Commentaire Sur Seneque De La Constance Du Sage

séances, à raison de 3 heures par texte (12 heures), une séance d’évaluation (1 heure) et une séance consacrée aux prolongements possibles de la séquence (2 heures). Séance 1 : Sénèque, De Prouidentia, II, 1-4. Présentation de l’auteur, au début ou en cours de séance. A partir de la lecture de l’article « Sénèque » dans le Dictionnaire de l’Antiquité, Paris, Robert Laffont, coll. Bouquins, 1993, et de celui de J.-P. Néraudau, dans son ouvrage, La Littérature Latine, Paris, Hachette Supérieur

comme art de vivre. Chez tous les philosophes anciens, le bonheur, fin de l’action, apparaît comme un accord entre l’homme et les choses, entre l'homme et la Nature. "Vivre heureux et vivre conformément à la Nature sont une seule même chose" écrit Sénèque. Cela suppose une qualité : la vertu. "La vertu est l’habitude du bien", dit simplement Aristote. La disposition au bien, à faire le bien, voire à bien-faire les choses. La vertu peut s’appliquer à toute action bonne et pas seulement aux “bonnes actions”

politique). Il dénoncera le pblm de la corruption. Solon se pose la question de la notion de Loi et pour cela, il reçut chez lui le grand sage Anacharsis. Il est un des 7 sages de la Grèce. Il vient rendre visite à Solon vers l’an 600 avant JC. Il vient de Scythie (rive septentrionale de la Mer Noire). C’est donc un étranger. Anacharsis critique l’idée qu’un sage rédige les lois :   Anacharsis dit «  C’est un vain espoir que de vouloir par les lois réprimer les injustices et la cupidité des citoyens

Chapitre 2. Les premières réformes I. L’humanisme L’humanisme est né d’une rupture avec la théologie scolastique, et plus largement avec les formes traditionnelles de pensée. La scolastique tendait à s’épuiser par la multiplication des commentaires de la Bible, impossibles à intégrer totalement, par l’usage d’un latin trop technique pour être compréhensible, par la séparation entre discours et pastorale ; d’où cette volonté de rupture qui commence au XVIe siècle avec Pétrarque (retour au

ailleurs, elle est une tension vers un savoir ou une sagesse que l'on ne possède pas, et en ce sens elle relève d'un désir permanent : ainsi, Socrate, lors de son procès rapporté dans l'Apologie de Socrate, affirme être « ami de la sagesse », et non pas « sage »[6]. C'est ce qui l'amène à trouver dans sa condamnation à mort une chance ultime de séparation de son corps (proprement humain) et de son âme (proprement intellectuelle), cette âme pouvant alors peut-être contempler le savoir après la mort (voir

aucun lien les uns avec les autres. Dans son livre 1 des Essais, il va ainsi évoquer des domaines aussi différents que les pronostications, la constance, la tristesse, les cannibales, l’amitié (dans lequel il fera part au lecteur de la grande tendresse qu’il éprouvait pour son défunt ami Etienne de la Boétie)… Sous l’influence de Plutarque et de Sénèque, deux de ses auteurs favoris, Montaigne va de plus en plus tourner ses préoccupations vers des problèmes moraux et psychologiques, jusqu’à ce que

informe Néron de l’exil de Pallas, lui fait comprendre que ce coup porté à sa mère n'aura de poids que s'il cesse de la craindre, lui conseille aussi d'oublier son amour pour Junie, se lamente de voir que son naturel, malgré ses soins et ceux de Sénèque, son autre «gouverneur», va bientôt apparaître au grand jour. Dans un monologue, Burrhus exprime son découragement et ses craintes. Inquiet des outrances de Néron, il s’en ouvre à Agrippine, mais relativise la signification de l'exil de Pallas

réflexion aussi bien qu'ils la guident. Mais cela, il ne l'invente pas, déjà Érasme avait fait ses preuves dans les Adages, et il s'agit en fait d'un exercice de rhétorique emprunté aux Grecs que l'on nommait la chrie et qui consistait dans le commentaire d'une citation, par une juxtaposition d'anecdotes fameuses ou d'autres adages – ce procédé sera réutilisé à la Renaissance et renommé en : « diverses leçons ». On pourrait donc à ce titre voir dans cette méthode, un exercice littéraire de ce qui

informe Néron de l’exil de Pallas, lui fait comprendre que ce coup porté à sa mère n'aura de poids que s'il cesse de la craindre, lui conseille aussi d'oublier son amour pour Junie, se lamente de voir que son naturel, malgré ses soins et ceux de Sénèque, son autre «gouverneur», va bientôt apparaître au grand jour. Dans un monologue, Burrhus exprime son découragement et ses craintes. Inquiet des outrances de Néron, il s’en ouvre à Agrippine, mais relativise la signification de l'exil de Pallas.

 Vos ailes de géant vous empêchent­elles de marcher ?    LUI  Je  le  crois, oui. Tout  à  l’heure, je  vous  donnais  du  latin.  Hé  bien,  à  présent, mademoiselle,  notez  qu’en grec,  corps  se  dit  sôma,  tandis que  tombeau se  dit  sêma. Sans commentaires :  notez  la  proximité. Alors, oui, comme Platon, j’aspire à être libéré par la mort, à m’envoler,  là bas…Loin.    ELLE  (rassurante)  Vous  êtes  encore vert,  cher Monsieur,  et  je pense  que  votre voyage  n’est pas  pour bientôt.    LUI