Cité radieuse de Marseille

Congrès internationaux d'architecture moderne. Dans la Charte d'Athènes, il présente ses conceptions de l'architecture liée à la vie sociale et quotidienne urbaine. Au lendemain de la guerre, il propose ses "Unités d'habitation" et réalise la Cité radieuse de Marseille. L'année suivante, il se rend en Indes pour réaliser de nombreux établissement de Chandigarh (le Capitole, le palais de justice, le Secrétariat et le Palais des Assemblées). Grand architecte urbaniste moderne, le Corbusier marque profondément

II. Etude de la forme : Des architectes comme Tony Garnier (Lyon) ou le Corbusier (Marseille) proposent une ville moderne = a) Gratte ciels en béton armé. b) Eloignés les uns des autres. c) Vastes espaces verts. d) Séparant les fonctions de la ville : habiter ; travailler ; acheter ; se récréer (loisirs)… III. Etude du fond : 1947-1950 réalisations de la cité radieuse à Marseille. Problème dans les 1960. Crise du logement

aux matériaux de construction (acier, béton, verre) nouveaux, ils élaborent une esthétique d'allure «futuriste» adéquate aux normes utopiques de leur «cité radieuse» et qui ordonne la typologie des logements et des bâtiments ainsi que la morphologie des villes à un idéal d'austérité formelle.   Une utopie Les premières représentations de cette cité de l'avenir avaient été élaborées par certains utopistes du XIXe siècle, rétrospectivement dénommés «préurbanistes progressistes», dont les uns prônaient

organisations et les pratiques ont pu, tour à tour, favoriser et contredire une participation des habitants dans la constitution de projets collectifs. Nous nous appuierons sur trois exemples situés sur la commune de Rezé: la cité des Castors de la Claire-Cité, la Maison Radieuse et le projet des Petits Moulins, en cours d'élaboration. C/ Vers une coopération des d'habitants C'est en 1894, suite à la loi Siegfried, qui encourage la création de sociétés d'Habitations à Bon Marché, que la société

d'Art Décoratif en Allemagne" publié en 1912 à La Chaux-de-Fonds. 1910 : Hiver : entrée pour 5 mois à l'atelier Peter Behrens (Berlin) - Rencontre avec Mies Van der Rohe et Walter Gropius. 1911 : Rencontre avec Heinrich Tessenow, architecte de la cité-jardin d'Hellerau - En mai, départ de Dresde pour le voyage d'Orient: Prague, Vienne, Budapest, Belgrade, Bucarest, Tarnovo, Gabrovo, Kasanlik, Istanbul, le Mont Athos (21 jours), Athènes et l'Italie méridionale en compagnie de son ami, Auguste Klipstein

de l’Unité d’habitation. Sa pensée envisage dans un même bâtiment tous les équipements collectifs nécessaires à la vie : garderie, laverie, piscine, école, commerces, bibliothèque, lieux de rencontre. On lui doit le concept architectural de La "Cité Radieuse", bâtie selon le proportion du nombre d’or avec le concept du "Modulor". Le Modulor représenté par une silhouette humaine standardisée servait à concevoir la structure et la taille des unités d’habitation, c’est un système que le Corbusier pense

l'architecture moderne. Il expose en 1923 dans Vers une architecture « les cinq points de l'architecture nouvelle » : Maison sur pilotis, toit-terrasse, plan libre, façade libre, et fenêtre en longueur . L'unité d'habitation de Marseille (connue sous le nom de Cité radieuse, édifiée entre et 1945 et 1952 ) , et la villa Savoye (édifiée à Passy, France en 1931 ) caractérisent particulièrement ces points .

architecte et urbaniste, créateur de meubles et de tapisseries (designer), peintre, sculpteur, poète, etc… Il est né en Suisse en 1887 et mort sur la Côte d'Azur en 1965. De nationalité suisse, il a été naturalisé français en 1930. Cité radieuse, 1945, Marseille et La cité Frugès, 1924, Pessac fait parti des majeurs œuvres qu'il a fait. III. CONTEXTE HISTORIQUE ET ARTISTIQUE 1875-1905 : École de Chicago dont le but est de produire des constructions rationnelles et utilitaires (Ces architectes inventent

nouvelle architecture au sein de nombreux écrits et surtout en créant les Congrès Internationaux de l'Architecture Moderne (C.I.A.M.) puis la Charte d'Athènes : listant les doctrines de l’urbanisme fonctionnaliste. (Exp. : Unité d'Habitation de Marseille). Le fonctionnalisme suit l'idéal du paquebot : machine indépendante où chacun peut habiter dans l'égalité des cabines et le confort de la technique. On cherche des solutions rationnelles et scientifiques à la fonction « habiter ». Les lieux

spécifiques des habitants à l’espace urbain. Sans évacuer les facteurs de grande échelle qui conditionnent les dynamiques urbaines (le zonage par exemple et ses effets parfois délétères), la programmation privilégie une échelle d’observation fine : la « cité », le quartier, la rue, ou le jardin partagé par exemple. Autant d’endroits où existe (ou bien subsiste, contre vents et marées) du collectif, du vivre-ensemble, terme parfois galvaudé bien qu’il n’implique aucunement l’absence de conflits ou de tensions