Collaboration dans l'Europe occupée par les nazis

génocide, crime consistant à détruire ou à tenter de détruire un groupe national, ethnique, racial ou religieux. Quand les dirigeants nazis décident de la « solution finale » (été 1941), c’est-à-dire l’extermination systématique des Juifs, Himmler et les SS sont chargés de sa mise en application ; ils organisent, de façon rigoureuse, leur déportation massive et prennent le contrôle de tout le système concentrationnaire (voir Shoah). Les « Unités à tête de mort » (Totenkopfverbände), dirigées

nom d’Holocauste1, est l'extermination systématique par l'Allemagne nazie des trois quarts des Juifs de l'Europe occupée2, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale ; ce qui représente entre cinq et six millions de victimes selon les estimations des historiens3. Ce génocide des Juifs constituait pour les nazis « la Solution finale à la question juive » (die Endlösung der Judenfrage). Le terme français d’Holocauste

des Juifs de l'Europe occupée3, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce bilan représente, selon les estimations des historiens, entre cinq et six millions de victimes: la Shoah (ou « Solution finale à la question juive »: die Endlösung der Judenfragedes nazis) est le seul génocide industrialisé de l'histoire4. Ce génocide particulier est également appelé « judéocide ». Les Juifs, désignés par les nazis comme

certainement l'un des peuples ayant le plus souffert des préjugés. En Europe, la haine des juifs est ancrée dans le christianisme, religion qui s'est développée à partir du judaïsme. Durant des siècles, les Juifs ont été la seule minorité religieuse de l'Europe chrétienne, souvent mal compris et inspirant la suspicion chez les gens, opprimés par l'Eglise et exploités par les dirigeants. L'intolérance religieuse a conduit à la discrimination et à l'isolement. Un climat s'est instauré et a rendu crédible

sanitaires importantes : des maladies comme la tuberculose sont réapparues, la malnutrition a provoqué l'augmentation du rachitisme. En 5 ans de guerre l'espérance de vie a diminuée de 10 ans. 2) Un choc moral . La révélation des crimes que les nazis ont commis et particulièrement le génocide des juifs choque profondément les consciences. L' explosion des bombes sur Hiroshima et Nagasaki au mépris des populations, engendre la peur d'une nouvelle guerre. Bilan matériel. 1) L'

 2EME GUERRE MONDIAL La Première Guerre mondiale devait être « la der des ders », pour reprendre une expression française. Il n'en sera rien. Malgré l'importance des idées pacifistes dans l'Europe de l'entre-deux-guerres (en particulier dans les démocraties occidentales), tous les ingrédients du déclenchement d'une Seconde Guerre mondiale sont bien en place dès 1919. Dans ce contexte, les idéologies impérialistes et nationalistes des régimes totalitaires

d’introduction Les deux grandes phases de la guerre Avec ses prétentions expansionnistes, Hitler allait lancer l’Europe dans un nouvelle guerre. Par ses destructions (génocide), son caractère mondial et ses conséquences, cette guerre constitue une rupture majeure dans l’histoire de l'Huamanité. En 1945, l’Europe, dévastée, n’est plus la principale puissance au monde. I. L’Europe sous la domination nazie A. L’occupation allemande Pendant près de cinq ans, les pays conquis subissent l’occupation

Problématique : responsabilité collective de la France ? 2) Présenter l’état du conflit à l’été 1942 en Europe, en Méditerranée et en France. A l’été 1942, la puissance nazie est à son apogée : les troupes de Hitler occupent toute l’Europe et, bien qu’elles aient échoué devant Moscou et Leningrad, elles occupent une grande partie de l’Ouest de l‘URSS. En Afrique du Nord, malgré la victoire des forces de la France Libre à Bir Hakeim en juin 1942, l’issue des combats entre les Anglais

Juifs de l'Europe occupée3, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce bilan représente, selon les estimations des historiens, entre cinq et six millions de victimes: la Shoah (ou « Solution finale à la question juive »: die Endlösung der Judenfrage des nazis) est le seul génocide industrialisé de l'histoire4. Ce génocide particulier est également appelé « judéocide ». Les Juifs, désignés par les nazis comme

nazie des trois quarts des Juifs de l'Europe occupée4, soit les deux tiers de la population juive européenne totale et environ 40 % des Juifs du monde, pendant la Seconde Guerre mondiale. Ce bilan représente, selon les estimations des historiens, entre cinq et six millions de victimes5 ; la Shoah (ou « Solution finale à la question juive » : die Endlösung der Judenfrage des nazis) est le seul génocide industrialisé de l'histoire. Les Juifs, désignés par les nazis comme leurs ennemis irréductibles