Cheikh

BARHAMA CHEIKH AL ISLAM eikh Ibrahima Niass (extrait ziar 1974). Vous êtes venus ici en guise de ziar. Mais ce ziar ne m'appartient pas, moi je sais bien que votre unique destination c'est vers votre Seigneur. Je ne suis pas le Seigneur mais vous Le recherchez à travers ma personne. Et ce qui l'explique, est que vous avez fait ce ziar ces trois années précédentes à mon absence. Donc si c'était à cause de moi que vous êtes venus ici, si vous ne m'y trouviez pas, vous alliez rentré chez vous.

s’integrer dans le recit grace à une ambiance réaliste. Il pousse le lecteur a croire que cette histoire a réellement existé, pour cela il utilise le nom “Kfaryabda” pour renforcer cette idée. Le Cadre temporel est egalement evoqué, c’est l’époque des Cheikhs, on en deduis alors que cela ce situe aux alentours du XIXème siècle. “En ce temps Là” est une indications indeterminée ou encore attemporelle, elle permet de dire que l’histoire se deroule dans une dimension universelle. Mais l’auteur est fixé grace

I. Il raconte la prière du vendredi selon leurs coutumes. Battûta trouve les gens de cette région accueillants et pieux. Analyse de texte Nous nous rendîmes à la mosquée principale, et nous y priâmes derrière la tribune grillée. Lorsque le cheïkh sortit de cet endroit, je le saluai avec le kâdhi. Il répondit par des vœux en notre faveur, et conversa avec le kâdhi dans l’idiome de la contrée ; puis il me dit en arabe : « Tu es le bienvenu, tu as honoré notre pays et tu nous as réjouis. »

ACTE DE CESSION DE PEINES Entre les soussignés : Monsieur Youssoupha Diop né le 18/11/1978 à Saint-Louis profession Commerçant Demeurant à Pikine x Tall Saint-Louis , titulaire de la carte nationale d’ identité N 1251197804175 délivrée Le 10/03/2006 D’une part ET Monsieur Mor Diop né le 16 avril 1971 à Boulal profession Instituteur demeurant Avenue des Grands Hommes Sor titulaire de Carte d’identite N 1706198400030 délivrée le 10 07 2006 D’ autre part Monsieur Youssoupha Diop vend et

de lieu de résidence pour la famille régnante jusqu'à l'an 1970, lorsque Sheikh Rashid Bin Humaid Al Nuaim (1920-1981) est partit vivre à Al Zaher Palais, le Fort est devenu le siège de la police d'Ajman de 1970 à 1981. Dans la fin des années 1980 Cheikh Humaid Bin Rashid Al Nuaimi, souverain d'Ajman, a décidé de restaurer le Fort, afin de le modifier dans un musée pour les Emirats du patrimoine. Le processus de restauration, qui était sous la supervision d'un groupe d'experts, a duré trois ans.

Kane, Cheikh Hamidou (1928- ), romancier sénégalais d'expression française, auteur notamment de l'Aventure ambiguë, où il montre le dilemme de l'Afrique, entre tradition et modernité. Originaire du Sénégal oriental, une région profondément attachée à la tradition, il étudia le Coran, puis fit des études à Paris. Il occupa ensuite dans son pays d'importantes fonctions au sein de l'administration. Son roman l'Aventure ambiguë (1961) reçut le grand prix de l'Afrique noire d'expression française. Ce

Jâmi‘ édifié entre 970 et 972 ; puisqu’auparavant, nous dit-on, aucun non-azhari ou résident-étranger ou hôte négro-africain n’eut l’honneur d’y livrer khoutbah et imâmah en Salâtoul Joumou‘ah. Non plus jusqu’à maintenant, nous dit-on encore ! Cheikh Ibrahim NIASS est monté au mythique minbar de Jâmi’oul-Azhar, vendredi, 8 safar 1381H ; soit, 1020 ans lunaires (989 années solaires) après que la « 1er Prière de Vendredi » y fut célébrée. -L’inaugurale eut lieu le 7 ou 14 ramadan 361H (21 ou 28

EL OTHEYMINE بسم الله الرحمن الرحيم   Biographie du cheikh  Mouhammad ibn Salih al Otheymine   Son nom est abou 'Abdillah Mouhammad ibn Salih ibn Mouhammad ibn Otheymine al Wahaybi at-Tamimi.  Il est né dans la ville de ‘Ounayza [Région de Qassim, Arabie Saoudite] le 27 du mois du Ramadhan béni de l'année 1347 H (1926).     Il a apprit et étudié le Saint Coran de son grand-père maternel, le cheikh ‘Abdour-Rahmane ibn Souleyman Âl Dâmigh . Ensuite il est parti à la recherche

couleur assez conséquent, toute rappelle le noir ou le gris : «  grise, asphalte, pierre, feldspath, gris, noir, immeuble ». Ce manque de chaleur crée une ambiance sinistre, sans réel joie de vivre ni de bonheur mais plus un milieu de malheur. Cheikh Hamidou Kane retranscrit ses impressions personnels travers un personnage qui après la décolonisation par en Europe faire a son tour la conquête d’une nouvelle terre, et qui tombe dénue devant une nation déshumanisés, modernisés, grise et malheureuse

Ibn Ali Kali, septième ancêtre de l’auteur de cette histoire, le père de Siradjou notre Cheikh Tierno Aliou, fils de Karamoko Mamadou de Labé. L’ancêtre, Chaîkhou Mamadou, nommé Ndouyé, était venu du Macina où il habitait avec des Sarakolés ; il avait changé sa langue et appris le Sarakolé. Les Ferobbhé étaient venus sous la conduite Alpha Moussa chef des gens de Kébali. Les Djalloubhé étaient dirigés par Cheikh Aldiouma. Les Dayêbhé avaient pour chefs Seydi Barry et son frère Séri Barry. Tous ceux-ci