Chômage Et Précarité

inégalités d'accès à l'emploi Doc 2 : Taux de chômage en 2011 1)Taux de chômage=Nombre de chômeurs (personnes sans emploi à la recherche d'un emploi)/population activex100 2) En 2011, d'après l'Insee, les femmes sont un peu plus touchées que les hommes par le chôma01ge (9,6% des femmes actives sont au chômage, contre 8,7% des hommes). Les jeunes âgés de 15 à 24 sont particulièrement touchés (plus de deux fois plus que la moyenne) 3) Le taux de chômage dépend également du niveau de diplôme de qualification

l’activité repart (chômage partiel). Il peut s'agir aussi d'une flexibilité permise par les salariés lorsqu'ils possèdent les compétences qui leur permettent de changer de poste de travail. 2 Caractérisez le chômage structurel Le chômage structurel concernent différentes populations de chômeurs ceux qui ne disposent pas des qualifications demandées dans les secteurs d'activité qui embauchent»où qui ne sont pas mobiles. Le chômage structurel est aussi une forme de chômage qui résulte des

Chapitre 1 : Chômage et précarisation A) Progression et persistance du chômage - chômage : Situation d’un actif qui n’a pas d’emploi mais qui en cherche un. 1* définition et mesures - Le BIT donne la définition internationale du chômage = pour être chômeur il fau être dépourvu d’emploi (ne pas avoir travailles dans la semaine précèdent le sondage, être disponible et chercher un emploi). L’INSEE et pôle emploi sont d’autres sources de comptage. Le chômage est difficile à mesurer

sentiments, croyances et pratiques. 2. Ils sont en interaction les uns avec les autres. 3. Ils se sentent voués à des buts communs. Nous pouvons retenir comme questions-guides : 1. Comment les difficultés économiques (précarisation de l’emploi et chômage) expliquent-elles la fragilisation du lien social ? 2. Y a-t-il d’autres causes plus sociologiques ? BIEN COMPRENDRE LES DOCUMENTS Document 1 Mots clés – emploi total – statut – emplois à durée limitée – actifs occupés à temps partiel

économiques, politiques et interindividuelles qu’entretient un individu avec les autres membres d’un groupe social). Actuellement différents éléments poussent à s’interroger sur la place du travail dans la société. On assiste à un phénomène de précarité et de chômage de masse, mais en même temps le travail est survalorisé, des politiques de contrôle des bénéficiaires de minima sociaux et des chômeurs ont vu le jour, le travail reste la contrepartie à l’accès aux droits sociaux. Donc à la fois le travail

Chômage des jeunes : des médias qui font mentir les chiffres...Publié le 15 avril 2006 (première publication le 10 avril 2006) parPhilippe Monti Les mobilisations sociales de 1995 et 2003 avaient été stigmatisées sans vergogne par la plupart des médias au nom de l’urgence des contre-réformes. La campagne référendaire pour le référendum sur le Traité constitutionnel européen avait été l’occasion d’un déchaînement médiatique en faveur du « oui ». Le mouvement social contre le CPE semble faire l’objet

sa production révèle la précarité de ses acteurs pour le maintien de sa compétitivité. Enfin, l'amélioration de la stabilité du modèle apparaît en plusieurs axes qui nous exploiterons au travers de la demande intérieure. I. Le modèle industriel allemand est basé sur le contrôle du facteur travail A. Le salaire comme moteur de la croissance Le marché du travail allemand trouve essentiellement sa spécificité dans la recherche constante d'une baisse du chômage et d'une augmentation des

doivent verser des cotisations sociales qui-permettent de financier l'État Providence. Ce dernier est chargé d'assurer la protection sociale, c'est-à-dire la protection des individus face aux risques de l'existence (maladies, accidents du travail, chômage notamment). Ce système est basé sur la solidarité entre les salariés qui se protègent mutuellement à travers les cotisations. Le travail protège donc les individus contre les risques sociaux et les maintient intégrés à la société en cas de difficulté

ses transformations et plus particulièrement la montée de la précarité viennent renforcer ce constat. Toutefois, l’exclusion est aussi multiforme et il s’avère que d’autres facteurs cumulatifs viennent l’expliquer. Première partie : le chômage et la précarité constituent les principaux facteurs de déclenchement du processus d’exclusion sociale A. La montée du chômage affaiblit le travail comme instance d’intégration * Le chômage peut apparaître comme la première phase du processus d’exclusion

Nous pouvons donc nous demander ce qui pourrait pousser un individu à entrer sur le marché du travail même si cet emploi est considéré comme précaire. I)VALORISATION DU TRAVAIL. A) La focalisation sur le travail a) Préoccupation Chômage, pôle emploi, salaire, boulot, entreprise, conditions de travail, gréve... De nos jours, il ne se passe pas une seule journée sans qu'un de ces termes arrive jusqu'à nos oreilles. Le travail est partout, dans les médias, dans les livres, dans les