Charles Ier de Flandre

Moderne .La société Nouvelle – La Basoche et La Wallonie .Des journaux aussi sont parus tel :La Nouvelle Littérature Belge . La liste des écrivains belges romanciers, dramaturges et poètes est très longue : on cite Maurice Maeterlinck -Charles Van Lerberghe – Georges Rodenbach – Max Elskamp – Emile Verhaeren -Franz Hellens – Georges Eekhoud –Camille Lemonnier et autres. La question qui se pose concernant la littérature belge est celle de la possibilité ou non de créer

contre, la Belgica secunda était beaucoup plus grande et occupait tout le nord-ouest de la Belgique actuelle avec Reims (actuellement en France) comme capitale. La Germanica secunda était située au nord-est dans ce qui est aujourd’hui une partie de la Flandre et des Pays-Bas, avec comme capitale Cologne. Aucune de ces capitales n'est aujourd'hui sur le sol belge. C'est dans ce cadre administratif que, peu à peu, la latin remplaça les langues germaniques et les langues celtiques des peules belges, surtout

Renaissance italienne, trois siècles d’histoire artistique allant de Cimabue à Titien, en passant par Michel-Ange et Léonard de Vinci. Dans notre extrait, l’auteur aborde les vies de Rosso et de Primatice, qui, alors sous la protection de François Ier, ont participé aux grands travaux que le souverain avait entrepris dans le château de Fontainebleau. Ce texte, excellent exemple de l’influence de l’art italien en France, peut nous amener à nous poser les questions suivantes : En quoi le Rosso incarne-t-il

Le Portrait en buste de François Ier a été réalisé par Jean & François Clouet, tous 2 portraitistes de la cour du roi. C'est une peinture à l'huile sur Bois (chêne) d'une hauteur de 96 cm sur 74 cm de largeur réalisé vers 1530. Ce portrait fut longtemps à Fontainebleau, & fut transporté à Versailles au XVIII siècle avant d'arriver en 1793 au musée du Louvre dans le département des peintures. L'arrivée de l'art des Clouets en France au XVIe va révolutionner les manières de traiter le portrait

royauté héréditaire (987-1180) 2. Le règne de Philippe Auguste (1180-1223) 3. Le règne de Louis IX ou "Saint Louis“ (1226-1270) 4. Le règne de Philippe le Bel (1285-1314) 5. La crise de la Guerre de Cent Ans  (1337 – 1453) (15 minutes) 6. François Ier, les prémices de l'absolutisme (1515-1547) 7. La crise des Guerres de Religion (1562-1598) 8. De Henri IV à Louis XIV : restauration de l'autorité royale et évolution vers l'absolutisme absolu de droit divin (1589-1643)

raison principale est la poursuite de la guerre de Cent Ans jusqu'en 1453, et même 1477 (bataille de Nancy), alors que le processus de renaissance artistique est amorcé dès le XVe siècle au moins en Italie et dans de nombreuses régions d'Europe (Flandres, Rhénanie, Alsace, Portugal…).Comme en Italie, ses traits caractéristiques sont la soif de vivre, la confiance en l'homme, l'appétit du savoir, l'esprit de libre examen. Ce mouvement remet en cause les mentalités du Moyen Âge et recherche de nouvelles

Le livre Un prince de la renaissance : François Ier et son royaume a été écrit par Robert J. Knecht. Edité à Paris en 1998, par la maison d’édition Fayard, ce livre est composé de 697 pages. On y retrouve quelques photos, plans, dessins et illustrations. Robert Jean Knecht, né le 20 septembre 1926, historien britannique et spécialiste du XVIème siècle en France, est un professeur émérite d' Histoire de France  à l' Université

Habsbourg dit Philippe le Beau, le fils de l'empereur Maximilien Ier et de la duchesse Marie de Bourgogne. Ce mariage faisait partie d'un réseau d'alliances avec l'Autriche et le Portugal dans le but de renforcer l'Espagne contre la France[1]. Jeanne d'Aragon et Philippe d'Autriche partageaient au moins un ancêtre commun, Jean de Gand. Le couple eut plusieurs enfants : * Eléonore (1498-1558), reine de Portugal puis de France. * Charles (1500-1558), roi d'Espagne et empereur du Saint-Empire romain

attrape la vérole. Il participera en 1739 à la campagne en Hongrie comme lieutenant second au côté des Impériaux sous Francois Ier. Choiseul dans le chapitre 12 livre son ressenti sur l'erreur considérable que Louis XV a faite en ne respectant pas la Pragmatique Sanction***, qui assurait une paix européenne d'une part et le duché du Luxembourg ainsi qu'une partie de la Flandre revenaient au royaume de France. Le Roi a préféré ce laisser infleuncé par la soeur de sa maîtresse, Mme de Vintimille, elle-même

Charles Quint et l'Allemagne (1548) Roi d'Espagne depuis 1516 et Empereur du Saint-Empire romain germanique depuis 1519, Charles Quint rêvait d'embrasser une unité chrétienne impériale. Cependant, son rêve va se voir briser par différentes oppositions qui vont l'affaiblir tout au long de son règne ; à commencer par les quatre-vingt quinze thèses de Luther en 1517 qui vont engendrer la division religieuse de l'Europe. S'ajoute à cela l'alliance que l'ennemi de l'empereur, François Ier, a nouée