Celluloïd

vues, et le Kinétoscope, appareil de visionnement individuel par œilleton, inventés par l'Américain William Kennedy Laurie Dickson, sous la direction de Thomas Edison. Les deux appareils utilisent le film souple transparent en nitrate de cellulose (celluloïd), que les deux inventeurs coupent dans la largeur en bandes de 35 mm de large qu'ils dotent d'un double jeu de quatre perforations rectangulaires par photogramme (chaque instantané), c'est le film de cinéma standard encore parfois en usage aujourd'hui1

l'époque précise : une date apparaît dans le texte (scène 5 acte I ): 1876, c'est l'époque lointaine à laquelle Panicault a passé son Brevet. Elle est aussi fortement connotée par certains éléments de la pièce : porte-plume, essuie-plume, col de celluloïd, téléphone à lettres : donc début du XXième siècle. Une didascalie précise "l'action se passe de nos jours dans une grande ville" 5) les personnages sont nombreux : 16 personnages sans compter les élèves 6) le drame est porteur d'une morale Conclusion:

votre chapeau de soie et de m’autoriser à le piétiner? Je vous remercie. » Le prestidigitateur esquisse quelques pas rapides sur le haut-de-forme, puis la montre écrasé, méconnaissable. « Pourriez-vous à présent, monsieur, ôter votre col de celluloïd et m’autoriser à le brûler sur cette bougie? Je vous remercie, monsieur. Puis-je avoir vos lunettes afin de les réduire en poussière à coups de marteau? Merci. » Le visage du petit malin prenait une expression de surprise. « Ah! Ça, se disait-il

soient les volumes a réaliser. Utilisation : touches de clavier, boutons dans les voitures, capsules de bière… procédé d'impression indirect Forme imprimante en creux. Le stencil ou cyclostyle Il s'agit d'un procédé employant un cliché sur celluloïd composé à la machine à écrire, qui est reproduit à l'aide d'une solution à base d'alcool sur une presse rotative (le cyclostyle) appelée aussi « machine à alcool ». Les procédés numériques (sans forme imprimante) Jet d'encre Une surpression est

de miroirs du théâtre optique permet déjà d'incruster automatiquement les personnages dans un décor comme le permettra des dizaines d'années plus tard la technique du cellulo. Avec l’invention du cinéma les techniques d’animations progressent, le celluloïd apparaît, permettant ainsi de décalquer les dessins et de réaliser des économies en ne redessinant pas à chaque fois l’image entière mais seulement une partie ( si le décors est fixe, on ne redessinera que le mouvement du personnage). Le premier

puis le Kinetograph (ou il tournait dans la « Black Maria » / premier studio… avec William K.L. DICKSON) et surtout le KINETOSCOPE (les deux en 1891) après avoir sollicité son ami George EASTMAN pour que ce dernier lui procure la pellicule en celluloïd 35mm (en 1889)…12/ 1895, le 28 décembre la 1e projection payante au Grand Café, Boulevard des Capucines (Opéra) à Paris… • Une 10ne de films réalisés avec l’invention de ses fils LOUIS LUMIERE (1864-1948) et AUGUSTE LUMIERE (1862-1954), un appareil

avoir vendu plus de 100 milliards au total et en vend actuellement peut-être 20 millions par jour. FABRICATION Au fil des ans, on a utilisé différents matériaux pour fabriquer des stylos : plume, bois, acier, aluminium, platine, cuir, caoutchouc dur, celluloïd, et même du bois de cerf ou de la corne de buffle. Les stylos à bille modernes sont faits principalement de plastique dérivé du pétrole et d’une petite quantité de métal. Le Bic se compose de peu d’éléments. Une bille faite de carbure de tungstène

cinématographique "Fantasmagorie", au Théâtre du Gymnase à Paris. Les dessins sont filmés image par image. En 1915, l'invention des cellulos, qui permettent de ne pas redessiner le décor en appliquant les dessins sur des feuilles transparentes de celluloïd, fera progresser les films d'animation. Voir aussi : Dossier histoire des inventions - Histoire des Dessins animés 1928 20 septembre Première sortie pour "Mickey Mouse" Le célèbre personnage de dessin animé créé par Walt Disney fait sa toute

techniques a permis la création d’un matériel plus léger qui donna naissance au cinéma expérimental, ainsi qu’à la synthèse d’images dans les années 1990. Le numérique est aussi apparu, rendant plus faciles la postproduction et le montage. Le film celluloïd a été utilisé pour tourner, diffuser et projeter des films depuis plus de 100 ans. Aujourd’hui, l’industrie du cinéma est au coeur du plus grand changement de son histoire : le passage de la bobine au numérique. Cette technologie, offrant des images

utilisent des dérivés de la cokéfaction pour des produits comme l'aspirine, la novocaïne, les détergents, les désherbants. - la parfumerie et l'industrie des colorants utilisent les dérivés du benzol et des goudrons. - les plastiques (plexiglas, celluloïd, résine, vynils, bakélite) et les produits de synthèse textiles (tergal, polyester, nylon) proviennent de l'utilisation des dérivés de la distillation du charbon que sont le gaz, le benzol, le goudron. - les engrais, explosifs et vernis sont aussi