Champs Lexicaux Bateau Ivre

« petit », « ingrat », « vain ». Ceci sonne comme une condamnation sans appel de l’Homme. Hugo caractérise également ce monde par la raideur du conflit, évoquée à la strophe 2 présentant une harmonie imitative avec l’allitération en –r associé à un champ lexical du bruit, on peut citer « entendre », « heurter », « réveille ». Hugo fait ensuite à la deuxième strophe, au vers 14, référence aux révolutions à travers l’image violente du « heurt » entre le peuple et le roi. Victor Hugo établi tout le long

étudiées) : départ du bateau et des premières péripéties : Le bateau perd son ancre et son gouvernail et se voit condamner à dériver. Strophes 6 à 17 : perte du gouvernail libération du bateau découverte du ciel et de la mer. Strophes 18 à 25 : Bilan de l'aventure. Rappel des beautés. Mais constat final d'échec Poète = bateau poète voyant prémisse du mouvement symboliste. Problématique : Quelle vision du poète et de la poésie nous propose Rimbaud à travers le symbole du bateau ivre et de sa folle

la poésie a) Le voyageur est un poète Dès le titre, nous observons "Ma Bohème"> Il est question de sa vie et individualise ce voyage. Le mot "bohème" établit un lien avec les milieux littéraires. Champ lexical de la poésie "Petit Poucet rêveur", "Muse". b) La poésie, passe-temps du voyageur Champ lexical "rime" mis en valeur par l'enjambement, "rimant" participe présent donc l'action est en train de se faire. La poésie est l'activité essentielle du jeune voyageur. Association "lyres" - "élastiques"

a) Le voyageur est un poète Dès le titre, nous observons "Ma Bohème"> Il est question de sa vie et individualise ce voyage. Le mot "bohème" établit un lien avec les milieux littéraires. Champ lexical de la poésie "Petit Poucet rêveur", "Muse". b) La poésie, passe-temps du voyageur Champ lexical "rime" mis en valeur par l'enjambement, "rimant" participe présent donc l'action est en train de se faire. La poésie est l'activité essentielle du jeune voyageur.Association "lyres" - "élastiques"

nature omniprésente et accueillante, suscite effectivement l'indignation de Rimbaud. Il est cependant peu probable que celui-ci ait réellement assisté à ce qu'il décrit1. La nature est extrêmement présente dans ce poème ce qui se traduit par la champ lexical correspondant (« verdure », « rivière », « montagne », « rayon »...). Elle par it particulièrment vive et active comme en témoignent les verbes d’action utilisés et donnent l’impression de personnifier les éléments de cette nature. C'est une nature

comme le montre le sentiement du vide/absence/ennui → « déserte », « vide » (v 6-7), « sans mâts » (v15).un quotidien insipideCette lassitude/ennui/vide entraîne chez le poète un quotidien insipide.On remarque dans la 1ere partie de ce poème → champ lexical du quotidien : « livres » (v,1), « vieux jardins »v4, lampe v6-7 ou encore jeune femme allaitant son enfant v8De plus, la forte allitérat° en « r » exprime bien l'idée de saturation, d'un quotidien devenu « insupportable » : « La chair est triste »

sonnet, suggère la répétition, l’habitude des actions évoquées : « devenais », « j‘étais » (v. 2-3), « avait », « j’égrenais » (v. 5-6), « écoutais », « sentais » (v. 9-10), « tirais » (v. 13). Ce thème de l’errance se développe à travers le champ lexical du trajet (« course », v. 6 et « routes », v. 9) et la comparaison au Petit Poucet, mise en valeur par le tiret qui la précède : « – Petit-Poucet rêveur, j’égrenais dans ma course/Des rimes. » (v. 6-7). Mais au lieu de semer des cailloux, le poète

exemple, grâce au courage transmis par « un dieu » (v. 350), il réussit en premier à communiquer avec le cyclope : « C’est alors que je m’approchai pour lui parler » (v. 344) pour le persuader de voire « le vin noir ». Ensuite, il parvient à le rendre ivre « Puis quand le vin lui eut embrumer les esprits [il] lui [souffla] ces mots aussi doux que du miel ». (vers 361). De plus ce héros est doué d’une bravoure incroyable. Ainsi Ulysse, déterminé, suivi par ses compagnons, perça l’œil du cyclope. Dans

premier recueil Une saison en enfer est composé de poèmes en prose (1873) où il exprime ses « délires ». Entre 1873 et 1875, Rimbaud a écrit les Illuminations qui est aussi un recueil de poèmes en prose constitué de quarante trois poèmes. « Le bateau ivre » et « le dormeur du val »  sont sûrement ses poèmes les plus connus. « Aube » est un extrait des Illuminations écrit en prose et est composé de sept paragraphes. La particularité de ce poème est qu’il commence et se termine par un octosyllabe

littéraires précédents ainsi que par son inscription dans le mouvement du parnasse. Verlaine semble être ballotté par des événements défavorables, vivant une suite d'échecs, de naufrages. Rimbaud reprendra l’image d’une âme maritime dans son poème « Le Bateau Ivre » où lui aussi décrira un voyage mouvementé de son âme perdue dans l’immensité des océans et qui doit affronter des tourbillons géants et des tempêtes.I. Le rejet des créations de la Nature et des hommes (1er/2è quatrains) → Refus des conventions