Conséquence De La Délocalisation

Croissance, développement et inégalités Sommaire : Définition des termes Introduction/contexte A. Histoire et croissance : 1. Eclatement du tiers monde 2. Divers évènements et leurs conséquences économiques (politiques…) 3. Evolution et cycles de croissance économique B. Conjoncture : 1. diminution des ressources face à une population mondiale galopante 2. Rapetissement

"stagflation". Une période de dépression ( économie déprimée mais quand même croissante, même si moins forte qu'avant.)  Le PIB continue d'augmenter Le chômage accentué structurel: (il fait partie du fonctionnement de l'économie) à cause des délocalisations et des restructurations. Retour des cycles Les échanges mondiaux s'accélèrent. L'état providence baisse  car l'état a moins de revenus.  Décrochages rectoriels ( surtout les industries, textiles et constructions navales) Développement des

surproduction, et ainsi a une concurrence féroce des entreprise entre elle au niveau mondiale, et l 'apparition de société multinationale, qui pour survivre son obliger d'atteindre une taille critique et d'absorber les concurrents ou partenaire , consequence de stratégie d'impartitions, d'intégration et conglomerale, permettant ainsi a ces derniere de maitrisé totalement leur politique commerciale.Avec le libre échange, ces société acquiere également un pouvoir d'influence sur les politiques d'emploi

rentre en concurrence avec d’autres firmes et doit être compétitive, avec comme conséquence éventuelle la délocalisation Il s’agit ensuite de faire prendre conscience aux élèves que d’autres acteurs sont nécessaires pour que le circuit d’un produit puisse se réaliser. Quel rôle jouent les Etats ou associations d’Etats ? A la vue des documents précédents : rôle minime des Etats, incapable d’empêcher les délocalisations Document 4 Demander aux élèves en quoi le document concerne le sujet. (circuit

valeur** dans les économies proposant les meilleures conditions de production, les firmes transnationales renforcent les spécialisations des pays et permettent une exploitation plus approfondie des avantages comparatifs. Ce constat n'est pas sans conséquences pour l'économie mondiale. Tout d'abord, cette fragmentation dans des processus de production conduite par les firmes transnationales permet de renforcer encore la division internationale du travail, et donc a priori les gains mutuels à l'échange

la filière», «internationalisation des entreprises», «solidarité au sein de la filière»(pour renforcer la compétitivité), «véhicules industriels».cependant la filière automobile connait une dégradation de sa situation. Cela s’explique par la délocalisation de certain foyer de production vers les BRICS et les marchés asiatiques, qui concentrent la majorité des besoins, alors que la filière Française est fortement dépendante des foyers Européen. Nous avons donc une situation de surcapacité qui freine

la Chine. Insister sur les écarts d’IDH Les pays développés tirent-ils avantage de leurs échanges avec les pays en développement à forte croissance II Ces échanges ont des effets pervers que les Pays développés s’efforcent de contrer A les délocalisations dues au dumping social et fiscal détruit des emplois en particulier dans l’industrie ⇒ exclusion des non qualifiés+ les prix n’ont pas baissé cf. ↑ du taux de marge + ↑ des inégalités B Les stratégies préconisées (libérale = ↓ des coûts salariaux

de l’externalisation « outsourcing » est assez proche de celle de la soustraitance puisque, dans les deux cas, le donneur d’ordres confie à un prestataire externe spécialisé l’entière responsabilité de la réalisation de son activité. Quant à la délocalisation «offshoring», elle implique la migration d’activités vers l’étranger. Il s’agit du transfert à l’étranger, de tout ou partie de l’appareil productif, en vue de réimporter sur le territoire domestique , les biens ou services produits à moindre

marchandises. La question se pose donc de savoir si l’ouverture internationale est le passage obligé du développement ? Nous verrons donc dans une première partie les raisons d’une ouverture à l’internationale, puis dans une deuxième partie les conséquences de cette internationalisation et enfin dans une dernière partie les différents types d’implantations à l’étranger et les aides possibles. I) Les raisons d’une ouverture à l’internationale a. L’aspect financier (croissance du

des années 70, l'application des théories économiques néo-libérales, l'émergence des pays nouvellement industrialisés (PNI), la fin des discussions du cycle Uruguay du GATT, le formidable développement de la télécommunication et l'adoption de la délocalisation et l'implantation des Compagnies Trans- Nationales (TNC) comme mode de production. Ainsi, la signature des accords de Marrakech en 1994, l'émergence de nouveaux blocs économiques régionaux et l'avènement de la compétition à l'échelle mondiale