Catholicisme social

Catholicisme social et christianisme social de 1815 à nos jours Œuvre de le Play : paternalisme. 1815 : fin des guerres napoléoniennes. Mise en place de l’ordre de Vienne, de la Sainte-Alliance lors du congrès de Vienne de cette même année. Les monarchies chrétiennes s’imposent en Europe. Remise en cause des acquis de la révolution française, retour aux valeurs traditionnelles et religieuses, terreau du christianisme social. Définition : doctrine sociale apparue au 19ème siècle, fondée sur

la Charte du travail fait la synthèse entre diverses influences : l'Italie fasciste de Mussolini a promulgué une Charte du travail en 1937, mais dans un cadre plus autoritaire et plus favorable aux patrons ; la Charte hérite également du catholicisme social, qui le premier a développé le terme de corporation avec notamment la contribution de François René de La Tour du Pin Chambly de La Charce ; le courant "anti-Lumières" et contre-révolutionnaire d'inspiration maurrassienne. La Charte, par la

l’Eglise et l’Etat. Ceci devait aider Fribourg à se projeter dans la modernité grâce à l’école et au catholicisme social. Georges Python va chercher ses arguments dans le « Rerum novarum », l’encyclique rédigé par le pape Léon XIII avec l’aide de l’Union de Fribourg dont Python faisait partie. Pour Python, l’université était la clé de voute de cette république chrétienne. Lexique : Catholicisme social : selon Eugène Duthoit (juriste français) : « c'est un mouvement qui tend à diriger toutes les

ouvrage à quelque chose qui, en apparence tout du moins, n’existe pas.″ François-Georges Dreyfus  QU’EST-CE QUE LE COURANT DEMOCRATE-CHRETIEN ? Un mouvement d’idées… Les prémices  Origines communes avec catholicisme social et libéralisme chrétien. Réaction contre le catholicisme intransigeant.  Transfo des valeurs chrétiennes en programme politique.  Rejet du capitalisme sauvage comme du marxisme : il s’agit de trouver un développement économique respectueux de la personne humaine.

ne désemplissent pas. * Cependant, la ségrégation se lit dans la répartition spatiale. - Dans les immeubles hausmanniens, la répartition des habitants depuis le premier étage, l’étage noble, jusqu’aux mansardes, figure l’échelle sociale. - On distingue aussi nettement les quartiers aisés des quartiers populaires. II- La naissance des banlieues * La dégradation des centres incite les populations aisées à s’installer dans la campagne proche. - Si le

moderne. Grâce à l'exode rurale, les villes se développent. Puis ce développement commencent à s'installer en campagne. Albert de Mun est un homme politique catholique. Il a fais un discours sur la question sociale à Saint Étienne en 1892. Il considère que l'Église répond à la question social comme l'atteste la lettre du pape, envoyée en 1891 à tous ses évêques. Son discours précise que chacun peut vivre de son travail sans craindre l'insécurité que peut-être occasionné par la maladie, le chômage

LA CFDT et le dialogue social Année universitaire 2010 - 2011 Table des matières : Introduction Partie I : D’où vient la CFDT ? I. Au commencement était la CFTC a) Un tournant : le Front populaire b) La reconstruction : des orientations majeures c) L’épisode de la Guerre d’Algérie II. L’évolution de la CFTC en CFDT a) Une philosophie d’action : l’autogestion b) Un événement majeur dans l’organisation : le Congrès de 1970 c) Le recentrage d) Des évolutions rapides par le changement de responsables

dont il dépend.  Confession du christianisme organisée en Eglises territoriales, originaire de l'est du bassin méditerranéen CATHOLICISME : Le catholicisme se présente aujourd'hui comme une confession chrétienne en même temps qu'il est une aspiration à l'unité de la foi, de l'Église catholique et par delà, de toute l'humanité dans le Christ. Le terme catholicisme est apparu dans la langue française à la fin du XVIe siècle, à la suite de la naissance des confessions protestantes, pour désigner

Elise Goebel Exposé : plan détaillé et bibliographie Le 12/11/2009 L’Eglise et la question sociale Au XVIIIème siècle en Europe, l’Eglise était aussi importante, sinon plus, que l’Etat. Les monarques tenaient leur pouvoir absolu de « droit divin » et la vie du peuple était rythmée par la vie religieuse. Cependant, les révolutions successives viennent bouleverser cet ordre établi. Les Lumières qui imprègnent l’Europe

L’Église, après l’épisode de la révolution a réussi à reconquérir progressivement son influence sur la société Française grâce aux missions intérieures et aux congrégations (jésuites). En 1870 la population est donc fortement marquée par le catholicisme. Le temps est rythmée par la temporalité religieuse qui marque la semaine, la vie personnelle. Toutes les manifestations religieuses se font dans l’espace publique. On remarque même un regain des pratiques religieuses (développement pèlerinage