Capitoul

d'époque © "Grandes erreurs judiciaires"/Prat Editions Les faits Le 13 octobre 1761, Jean Calas, marchand lingier protestant, retrouve l'un de ses enfants, Marc-Antoine, mort étranglé dans la maison familiale, rue des Filatiers à Toulouse. Le capitoul (officier municipal) David de Beaudrigue est chargé de l'enquête. Il interroge Jean Calas, son fils Pierre ainsi que Gaubert de Lavaisse, invité le soir du drame. Ces derniers donnent des indications vagues sur les circonstances dans lesquelles le

donné cet instant -Voltaire et « L??affaire Calas » Les faits Le 13 octobre 1761, Jean Calas, marchand lingier protestant, retrouve l'un de ses enfants, Marc-Antoine, mort étranglé dans la maison familiale, rue des Filatiers à Toulouse. Le capitoul (officier municipal) David de Beaudrigue est chargé de l'enquête. Il interroge Jean Calas, son fils Pierre ainsi que Gaubert de Lavaisse, invité le soir du drame. Ces derniers donnent des indications vagues sur les circonstances dans lesquelles le

enquête posthume et prend à partie l'opinion publique. Les faits Le 13 octobre 1761, Jean Calas, marchand lingier protestant, retrouve l'un de ses enfants, Marc-Antoine, mort étranglé dans la maison familiale, rue des Filatiers à Toulouse. Le capitoul (officier municipal) David de Beaudrigue est chargé de l'enquête. Il interroge Jean Calas, son fils Pierre ainsi que Gaubert de Lavaisse, invité le soir du drame. Ces derniers donnent des indications vagues sur les circonstances dans lesquelles le

l'intendant du Languedoc faisant état de la mauvaise volonté de Jean Calas à subvenir aux besoins de son fils Louis, qui ne vit plus sous le toit familial. 13-14 octobre 1761 : Marc-Antoine Calas est trouvé étranglé au rez de chaussée de la maison. Le capitoul David de Beaudrigue mène l'enquête. Il est peut-être vite influencé par la rumeur attribuant le meurtre à la fureur de Jean Calas, motivée par une prochaine conversion de son fils au catholicisme. 15 octobre 1761 : Interrogatoire sur écrou de Jean

mal vu à l'époque et les suicidés subissaient des obsèques honteuses, son père décide de le maquiller en meurtre. Jean Calas n'indique pas tout de suite aux autorités les circonstances de la mort de son fils et prétend l'avoir trouvé étranglé. Le capitoul (magistrat de la ville de Toulouse), David de BEAUDRIGUE, s'empare de l'affaire et interroge le voisinage. Le procès s'ouvre, les voisins affirment que Marc Antoine voulait se convertir au catholicisme mais que son père s'y opposait. Sous la torture

bouscule la tyrannie du si charmant siècle de Louis XV. Les faits Le 13 octobre 1761, Jean Calas, marchand lingier protestant, retrouve l'un de ses enfants, Marc-Antoine, mort étranglé dans la maison familiale, rue des Filatiers à Toulouse. Le capitoul (officier municipal) David de Beaudrigue est chargé de l'enquête. Il interroge Jean Calas, son fils Pierre ainsi que Gaubert de Lavaisse, invité le soir du drame. Ces derniers donnent des indications vagues sur les circonstances dans lesquelles le

de l’hérésie cathare ▲ Annales de Toulouse, 1296, Archives municipales de Toulouse ◄ Jean-Paul Laurens, La défense de Toulouse, 1895, salle des Illustres, Hôtel de ville de Toulouse Doc. ‡ Š Le Comte Alphonse Jourdain octroie Doc.  Š Les Capitouls, membres du Conseil des droits aux Toulousains („‡) municipal de Toulouse « Qu’il soit connu de tous, présents et à venir, qui entendront cette charte, que moi Alphonse, comte de Toulouse, je dis, concède et reconnais n’avoir plus droit de queste1

subvenir | |aux besoins de son fils Louis, qui ne vit plus sous le toit familial. | |13-14 octobre 1761 : Marc-Antoine Calas est trouvé étranglé au rez de chaussée de la maison. Le capitoul David de Beaudrigue mène | |l'enquête. Il est peut-être vite influencé par la rumeur attribuant le meurtre à la fureur de Jean Calas, motivée par une prochaine | |conversion de son fils au catholicisme.

certifiant qu'il s'agit d'un suicide déguisé en assassinat. Les avis sont partagés mais les juges décident de donner tout d'abord raison à la famille Calas.Marc-Antoine est déclaré martyr et est enterré selon le rite catholique. 18/11/1761 Les capitouls affirment que Jean, Pierre, Rose Calas et Jeanne Viguière la servante, sont coupables. Jean Calas,sa femme et son fils Pierre sont soumis à la question tandis que Jeanne Viguière est mise au cachot. Ceux-ci décident de faire appel devant le juge

En effet des étudiants universitaires causèrent scandale et trouble à l'ordre public, tout le peuple ce plaignait d'eux, alors le capitoul François de Gaure arrêta l'un des universitaire, le plus turbulent, Aymeri Béranger(attaché aux frères de Penne), mais celui-ci résista et défigura de Gaure et un garde de nuit à coups de poignard. En représailles les capitouls capturèrent les frères Penne ainsi que Béranger et d'un certain nombre d’ecclésiastiques, trente personnes en tout. Le Capitoulat ignora