Christian Lehmann

FINANCIÈRES S’INTERNATIONALISENT ..................................13 C - ÉTAPE 3 : JANVIER - 15 SEPTEMBRE 2008 : LA CASCADE DE DÉFAILLANCES FINANCIÈRES ATTEINT TOUTES LES VALORISATIONS SUR L’ENSEMBLE DES MARCHÉS. ............14 D - ÉTAPE 4 : LA FAILLITE DE LEHMAN BROTHERS ET LA DISPARITION DES BANQUES D’INVESTISSEMENT AMÉRICAINES.................................................................................14 E - ÉTAPE 5 : LA CRISE BANCAIRE MONDIALE ET LA MOBILISATION COORDONNÉE DES GRANDS ÉTATS SOUS L’IMPULSION

Discontinuité de Mohorovicic ou Moho sépare la croûte du manteau. Lim de 6 (croûte océanique) à 50 km (chaine de montagne) de profondeur. - Discontinuité de Gutemberg sépare le manteau du noyau (chute de la vitesse des ondes) - Discontinuité de Lehmann sépare le noyau externe (liquide) du noyau interne (solide) 3. La vitesse des ondes sismiques et l’état physique des enveloppes Proposez une explication à la disparition des ondes S à environ 3000 km. Que constate-t-on sur la vitesse

une bulle financière dans le pays : - Augmentation du prix des actions et augmentation du prix de l’immobilier. Malgré que les banques soient notées AAA, elles s’effondrent : aug du chômage x3, récession due à la faillite de LEHMAN Brothers et de l’éfondrement d’AIG. Lehman Brothers et AIG ont déclenchés la plus grosse baisse de l’histoire des courts de marchés : * Récession mondiale * Dette publique des USA x2 I. Les raisons de la crise des subprimes L'industrie financière américaine

nette chute de la vitesse des ondes P et la disparition de l’onde S. Cette discontinuité sépare le manteau du noyau. La disparition des ondes S révèle un nouveau milieu au comportement liquide. Le manteau est plus rigide. - La discontinuité de Lehmann : se situe vers 5000 km de profondeur. Elle sépare le noyau externe (comportement liquide) du noyau interne (solide). (appelée graine).

de vue financier. Un an plus tard, tous les milieux intéressés ont fait état de la menace d'une crise financière mondiale, le facteur clé étant venu de nouveau des États-Unis. Vers la mi-septembre 2008, la quatrième grande banque américaine Lehman Brothers ayant une histoire de 150 ans, a fait faillite. Chez elle aussi les causes de la faillite résident dans la distribution de prêts hypothécaires aux clients de risque qui, en un moment donné, se sont avérés insolvables - une approche très coûteuse

États-Unis qui les ont générées. Et aujourd’hui : aux États-Unis, la quatrième banque américaine, Wachovia, a été rachetée dans l'urgence par Citigroup lundi, sous l'égide des pouvoirs publics américains. Cette disparition vient s'ajouter à la faillite de Lehman Brothers, au rachat de Washington Mutual et de Merrill Lynch ainsi qu’au renflouement d'AIG. Au Royaume-Uni, le gouvernement a été contraint lundi de nationaliser la banque Bradford & Bingley. Plus proche de la France, les gouvernements belge, français

bénéficier d'une certaine impunité. A quoi bon assainir le système si les Etats sont prêts à aider toute le monde à coût de plusieurs centaines de milliards de dollars ? Voilà pourquoi le Trésor américain a refusé de voler au secours de la banque Lehman Brothers, qui a donc fait faillite.

tensions sur les marchés financiers ont été accentuées tout d’abord par les difficultés de Bear Stearns, une des plus grandes banque d'investissement, d'échange de valeur mobilière et agent de change, et surtout par la faillite de la banque américaine Lehman Brothers en septembre. Les difficultés de Bear Stearns, qui a dû être sauvée par les autorités de régulation américaines à la mi-mars 2008, ont engendré un climat de défiance qui a pesé sur le marché interbancaire tout le restant de l’année. Après

de dollars chacun AIG (16 septembre) : prêt de la Réserve fédérale américaine de 85 milliards de dollars pour sauver l’ancien numéro 1 américain de l’assurance • Faillite de Lehman Brothers (15 septembre) • Rachats : Bank of America rachète Merill Lynch (15 septembre) Barclays s’engage à racheter une partie des actifs de Lehman Brothers • Plans de secours : dix banques centrales mettent en place un fonds de liquidité de 70 milliards de dollars pour faire face à leurs besoins les plus urgents le plan

et accordent de moins en moins de prêts ou demandent des primes de risques élevées. Ainsi ils accordent moins de crédits et la baisse de leur capital s’en ressent. Dans un second lieu, la crise s’est encore accentuée en 2008 avec la faillite de Lehman Brothers et les difficultés d’autres institutions financières qui ont suivi. De fortes pertes sont constatées auprès des banques qui doivent entamer sur leurs fonds propres et ne peuvent accorder de fortes offres de crédit et augmentent leur coût