Champs Lexicaux Bateau Ivre

proprement poétique de ce texte, qui en fait un chant universel. Ce poème reflète une expérience intime du poète. Il s'agit en effet d'une rêverie provoquée par l'ivresse. On relève tout au long du poème le champ lexical du vin et de l'alcool : « verre » (2 fois), « vin », « ivre », « vignes », caractérisé par l'allitération en [v]. L'importance de ce thème renvoie au titre du recueil, Alcools. De plus, l'ensemble du poème semble placé sous le signe de cette soirée d'ivresse : le poème s'ouvre

Introduction : S’inscrivant dans la lignée de ses prédécesseurs qui conjuguent l’image de la mer à celle de la poésie comme Rimbaud dans le Bateau ivre Saint-Jon perse dans ce poème tiré du recueil Amers publié en 1957 revisite en le renouvelant ce pensif littéraire . Dans une perspective stylistique nous tenterons de mettre en valeur le parallélisme itératif qui règne dans ce texte ensuite ns ne pencherons sur les figures de ressemblances qui le ponctue pour terminer en fin avec l’analyse des

« LE DORMEUR DU VAL » - RIMBAUD INTRODUCTION -un des 44 poèmes de Poésies -il s’ouvre sur « Les étrennes des orphelins » et se ferme sur « le bateau ivre » -1870 : description de la mort déplacée d’un homme jeune au sein d’une nature accueillante -pas de combats à Charleville (début de la guerre France-Prusse le 15 juillet 1870) -« Souvenir de la nuit de quatre » (les Châtiments, 2 décembre 1852, Jersey) : « L’enfant avait reçu deux balles dans la tête. » Comment le poète traduit-il ici

( rime riche (car « i », « t » et « q ») • Jeu sur la syntaxe : dans le verset 4 « Oh là là ! que d’amour splendides j’ai rêvées », le « j’ai rêvées » est reporté à la fin ( voir inversion dans les figures de style Figures de style et champs lexicaux • Figures de styles : o Personnification des souliers qui sont « blessés » o Comparaison : « Comme des lyres je tirais les élastiques » et « des gouttes de rosées à mon front comme un vin de vigueur » o Métaphore :

cette scène théâtrale. On parle même à la ligne 23 de la « Nature » avec une majuscule car celle-ci est personnifiée tout au long du poème et assure une certaine protection maternelle à la femme-enfant qu’est Ophélie. Le champ lexical de la maternité est très présent : « sein » à la ligne 9, « bercés » à la ligne 10 et « enfant » à la ligne 18. Notre personnage principal est décrite comme « un grand lys » et fait donc partie intégrante de la nature. On retrouve plusieurs fois

et les « sauvages » · Vers 26 , «  ils vont où leur désir le veut : par dessus monts et bois , et mers, et vents, et loin des esclavages » Les plus démunis sont les plus libres , ils sont comparés à des oiseaux sauvages qui migrent librement. Champs lexical de la nature : monts , bois , mers , vents · « Lair qu’ils boivent ferait éclater vos poumons » vers 28 c’est un oxymore L’air représente la liberté et ils sont tellement libre que leurs poumons

Relevez les champs lexicaux de ce poème. e. Montrer la douceur des sonorités. f. Relevez les comparaisons et expliquer quels sont les sensations suggéré par le poème. g. Quel temps utilise l’auteur ? REPONSES: a. 2 b. 4 c. Ié, u, ien, ame rime féminine masculine, croisées d. champ lexical de la sensation: les soirs bleus d’été, picoté par les blés, fouler l’herbe menue, sentirai la fraîcheur à mes pieds, baigner ma tête nue. Champ lexical du bonheur

esthétique encore peu innovante : utilisation du sonnet, de l'alexandrin, de la rime. On est de fait encore loin de la modernité d'Une Saison en enfer ou des Illuminations, dernières œuvres du poète, et de l'audace des images qu'il offre dans le Bateau ivre, composé seulement un an plus tard. Le Dormeur du val n'en demeure pas moins un poème très abouti, et qui montre chez l'auteur une grande maîtrise des règles de versification - ce qui peut étonner à seize ans à peine. Ce poème est sans doute inspiré

Le Mal – Rimbaud (1870) PARTIE 1 : Biographie de l'auteur Nom complet / Pseudo : Jean Nicolas Arthur Rimbaud Dates : 20 octobre 1854 – 10 novembre 1891 Mouvement littéraire : Inclassable Œuvres principales : Le Bateau ivre (1871), Une saison en enfer (1873), Illuminations (1872-1875) Faits marquants : -Premiers poèmes à 15 ans -Premier recueil : Cahiers de Dovai -Recherche nouvelle façon d'écrire la poésie : Illuminations est écrit en prose -Fugues récurrente -Relation avec Verlaine -Renonce

entretiendront tous deux une relation amoureuse fluctuante qui se terminera à la suite d’une ultime dispute le 10 juillet 1873. Verlaine part alors à Bruxelles où Rimbaud le rejoindra quelques jours plus tard pour finalement se faire tirer dessus par son amant ivre. Arthur fut alors blessé au poignet et Paul, envoyé en prison – plus pour son homosexualité que pour son agression -. Le 13 février 1875, Rimbaud se rend à Stuttgart, une ville allemande, pour parfaire sa maîtrise de cette langue. Verlaine, relâché