Damas

"le Dessous des Cartes" – nov. 2003)         Forme de l’état: République Président: Bashar elAssad Capital: Damas Langue: Arabe Population: 23 000 000 d’habitants Monnaie: Livre syrienne Indépendance: Le 17 avril 1946 Ressources: Pétrole Né le 11 septembre 1965 Damas Le fils cadet de Hafez el-Assad Un alaouite Etude al-Hurriyet à damas Anglais et français Bac en 1982 Etude de médecine Doctorat, ophtalmologue 1988-1992 Hôpital militaire Tishreen        

s’engage au côté de l’Allemagne en Novembre 1914. Dès lors, pour l’affaiblir, le Royaume Uni s’appuie dès 1916 sur la révolte des peuples arabes auxquels ils promettent des états indépendants. Finalement, les anglais s’emparent de Jérusalem et de Damas et les Ottomans vaincus signent l’armistice le 3 Octobre 1918. b) le partage de l’Empire Ottoman. - Dès 1916, les accords de Sykes-Picot prévoient un partage des territoires arabes de l’Empire Ottoman entre la France et le Royaume Uni. En

 LA SYRIE I/LE REGIME DE BACHAR AL-ASSAD À la suite de son élection, le régime se libéralise timidement, ce qu'on appelle généralement le « Printemps de Damas ». Des centaines de prisonniers politiques retrouvent la liberté, des forums regroupant des intellectuels parlant de la démocratisation de la Syrie et de la fin de l'état d'urgence en vigueur depuis 1963 voient le jour. Sous la pression de la vieille garde du régime, en particulier Khaddam qui craint l'« algérisation » de la Syrie

effondrement financier en 1986. Ce n’est qu’au début des années 1990 qu’une nouvelle Syrie prend forme, forte d’une production pétrolière et d’une agriculture florissante, espérant dans la paix et la récupération du Golan occupé. Le « Lion de Damas » décède cependant en 2000, sans conclure, et laisse à son jeune fils Bashar un pays enthousiaste pour de réelles réformes. L’état de grâce exceptionnelle sombre graduellement : réformes internes constamment repoussées, perte des alliés européens

porte le nombre de morts à 156 en 48heures. Les violences s’intensifient et se rapprochent de Damas, la capital. Les affrontements, beaucoup plus fréquents et particulièrement meurtriers ont conduit la Ligue arabe à suspendre sa mission d’information. Les violences en Syrie, concentrées jusque-là à Homs (centre) et dans la province de Deraa (sud), s’intensifient désormais aux portes de la capitale, Damas. La pression diplomatique s’accentue contre le régime de Bachar al-Assad. Le plan de la Ligue

d'en tirer des revenus Cette conquête se déroule en 2 grandes étapes : Tout d'abord, de 634 à 646, donc en 12 ans seulement, les pays limitrophes de l'arabie sont conquis, cela comprend la syrie, l'Irak, l'Egypte et la partie occidentale de l'Iran. Damas, en syrie, sera la capitale en 660. L'expansion connaitraune pause en 650 à cause de l'allongement des distances de l'empire et surtout à cause d'une 1ère guerre civile entre 656 et 660 entre Ali(qui est un calife très décrié) et Muawiya(son principal

La mosquee de Damas ou des Omeyades La Grande Mosquee de Damas construite entre 706 et 715 est le prototype de toutes les mosquees proprement arabes.Avec cette mosquee est donc nee l’architecture islamique.l’architecture musulmane emploie aussi des elements anciens pour servir un dessin spirituel nouveau :comme les colonnes de l’ancienne eglise Jean-Baptiste d’où elle se situe. Une mosquee c’est l’endroit ou l’on peut avoir un rapport specifique avec Dieu.Mais une mosquée ne se compose

calendrier musulman) à Médine, et mort à Damas l’an 720 (an 102 de l’hégire). Son père est Abdelaziz ibn Marouen ibn alhakem l’omeyyade et sa mère est Um Assem Leyla, la petite fille d’ Omar ibn Elkhatab.Il vécut toute son enfance à Médine dans la famille pieuse de sa mère. Il puisa le savoir auprès des grands oulémas de la ville, ce qui sculpta sa personnalité et forgera ses qualités humaines formidables. A la mort de son père, le calife Abd Al-Malik le convoqua à Damas centre du califat et le mariera avec

espéré une certaine libéralisation du pays ; c’est ce qu’on a appelé le printemps de Damas. Ce premier printemps ne dure pas longtemps : il se termine en février 2001, lorsque les services de sécurité gèlent l'activité des forums intellectuels, culturels et politiques, et avec la poursuite des militants pour les droits de l'homme et leur emprisonnement. Dans cette courte période de six mois, le printemps de Damas aura vu des débats politiques et sociaux intenses, d'une part, et d'autre part il a conservé

des faits qui lui sont attribués Succession de Muʿāwiya Ier Muʿāwiya Ier envisage l'idée de faire reconnaître Yazīd comme son successeur, suite aux recommandations d'Al-Muġīra ibn Šuʿba Aṯ-Ṯaqafiyy notamment. En 668, il ordonne aux habitants de Damas, puis à tout le Califat, de prêter serment de fidélité à Yazīd. Plusieurs musulmans1, dont Al-Ḥusayn, fils de ʿAlī ibn ʾAbī Ṭalib, ʿAbd Allāh, fils de ʿUmar ibn Al-Kaṭṭāb, et ʿAbd Allāh ibn Az-Zubayr, refusent l'allégeance, qui va à l'encontre du principe