Cocarde tricolore

colère du peuple. Celui-ci se rend donc à la Bastille le 14 juillet 1789 et prend d’assaut cette prison, symbole de la toute puissance royale. Le roi finit alors par céder et rappelle Necker. Puis il se rend à Paris, où il accepte d’arborer la cocarde tricolore, remise par Lafayette, promu chef de la Garde National. c. La fin de l’Ancien Régime En Province, la tension monte et un sentiment de panique s’empare des paysans : c’est la Grande Peur (qui s’étend du 20 juillet au 6 Août 1789). En effet

comme celui des Amérique l'était à la couronne de Grande Bretagne, et qu'il convenait qu'il prît son indépendance et se gouvernât lui-même. Placé à la tête de la Milice parisienne, noyau de la Garde nationale (15 juillet), il fait adopter la cocarde tricolore comme insigne de ce corps. Arrivé au soir du 5 Octobre, La Fayette tente de calmer la fureur populaire et conseil la venue à Paris de la famille royale, qui lui en voudra de sa passivité. Cependant il soutient Mirabeau dans ses efforts pour donner

peuvent voter que les citoyens qui paient une certaine somme d'impôt par an. C'est un système qui permet de rendre politiquement silencieux les Sans-culottes. Cocarde tricolore : Insigne en étoffe ou en métal qui était porté principalement à la coiffure et surtout par les soldats. On reconnut à leurs cocardes qu'ils étaient Français. Cocarde tricolore Les principales étapes du début de la Révolution * 1. La contestation de la monarchie absolue * 2. L'échec des réformes politiques * 3.

la direction vers la montagne et vers « la route de la victoire ». Le visage juvénile, signe de vie et d’espérance, est tourné vers les spectateurs, comme pour les prendre à témoin et leur montrer son assurance et sa détermination. Enfin, la cocarde tricolore sur son bicorne, son uniforme de parade de général en chef des armées et le drapeau qui flotte à droite, en bas du tableau, en font l’incarnation de la République qui sera sauvée grâce à sa bravoure et à ses qualités de stratège et de chef. Il

rvolution juridique est faite. Le pouvoir du roi est doubl par celui de lAssemble. B La rvolution par le peuple Doc 1 page 211 la prise de la Bastille Dlgation du comit permanent les lecteurs parisiens forment un comit permanent et une milice avec cocarde aux couleurs de Paris (bleu, rouge) Le peuple prend le relais de la rvolution. (Renvoi du ministre du roi, Necker, rgiments qui se rapprochent de Paris) A lappel de Camille Desmoulins, ils (40 0000 Parisiens, petits bourgeois et gens de mtiers) prennent

de couleurs ( rouge et bleu )qui symbolisent la France ( drapeau ). lumière : apportée par les morceaux blancs ou beiges. Signification : Symbolisme : -symboles de la guerre : canon,aile d'avion,encre de bateau -symbole de la France : la cocarde, les couleurs. Unité, originalité, sens ou interprétation : Gino Severini n'a pas participé à la guerre en tant que combattant mais il a tenté de la représenter à partir des acquis du cubisme français et du futurisme italien dont il est l'un

idées nouvelles, il est élu député de la noblesse lors des Etats généraux de 1789. Nommé commandant de la garde nationale en juillet 1789, il joue un rôle énigmatique pendant la suite de la Révolution. Il fait démolir la Bastille, présente la cocarde tricolore mais fait tirer sur les manifestants du Champ-de-mars venus réclamer la déchéance du roi (1791). Il fonde le Club des Feuillants en contrepoids au Club des Jacobins. Nommé commandant dans la guerre contre l'Autriche, il veut rétablir une monarchie

1912 avec pour Picasso Le violon en 1914 et pour Braques Nature morte au violon en 1911 ). On peut voir dans le bas du tableau la date de la déclaration de guerre : 1914, en haut à gauche : l'ordre de mobilisation générale, et à droite : la cocarde tricolore qui se trouve sur une aile d'avion. Au centre du tableau, on voit une ancre, une pièce d'artillerie sûrement un canon, il y a aussi une cheminée d'usine. La lumière est apportée par les morceaux blancs ou beiges. La couleur Les couleurs

Il a servi la France : Il est élu député de la noblesse d’Auvergne aux États généraux et nommé, le 15 juillet 1789, commandant général de la milice parisienne, à laquelle il donne le nom de garde nationale et la cocarde tricolore, dont il est l’inventeur. il devient après les journées d’octobre 1789 le personnage le plus considérable de France, le « maire du palais », dira Mirabeau Lors de la déclaration de guerre le 20 avril 1792, recevant le commandement de l’armée du Centre, il entre néanmoins

l’annonce. D’autres, agenouillés bénir le député chargé de l’annonce. Planté sur son estrade, habillé en civil et ceint de l’écharpe tricolore, le député représente ici la République qui a promulgué le décret d’abolition de l’esclavage, qu’il vient de lire et dont il tient le texte dans la main droite. De son bras levé, tenant son chapeau, il montre le drapeau tricolore, déployé devant un groupe de cocotiers, confirmant la présence symbolique de la République française dans les colonies. La ligne