écrivant des articles pour des revues littéraires. En 1939, il se fixa définitivement en France, patrie de sa mère. Auteur de critiques, il se tourna vers le drame en 1948, parodiant dans ses premières pièces le théâtre de boulevard. Il rejeta d'emblée le réalisme en faveur de l'absurde, démontrant