Clair De Lune

douleur et chaque plaisir, chaque pensée et chaque gémissement, et tout ce qu'il y a d'indiciblement petit et grand dans ta vie, devront revenir pour toi et le tout dans le même ordre et la même succession - cette araignée-là également, et ce clair de lune entre les arbres, et cet instant-ci et moi-même. L'éternel sablier de l'existence ne cesse d'être renversé à nouveau - et toi avec lui ô grain de poussière de la poussière ! » Ne te jetterais-tu pas sur le sol, grinçant des dents et maudissant

A la claire fontaineÀ la claire fontaineM'en allant promener,J'ai trouvé l'eau si belle,Que je m'y suis baignée.Il y a longtemps que je t'aimeJamais je ne t'oublierai.Sous les feuilles d'un chêneJe me suis fait sécher,Sur la plus haute branche,Un rossignol chantait.Il y a longtemps que je t'aimeJamais je ne t'oublierai.Chante, rossignol, chante,Toi qui as le coeur gai,Tu as le coeur a rire,Moi, je l'ai à pleurer.Il y a longtemps que je t'aimeJamais je ne t'oublierai.J'ai perdu mon amiSans l'avoir

Le caractère unique et tragique des « bienfaits de la lune » tient dans cette construction d’un mythe fondateur du génie poétique, mais en même temps destructeur de ce génie. C’est la vaporisation du poète par le fantastique, son angoisse du tarissement, qui transparaît. Contrairement aux poèmes ironiques, la tonalité est ici presque pathétique, et le regard que Baudelaire jette sur sa propre œuvre a quelque chose de misérable, comme un poète diminuant le mérite de son œuvre pour en attribuer tout

l'auteur, et à travers l'expression « Je l'aime avec tous mes sens » il montre qu'il aime la nuit avec tous ses sens c'est-à-dire sa vue, son odorat, son ouïe, son toucher et sa parole. D'abord avec ses yeux, il aime la voir, il aime voir le clair de lune, le ciel noir. Avec son odorat, il aime la sentir puis avec ses oreilles, il aime écouter le silence de la nuit, le chant des chouettes. Enfin avec sa chair, il aime sentir les caresses des ténèbres, il se sent démon. Il montre que la nuit

Il est évident que Nelligan et Baudelaire partagent la même vision de la poésie dans leurs poèmes « Clair de lune intellectuel » et « Élévation ». À première vue, on voit clairement que les deux auteurs partagent le même gout pour le thème de la pensée. C’est une poésie qui permet à nos auteurs de s’évader dans un tout autre monde. En effet, on peut voir que Nelligan explique comment sa pensée évolue, voyage, et ce à l’aide d’allégories. On peut facilement remarquer l’une d’entre elle notamment

abordant le thème le soir étant impossible, j’ai décidé de centrer mes recherches sur les différentes impressions que crée le soir chez les différents poètes du XIXe et du XXe siècle. Ces impressions sont souvent associées à une image picturale : clair de lune qui évoque la mélancolie, coucher de soleil illustrant une fin tragique pour l’homme, crépuscule qui suggère le mystère… J’ai trié mes poèmes selon trois grands axes : la tranquillité, la mélancolie et la volupté. Ce sont les trois grandes impressions

devait sauver la vie de la petite qu'elle attendait. Elle continua de disparaitre dans les bois bien que ses pleurs pouvait etre entendu par ceux qui ont des oreilles bien fin. La lune commencait a peine a se lever et Florence courrait toujours, les bois la guidait vers une place sur ou elle pourrait etre en sécurité. La lune etait bientot a son plus haut point dans le ciel et elle arriva a un lac et ses a se moment la que les contraction commenca l'effort qu'elle avait fait avait ete bien trop exigent

| |Leurs pavillons. | | | |La lune qui s'efface | |Couvre son front qui passe | |D'un nuage étoilé

COMMENTAIRE DU POEME DE VICTOR HUGO : CLAIR DE LUNE Dans le célèbre recueil de poème de Victor Hugo : Les Orientales , un poème particulier ,Clair de lune met en scène une nuit calme et parfaite cependant troublée par un corps étranger  .Tout au long de ce poème « la sultane » va se questionner sur ce corps étranger afin de pouvoir y associer un nom. Tout d’abord on remarque que la première strophe a pour rôle de mettre le lecteur dans le contexte du poème : une nuit calme. Le champs lexical

L'accord mineur tombe et l'accord majeur s'élève Le roi déchu compose l'hallelujah   Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah...   Ta foi était forte mais tu avais besoin de preuves Tu l'as vu se baignant sur la terrasse Sa beauté et le clair de lune t'ont renversé Elle t'a attaché sur sa chaise de cuisine Elle a cassé ton trône et coupé tes cheveux Et de tes lèvres elle a tiré hallelujah   Hallelujah, hallelujah, hallelujah, hallelujah...   Mon amour, je suis déjà venu ici Je connais