Chemise

dans un immense fauteuil qui fait face à la fenêtre, j'aperçois madame M, le regard vague comme perdu vers l'extérieur, elle tourne la tête, nous regarde et dit : « Et c'est reparti ! » Nous la suivons jusqu'à la salle de bains où se trouvent sa chemise de nuit et sa robe de chambre. Sentant l'atmosphère pesante, je tente d'entamer la conversation et lui demande si sa journée a été bonne. Lentement, elle s'arrête de marcher, tourne la tête, me fixe et me répond : « Ma pauvre je suis sourde et

 » Elle ne répond pas, mais desserre sa main, je continue : « c’est bientôt l’heure du repas, voulez vous aller manger en chemise de nuit ? » « Ah non » me répond-elle. Je reformule donc : « Vous souhaitez donc être habillé pour aller pour le repas, c’est bien cela ? » « oui bien sur » dit-elle « Alors vous devez d’abord enlever votre robe de chambre et votre chemise de nuit pour pouvoir vous laver. Etes vous d’accord pour que je vous aide ? » Elle se détend et accepte d’un mouvement de tête

ne fait qu’amplifier l’émotion qu’elle me transmet. Malgré la diversité peu présente de couleurs, le tableau ne perd en aucun cas son intensité. Les couleurs froides sont omni présentes, on passe du blanc pur de la peau de la jeune fille et de sa chemise de nuit, au gris sombre de l’arrière plan et des objets. La mise en valeur des deux personnages est très facile à distinguer. Le contraste principal du tableau est l’essence même de la fraîcheur que nous envoie la jeune femme. Ses gestes laissent

mixé et boit des boissons gélifiés. De plus elle est perfusée en alternance en serum glucosé et salé pour son hydratation. Je tape à la porte puis nous, l'aide soignante et moi, entrons dans la chambre et mettons la présence pour aller mettre en chemise de nuit Madame T pour la nuit. Je frictionne mes mains de SHA. Tout d'abord nous observons que l'alèse et le change de madame sont souillés. Je vais donc chercher un change à sa taille et du linge de lit propre. J'abaisse la ridelle de mon côté et

que oui et je vais préparer le nécessaire pour la toilette (2 gants, 2 serviettes, 5 serviettes en papier), puis je rentre dans la chambre en allumant la présence A.S.. Je me lave les mains avec de la S.H.A. Mme G. est installée sur le mautoban en chemise de nuit. Elle est seule dans sa chambre (coté fenêtre) mais je tire le rideau de séparation entre les deux lits pour respecter l’intimité au cas ou la porte s’ouvre. Je demande à Mme G. quelle robe elle veut mettre après et si elle a des produits

aussi fort, un trou de 2m de diametre s'etait formé a cause d'un coup de tonerre phénoménal, je redesecendis dans ma chambre, l'eau m'arrivait maintenant eh haut des genou, il fallut que j'utilise ma force pour marcher dans cette eau, le bas de ma chemise etait trempé, de fines goutelettes d'eau parcourait mes molets, ce qui me procura des frissons. Je montai en haut les "autres" gemissaient de peur, Mathieu me cherchait du regard, quand il me trouva un sourire soulag"é fendit son si beau visage d'Apollon

et la porte s'ouvrit. La grand-mère sursauta d'effroi. GRAND MERE : laisse-moi. Je te donnerais tous mes provisionnes. NARRATEUR : Mais le loup se précipita sur la grand-mère, lui arracha sa chemise de nuit, son bonnet de dentelle, et il enferma la vieille dame dans une armoire. Il enfila la chemise et le bonnet, puis se coucha dans le lit. Pendant ce temps, le Petit Chaperon Rouge, arriva CHAPERON : Toc, Toc! LOUP : qui est là ? CHAPERON : moi le petit chaperon rouge. LOUP : Tire la chevillette

l’aider pour qu’elle puisse faire sa toilette. La dame n’aime pas beaucoup que l’on touche aux vêtements qu’elle a sur elle, donc je lui explique que pour l’aider je vais devoir y retirer sa chemise de nuit, elle commence à être réticente et me dit « vous allez pas tout m’enlever », alors je lui réexplique que la chemise de nuit je l’enlève pour qu’elle puisse faire sa toilette, que je ne compte pas lui prendre et qu’elle pourra la retrouver le soir même, elle devient moins réticente et me permet de lui

– poubelle pour évacuer les déchets produits pendant le soin. Je suis donc prête à réaliser le soin. Je demande à Mme M. si elle a terminé d'uriner, et je l'invite à s'assoir sur la chaise se trouvant devant le lavabo. Je la laisse retirer sa chemise de nuit et son maillot de corps, afin de la stimuler et de la laisser faire ce dont elle est capable pendant ce temps je fais couler l'eau et j'enfile mes gants. Une fois terminer je lui pose une serviette propre sur les épaules afin qu'elle ne prenne

pansement souillé (par sang et/ou betadine). Femme d'environ 40-45 ans, cheveux courts noirs, portant des lunettes, assise sur une chaise avec un coussin calé derrière son dos. Est éveillée (yeux ouverts). Écoute de la musique à la radio. Porte une chemise de nuit blanche avec petits motifs bleus ainsi que des pantoufles bleues (l'une des pantoufles n'est pas à son pied). Porte du rouge à lèvres et a une goutte de lait hydratant sur chaque joue (ça sent) (gauche et droite). Il y a un gobelet de café