Comparer Race Et Histoire De Levi Strauss Et Des Cannibales De Montaigne

quelque chose que l’on ne contrôle pas forcément. Car, en partant du principe que chacun d’entre nous dispose d’une culture, nous pouvons vite en déduire que l’on aura toujours tendance à comparer notre culture à celle des autres. Puisque, comme le disait Claude Lévi-Strauss dans son ouvrage Race et Histoire , « la diversité des cultures est un phénomène naturel » et ceux depuis la création de l’humanité. En effet, avec la question d’ethnocentrisme, le sujet des différences de

l’omniprésence des préjugés dans nos propos, nous amènent à penser que les peuples différents des nôtres, nous sont inférieurs. Certains artistes, comme Jean de Lery, brisent les stéréotypes et nous dévoilent les réelles valeurs des peuples sauvages. Dans Histoire d’un voyage fait en la terre du Brésil, Lery brise la fausse image du Sauvage et nous montre le peuple des Tupinambas tels qu’ils sont vraiment. Dans son texte, il nous fait part de leur coutume en évoquant l’acte de la scarification, leur couleur

nature mais au contraire tout ce que l'homme s'ajoute à lui même afin de satisfaire ses désirs et afin de s'hummaniser librement . Puisqu'on ne naît pas homme ,on le devient. Ceci nous amène donc à nous demander quels critères prendre en compte pour comparer les cultures? Si l'art , la technique , la religion , les sciences etc .. sont des composants de la culture , admettent-ils des différents degrés d'évolution? Ou bien le projet même de hiérarchiser les cultures ne peut-il s'appuyer sur aucun critère

Au XVI siècle, les écrits notamment de : → Bartolomé LAS CASAS : (1484/1566) « La très brève relation de la destruction des Indes » (1552) → Jean de LERY : protestant, (1536/1613) «  Histoire d'un voyage fait fait en la terre du Brésil » (1578) → Michel de Montaigne : (1533/1592) « Des cannibales »  (1595) dans « Les Essais » « On ne voit l'autre qu'à travers le prisme socio-culturel de nos lunettes » Au XVIIème siècle, la France est piquée d'intérêt pour les cultures étrangères, les

ressentir et satisfaire des besoins naturels mais la liberté et la raison développent des faux besoins, c'est-à-dire des besoins artificiels qui correspondent aux désirs et aux passions. Enfin : analyse de la sentence « des philosophes ». c’est Montaigne qui est visé. Il y aurait plus de différence d’homme à homme que d’homme à animal. Comment renverser l’argument ? Le fait de la diversité humaine et de l’individuation humaine ne conduit-elle pas à reconnaître la différence fondamentale qui sépare

Pape présidait le débat. Bartholomé avançait des arguments relativistes, vu qu'il affirmait que les indiens étaient doués de raison tous comme un homme. De l'autre côté, Juan, pensait que les indiens étaient des fauves, qu'ils étaient tous cannibale, ils n'avaient pas d'institution; celui-ci se fondait sur la pensé d'Aristote qui disait qu'il y avait une différence ontologique entre le citoyen et l'esclave vu que se sont des êtres naturellement inégaux. Suite à ces différentes colonisation

patrimoine entre mémoire et histoire 1) Le patrimoine entre identification et désidentification 2) Culture-enseignement et culture-existence : la nécessité de l’instruction et de la médiation VI - Les principes théoriques de la médiation culturelle 1) Une esthétique de la valeur 2) Une esthétique de la présence double -33) Une esthétique du goût Conclusion : Dix septembres (2005) de Christian Boltanski ou l’art contemporain devant le patrimoine, la mémoire et histoire Bibliographie -4-

occidentale B. Étude d’un corpus : Comment est perçu le Nouveau Monde lors de sa découverte C. Lecture analytique n° 1 : Montaigne, « Des cannibales », Essais Fiche méthode : La situation d’énonciation La lecture analytique et sa mise en œuvre à l’oral Corrigés des exercices Chapitre 2 L’utopie et la rencontre avec l’Autre au XVIIe siècle A. Le lien entre relation de voyage et histoire B. La relation de voyage : un genre mixte C. Lecture analytique n° 2 : Cyrano de Bergerac, L’autre monde ou les états

ils comportaient des éléments de la fascination que le monde inconnu et lointain de la nature a inspirée aux hommes « civilisés. » Quand Voltaire a écrit son conte sur les aventures de l’Ingénu, les hommes de la forêt avaient déjà une longue histoire dans la mémoire occidentale. En 1977 Andrew Sinclair a proposé que le sauvage, dans le sens étymologique de « homme de la forêt » représente une partie ancienne de l’être humain, un désir ou impulsion, qui s’oppose à la vie civilisée.12 La persistance

échange. Par exemple, le fétichisme aux notes, les coefficients aux concours… Dans cette perspective, les savoirs sont des produits donnés, vendus dans des magasins (les écoles) séparés de leur histoire et des conditions de leur validité. Dans ces enseignements, ils sont reçus comme des savoirs parfaits sans histoire, et le savoir devient de l’opinion supposé véritable et neutre. On peut utiliser le terme de « réification du savoir », « objetisation » qui contribue (Adorno à l’école de Francfort va construire