Commentaire Discours De La Servitude Volontaire Plan

La Fontaine aux Licornes, ou discourir sur la « Servitude volontaire », l’amitié, le droit et la politique. Devant la Fontaine aux Licornes de Montpellier[1] où les animaux héraldiques font disparaître par un mouvement gigantesque l’écu d’une famille dont ils doivent porter la gloire, je pense aux Essais de Montaigne, à son chapitre architectural sur l’amitié, là où devait se tenir le Discours sur la servitude volontaire de La Boétie, l’Ami. Le chapitre commence par une évocation de « grotesques »[2]

Commentaire de texte : Etienne de La Boétie. Le discours de la servitude volontaire. 1549. « Les tyrans ne sont grands que parce que nous sommes à genoux ». Cette phrase, attribuée à Etienne de La Boétie, semble donner le ton au réquisitoire contre l’absolutisme que constitue Le discours de la servitude volontaire, rédigé en 1549. Humaniste, La Boétie réhabilite le genre du discours à la manière des orateurs antiques, en utilisant la rhétorique comme outil de liberté : il élabore ainsi une réflexion

Annonce des axes Commentaire littéraire I. Jeux des pronoms personnels - Enonciation présente avec des appels aux destinataires du texte, avec "vous". - Possessifs "vous", "ils" : opposition récurrente. Le singulier désigne le "maître" qui peut être assimilé au monarque. - Dans le début du texte, les "vous" sont sujets. A partir de l’évocation de l’ennemi ("Et tous ces dégâts...") le "vous" passe complément, et donc est relégué en objet. Ils sont victimes du maître : - Accentuation

Commentaire Littéraire 1 Sous forme de plan rédigé Introduction : Etienne de la Boétie n'avait que dix-huit ans lorsqu'il a écrit Le Discours de la servitude volontaire. Il fut publié en 1576 grâce à Montaigne, ami de la Boétie. Ici, il nous fait un véritable pamphlet contre la monarchie Catholique selon-lui tyrannique. Cette œuvre s'adresse à tous les Français et surtout "l'élite" : ceux qui peuvent faire changer les choses. Nous verrons alors pourquoi pouvons-nous parler d'un pamphlet

Méthode du commentaire à partir du texte de La Boétie :Lecture du texte. Contexte. Compréhension globale. Bien re lire le texte. Le commentaire doit faire ressortir ce que l'on ne voit pas forcément en première lecture. Bien le resituer (siècle, contexte historique, mouvement littéraire, auteur, genre et type de texte) Définir une stratégie de lecture :

Corrigé du commentaire de texte et proposition de la lecture linéaire de l’extrait du Discours de la servitude volontaire de la Boétie (1576) Eléments pour l’introduction Présentation du mouvement littéraire : L’Humanisme. L’humanisme est un mouvement littéraire et artistique né en Italie au XVIe siècle avec le poète Pétrarque. Il se propage ensuite à l’ensemble de l’Europe, notamment grâce à l’ invention de

Commentaire comparé et plan détaillé du chapitre XXVIII des Essais de Montaigne et du Discours de la servitude volontaire de La Boétie A la Renaissance, le pouvoir monarchique se renforce en France et en Europe. La Boétie, jeune écrivain français, écrit son Discours de la servitude volontaire pour analyser et critiquer cette situation politique. Dans le passage que nous allons étudier, il parle de l’amitié et de l’impossibilité pour un tyran de la connaître. Cette œuvre étonne les

Annonce des axes Commentaire littéraire I. Jeux des pronoms personnels - Enonciation présente avec des appels aux destinataires du texte, avec "vous".  - Possessifs "vous", "ils" : opposition récurrente. Le singulier désigne le "maître" qui peut être assimilé au monarque.  - Dans le début du texte, les "vous" sont sujets. A partir de l’évocation de l’ennemi ("Et tous ces dégâts...") le "vous" passe complément, et donc est relégué en objet. Ils sont victimes du maître : - Accentuation des

(EN) , GOUVERNEMENT CIVIL 2 Mots : Nation –Contrat => Revolutionnaire Sortie : 1751 Introduction au texte : Remet en cause , conteste "autorite" = avantgardiste Ton categorique, demarche contestataire persuasive, Argument :La Religion. Plan : I) Reflexion sur le pouvoir politique a) Postulat : Present de verite generale => Autorite naturelle ≠ Autorite politique + egalite entre les etres humains b) La monarchie absolue:

Après l’explication d’une pensée de Pascal, hier, par le professeur Guillaume Morano, demain, Yann Martin, du lycée Kléber, commentera pour vous un texte de Jean-Jacques Rousseau, tiré de son Second discours, qui s’interroge sur l’origine du langage, jeudi, Pierre Dulau, du lycée internationale des Pontonniers, se demandera ce qu’est un homme seul, et aujourd’hui, pour cette deuxième épreuve, c’est Marc Le Ny, du lycée Kléber, qui a tiré le sujet suivant