Chaloupe

!... IPHICRATE Avançons, je t'en prie. ARLEQUIN Je t'en prie, je t'en prie ; comme vous êtes civil et poli ; c'est l'air du pays qui fait cela. IPHICRATE Allons, hâtons-nous, faisons seulement une demi-lieue sur la côte pour chercher notre chaloupe, que nous trouverons peut-être avec une partie de nos gens ; et, en ce cas-là, nous nous rembarquerons avec eux. ARLEQUIN, en badinant. On se penchera sur le personnage d’Arlequin, qui est, de nature et de nom, un « bouffon ». Mais, dans

Soror, à bord d’une chaloupe. En atterrissant, ils s’aperçoivent  qu’ils ne sont pas seuls. Ils remarquent des routes puis des villes. Après avoir atterri et vérifié l’air, ils découvrent des traces semblables à celle d’un humain. Ils finissent par rencontrer Nova, un être ressemblant à tous points à une femme de la terre, exceptée le fait qu’elle ne sait ni parler ni sourire et qu’elle se comporte comme un animal. Ensuite, ils découvrent d’autres « homme » qui détruisent leur chaloupe et leur équipement

dès les lignes 14, il ne voit plus qu'elle, '' il ne distingua personne ''. On peut constater l'embarras du personnage et sa stratégie pour observer sans être vu '' il fléchit involontairement les épaules '' (l.5) , '' il affectait d'observer une chaloupe '' (l.22) , '' quand il se fut mis plus loin, il la regarda '' (l.16). Le portrait de Mme Arnoux est très valorisant par l'emploie des thermes '' cette splendeur '' (l.24), '' la fitness des doigts '' (l.24). Les thermes '' éblouissement '' (l

rendent l'évacuation nécessaire : dix-sept marins restent à bord, dont seulement trois survivront ; 233 passagers, dont Chaumareys, Schmaltz et sa famille, embarquent sur six canots et chaloupes ; 149 marins et soldats s'entassent sur le radeau, long de vingt mètres et large de sept, au départ amarré à une des chaloupes. Mais l'amarre se rompt ou est volontairement larguée ; le commandant laisse les passagers du radeau livrés à leur sort, pourvus de peu de vivres. La situation se dégrade rapidement

sont précipités hors de la cabine le navire heurta un banc de sable et la mer déferla sur lui. Le capitaine se saisit de la chaloupe et, avec l’aide des matelots, la lança par-dessus bord. Ils descendirent tous ils s’abandonnèrent à la merci de Dieu et de la tempête. Ils ramèrent vers la terre. Soudain une vague furieuse, haute comme une montagne, fit chavirer la chaloupe et les jeta au loin. Une vague le porta sur le rivage. Quoique qu’il nage si bien il lui fut impossible de se délivrer des eaux

ils distinguent quatre planètes gravitant autour de cette étoile. L’une d’entre elles ressemble étrangement à la Terre. Ils décident alors de l’explorer. À bord d’une chaloupe, les trois aventuriers survolent des villes, des routes, des champs avant d’atterrir dans une forêt. Après avoir effectué des tests, ils quittent leur chaloupe et découvrent l’étonnante ressemblance de l’atmosphère de cette planète, qu’ils baptisent Soror6, avec celle de la Terre. Ils enlèvent leurs scaphandres et assistent

troisième plus large sur la droite qui montre l’espoir. En effet, ce tableau repose sur des événements historiques réels : En 1816, la Méduse s'échoue l'équipage ne parvint pas à dégager le bateau. Les chaloupes sont en nombre insuffisant. Le commandement et ces officiers prennent la fuite sur 6 chaloupes laissant 150 hommes qui décident de construire un radeau. Ils sont alors embarqués dans une aventure de 13 jours d'errance au terme desquels ils seront finalement repérés par un brick appelé "l'Argus"

Purcell a terminé les derniers aménagements de la pirogue, Tetahiti lui propose de l’accompagner pour l’essayer. Une fois sur mer, les hommes rencontrent des difficultés mais ils réussissent à regagner l’île grâce à la fumée dégagée par le feu des chaloupes. b) Pour quelles raisons l’auteur accorde t-il une telle importance aux femmes dans cette dernière partie ? Tout d’abord, l’auteur met en avant les vahinés car elles représentent la survie de la population. Grâce à elles, le peu d’hommes

de Chaumarey avec, à son bord, le futur gouverneur du Sénégal et sa famille. Après un échouage au large des côtes de la Mauritanie, le commandant monte dans une chaloupe pour rejoindre le rivage. Ses troupes, 150 hommes, prennent alors place sur un radeau de vingt mètres sur sept. Le plan d’évacuation prévoyait son remorquage par la chaloupe, mais très vite les occupants de cette dernière coupent les cordes et abandonnent le radeau. Après treize jours de dérive, seule une dizaine de marins survit après

De toutes parts, un cri de guerre s’élève. Le contremaître, qui avait la clef des fers, succombe un des premiers. Alors une foule de Noirs inondent le tillac. Ceux qui ne peuvent trouver d’armes saisissent les barres du cabestan ou les rames de la chaloupe. Dès ce moment, l’équipage européen fut perdu. Cependant quelques matelots firent tête sur le gaillard d’arrière ; mais ils manquaient d’armes et de résolution. Ledoux était encore vivant et n’avait rien perdu de son courage, s’apercevant que Tamango