Carthage

(capital de l'Empire Romain) et Carthage ( cité portuaire située sur la côte de l’actuelle Tunisie. ) vont s’affronter pendant 3 guerres dut à des conflits d'intérêts entre les deux empires, ce sont les guerres puniques: Les Romains appelaient les Carthaginois Poeni, rappelant ainsi leurs racines phéniciennes, d'où l'origine du mot "punique". La première guerre punique (264 à 241 avant JC) La raison de cette guerre est que les Romains constatent que Carthage dispose d'une avance considérable:

seconde guerre punique prend une place prépondérante, mettant en scène les deux plus puissants empires méditerranéens, Carthage et Rome. Durant ce conflit, la Sicile et plus précisément la cité de Syracuse est l’objet de toute les convoitises notamment en raison de sa position géographique entre la péninsule italienne aux mains des Romains et de l'Afrique du nord, contrôlée par Carthage, la Sicile fut un enjeu majeur entre les deux puissances. Soucieux de cette place forte Carthaginoise, Rome décide

de parcelle de terrain Après Première guerre de Punic, Carthage ne peut pas accomplir des promesses faites à son armée des mercennaires, et se trouve sous l'attaque. Le caractère fictif de titre, une prêtresse et la fille de Hamilcar Barca, un général carthaginois aristocratique, est l'objet de la convoitise obsédante de Matho, un chef des mercennaires. Avec l'aide du slave libéré intrigant, Spendius, Matho vole le voile sacré de Carthage, le Zaïmph, incitant Salammbô pour écrire le camp des mercennaires

amour pour un hôte envoyé par les dieux, et ce dans l'intérêt de Carthage et pour sa propre gloire ; elle finit par triompher des dernières réticences de Didon (4, 31-55). Didon par des rites et des sacrifices cherche à rendre les dieux favorables à son projet, sans réussir à apaiser la passion douloureuse qui l'obsède secrètement. Négligeant toutes ses activités, elle cherche à convaincre Énée de s'installer définitivement à Carthage (4, 56-89). At regina graui iamdudum saucia cura uolnus alit

tutélaire de la ville de Serepta et son culte prit de l'ampleur à Carthage où elle était nommée Oum. Elle était la parèdre du dieu Ba'al Hammon. Tanit est dénommée Tanit péné Baal (littéralement « face de Baal ») après environ 400 avant J.-C., ainsi que Tinit[1] ou Tinêt. Tanit a été interprétée par les Romains comme une forme particulière de Junon : Iuno Caelestis vite devenue Caelestis. Selon certaines sources, Didon reine de Carthage serait un avatar de Tanit. En Tunisie encore actuellement ou en

la ligne du mouvement de la Seconde Sophistique. Né vers 125, d'une famille riche de Maraude (en Numide, dans l'actuelle Algérie), il fit d'abord ses études à Carthage, où il apprit l'éloquence latine, avant d'aller chercher à Athènes un enseignement philosophique supérieur, de voyager beaucoup, puis de retourner en Afrique. Carthage deviendra sa résidence habituelle et où il y mourra après 170. C'était un personnage singulier et attachant, qui avait les yeux grands ouverts et s'intéressait à

 Dido building Carthage 1815, Joseph Mallord William Turner L'un des plus ambitieux imitations du 17ème siècle, peintre français de TurnerClaude . Le sujet, inspiré par Virgil "poème épique latine s, le« Enéide », est la construction de la ville nord-africaine de Carthage, qui Dido fondée. Le chiffre en bleu sur la gauche est Dido, et sur ​​la droite se trouve le tombeau érigé pour son mari mort, Sichée. En face de Dido est une figure qui peut être Aeneas :Virgile raconte

de nouvelles stations balnéaires dans les décennies à venir. La majorité des visiteurs se rendent en effet en Tunisie pour profiter du bord de mer (Djerba,...), avec ses plages, villages et villes comme la capitale Tunis et les ruines de l’antique Carthage. Mais il ne faut pas oublier le sud saharien qui attire toujours plus de nouveaux adeptes avec ses vastes étendues désertiques (Tozeur,...). Pour aller en Tunisie depuis la France, deux possibilités : le ferry au départ de Marseille principalement

par les Romains, l'ont choisi pour en faire une citadelle. Il convient de remarquer ici que CARTHAGE (Kart Hadasht) la ville fondée par les Phéniciens en 814 avant J.C.est à quelques trois kilomètres de là, cette petite montagne n'a cessé de jouer le rôle de forteresse ou de ribat depuis cette époque très lointaine jusqu'au XIIe siècle. Elle assurait la sécurité, la surveillance et la défense de Carthage la phénicienne au VIIe siècle av. J.C., puis longtemps après, de Tunis depuis le début de la

Grèce. Avant de la posséder, ils doivent d’abord vaincre Tarente, ville la plus puissante de la région. Motivés à constituer leur flotte face à celle des Tarentins, les Romains font alliance avec plusieurs puissances maritimes telles que Naples, Carthage ou Syracuse et créent ainsi un réseau qui leur concède un contrôle plus étendu. En outre, les cités indigènes tentent souvent d’envahir les cités italiotes, ce qui pousse ces dernières à fonder une alliance – la ligue italiote – ayant pour objectif