Conjuration de Pison

d'honorables amitiés, échappe aux purges du Sénat de -70 ainsi qu'à quelques procès subis par des personnes moins élevées socialement. Abus de pouvoir nombreux... En sort toujours indemne par corruption (optimates) Mise en péril de la République : 1re conjuration : tentative d’assassinat de consuls... En sort sans encombre. Perd une nouvelle fois en -64 les élections pour le consulat de -63 contre Cicéron, il forme une armée (jeunes avides de pouvoir) bien mieux organisée dont le but est de renverser la

restituer sa fortune. Néron refuse. En 64, bien que Sénèque se soit retiré de la vie publique, Néron, qui a fini par le haïr, tente vainement de l'empoisonner. Sénèque s’ouvre les veines en 65 sous l’ordre de Néron; il était compromis dans la Conjuration de Pison. Portrait de Sénèque par Rubens.

l'incendie de Rome de juillet 64, et pour être un prince poète, chanteur et musicien, grand organisateur de célébrations sportives et artistiques (les Neronia)2, et aussi homme d'une ambition démesurée, ayant lutté à toutes forces contre l'immense conjuration politique qui s'était dressée contre lui3. Certains historiens débattent de la folie, réelle ou mise en scène, de Néron. Lucius Domitius Claudius Nero, est né à Antium en 37 apr. J.-C., et mourut près de Rome en 68. Il était fils de Domitius

Agrippine en 59. À partir de ce moment, il gouverne en tyran, s'appuyant sur le préfet du prétoire Tigellin, qui a succédé à Burrus (62). Il épouse Poppée après avoir répudié Octavie. Son impopularité grandit rapidement et des conjurations (comme celle de C. Calpurnius Pison en 65) sont réprimées en utilisant la loi de majesté : Sénèque doit se suicider. Le règne s'achève dans une atmosphère de terreur. Dans le même temps, l'esthétisme de Néron l'entraîne à participer à des concours lors des grands

mode, l'arbitre des élégances de cette société corrompue et libertine dans laquelle il évolue avec un cynisme désabusé. Mais fêté par tous, Pétrone est l'objet des jalousies. Tigelin, préfet du Prétoire, le fait accuser d'avoir participé à la conjuration de Pison. Comprenant que son sort est joué, avec beaucoup de sérénité, il se tranche les veines. Avant de mourir, il trouve le temps d'écrire ses testaments qu'il adresse à Néron et qui contiennent une relation très complète des moeurs honteuses et

conseillé par sa nouvelle épouse Sabine, soupçonne son précepteur Sénèque de vouloir l’assassiner. Puis on comprend suite à une entrevue entre Lucain et Sénèque que ce n’est pas lui qui est en cause mais un groupe d’aristocrates romains menés par Pison et par une esclave affranchie, Epicharis, qui veulent sauver la République de la tyrannie de Néron en assassinant ce dernier. Sénèque refuse quant à lui de se lier à ces intrigues politiques. Au début de l’acte II, on assiste dans la première scène

est né en -4 à Cordoue et est mort en 65 à Rome. Il a vécu sous Néron dont il a été le précepteur. Il a été exilé en Corse par l’empereur Claude et rappelé à Rome par la nouvelle femme de ce dernier, Agrippine. Il a été impliqué dans la conjuration de Pison et se voit obligé de se suicider en s’ouvrant les veines suite à un ordre de Néron. Représentation de Sénèque Il a écrit des traités philosophiques tels que De Vitae Beata, De Brevitate Vitae ou ses Lettres à Lucius qui traitent des

pontife à la Regia, et exercera la fonction de grand Pontife jusqu’à sa mort. Article détaillé : Conjuration de Catilina. Désigné préteur urbain pour l’année suivante au moment de la conjuration de Catilina (63 av. J.-C.)33, il ne fait rien pour la prévenir et est soupçonné de connivence34. Salluste, qui est un partisan de César, attribue ces soupçons à des manœuvres calomnieuses de Q. Catulus et C. Pison, adversaires politiques de César. Appien considère pour sa part que Cicéron n’ose pas mettre

(fille de Marc-Antoine et d’Octavie, fille d’Auguste). Germanicus descendant d’Auguste et Marc-Antoine. Germanicus tombé malade, meurt d’une mort naturelle en Asie. Mais à l’époque, procès et condamnation à mort contre un homme de Tibère (Calpurnius Pison). A la mort de Tibère (27ap JC), les soldats acclament Caligula empereur, arrière petit d’Auguste mais aussi de Marc-Antoine. Victoire d’Actium, tournant, formation de l’empire. Caligula supprime cette fête. Il reprend des styles de gouvernement de

coffres de l'Empire. En 64, Rome est ravagée par un terrible incendie, dont il met la responsabilité sur le dos des Chrétiens. S'en suit alors une terrible persécution religieuse. Les complots commencent à se fomenter contre le despote cruel. La conjuration de Pison est découverte et atrocement réprimé, en 65. Finalement, l'armée se soulève en Gaule, avec Vindex et en Espagne avec Galba. Néron est jugé ennemi public par le Sénat et s'enfuit avant de se faire tuer. C – Biographie de Racine Illustre