Carl Rogers

d’entretien est de Carl Rogers (psychologue américain). Communément appelé méthode rogerienne, elle est basée sur la non directivité de l’entretien c’est-à-dire au cours de l’entretien, on laisse librement l’interlocuteur s’exprimer, tout est centré sur lui. Les questions posées sont justes des questions d’approfondissement de points et de recentrage de l’entretien. En outre, l’accent est mis sur la capacité du sujet à trouver, par lui-même les solutions à son problème. L’aidé, comme le dit Rogers, choisit

demande intérieurement ce qu’elle veut.(réflexion interne) Je me baisse un peu afin d’être à la même hauteur qu’elle, et je lui demande ce qu’elle veut avec bienveillance (la congruence entre mes pensées et mes propos référence aux concepts de Carl Rogers ) en la regardant dans les yeux et face à elle : attitude d’écoute active pour lui montrer que je suis disponible, prête à lui accorder toute mon attention(considération positive, empathie concepts de ROOGERS), attitude facilitant l’échange, la

toute l’importance de l’accueil de l’usager, mais également une attitude de non jugement et de non directivité. La conduite du professionnel doit être régie par le souci de comprendre la situation avec authenticité et empathie. Par authenticité, Carl ROGERS entend la capacité à être soi-même, libre et sans façade en adoptant une attitude de vérité. Quant à l’empathie, c’est la capacité de comprendre les émotions et sentiments de l’Autre sans être parasité par un état affectif ou émotionnel.

non défensif pour le thérapeute et cohérant dans sa progression, c'est-à-dire, tenant compte des contraintes ou contradictions qui s’exercent sur le terrain. Cette centration sur l’autre suppose de pouvoir proposer les attitudes suivantes (selon Carl Rogers) : - Une attitude d’intérêt ouvert, une manière d’être et de faire qui soit un encouragement continu à l’expression spontanée d’autrui - Une attitude de non jugement (accueillir ce qui vient sans critiquer, sans évaluer, sans conseiller)

comme Rousseau, l’enseignante doit prendre l’enfant dans sa spécificité et faciliter son intégration dans la société tout en laissant sa nature profonde authentique s’exprimer en toute liberté. Mais en opposition avec la pédagogie non directive de Carl Rogers qui nie la nécessité d’une relation d’autorité, l’enseignante se doit de guider l’enfant en respectant son rythme et non lui imposer un contenu n’ayant aucune signification pour lui, et c’est en faisant preuve d’empathie et d’effacement que le maitre

anglais, l’autoformation, l’auto développement, il s’épanouie dans la seconde moitié du XIX e siècle, précisément en 1942,avec son fondateur, le père de l’apprentissage qui a su comment transposer une théorie de la psychologie à l’apprentissage ;Carl Rogers, illustrée par le slogan « il est interdit d’interdire »,en mettant en évidence : la créativité, la socialisation, et la liberté, caractérisée par une panoplie de notion :la congruence, le respect inconditionnel, l’empathie et le fait d’être centré

la motivation, souvent résumées abusivement à une simple pyramide dont il faudrait monter les degrés les uns après les autres pour atteindre la pleine satisfaction. Pour les psychothérapeutes, c’est l’initiateur de la psychologie humaniste, avec Carl Rogers en particulier. D’autres psychologues voient encore en lui la figure de proue de la psychologie transpersonnelle — cette branche de la psychologie qui dépasse ce qui concerne strictement la personnalité pour s’intéresser à la dimension spirituelle

Synthèse de l’ouvrage : Objet – Idées principales – Courants théoriques de référence Références et/ou extraits significatifs : préciser les numéros de pages il s'agit d'une déconstruction empirique de l'entretien non-directive initié par carl Rogers de l'entretien non-directif au service de l’entretien en face-à-face. L'ouvrage décrit en détail les méthodes pour réaliser un bon entretien. Dans le : 1. chapitre 1 définitions et indicateurs de l'entretien d'aide 2. chapitre 2 savoir

EXTRAITS DE CARL ROGERS I. CE QU’EST UNE RELATION D’AIDE II. LES TROIS CONDITIONS DE LA RELATION D’AIDE III. EFFICACITE DE L’ECOUTE ROGERIENNE ET EVOLUTION DU CLIENT IV. UNE VISION DE L’HOMME Les phrases dont la référence n'est pas donnée sont tirées du livre de Carl ROGERS : LE DEVELOPPEMENT DE LA PERSONNE (Dunod, 1966). Nous vous invitons à lire cet ouvrage. Le fait que des extraits de ce livre soient placés sur ce site ne signifie pas que nous soyons d’accord avec tout ce que Carl Rogers a écrit

La relation d’aide Carl Rogers était un psychothérapeute qui a étudié les relations entre un soignant, un étudiant et un patient. « Le développement de la personne » L’intérêt que je porte à la psychothérapie m’a conduit à m’intéresser à tous les genres de relation d’aide ». * Définition de la relation d’aide On entend par relation d’aide lorsqu’un des deux protagonistes essaye d’amené chez l’autre un changement, une maturité, un meilleure fonctionnement. Une telle définition recouvre