De l'autre côté du miroir

| | |SITUATION FINALE |Y a-t-il une fin à cette histoire ? | ( construction en abyme ( histoire sans fin ( image en miroir (d'autant que les initiales des noms des personnages sont inversées (R.S. ( S. R.) ( Ces questions impliquent que soient rappelées (mais c'est le but de cette activité), au moins brièvement, les notions de récit/discours et de types de texte

verra que de nombreux éléments se rapportent à la question du double, notamment chez les personnages. 1/ Formes et attraits du double : a) Miroirs , jeux de regards : Henri James dans le tour d'écrou met en scène de nombreux éléments se rapportant à la question du double. la première chose à considérer est la présence, au tout début du roman, de miroirs à l'intérieur du manoir où Jane a été engagée pour élever Flora et Miles. Lorsqu'elle entre pour la première fois dans la demeure, après avoir

donc se demander si le sport est le miroir de la société en ce qui concerne la performance. Le sport reflète t-il la société en ce qui concerne la performance ? Le sport est-il l’image de la société en ce qui concerne la performance ? Afin de répondre à ces questions, dans une première partie on considérera le sport en tant que miroir de la société en ce qui concerne la performance, avant de montrer dans une seconde partie qu’il n’est justement pas le miroir de la société en ce qui concerne la

s’agit d’arithmétique simple : une découverte étonnante qui met en évidence l’intérêt de la recherche sur l’intelligence animale. Les grands singes, les dauphins, les éléphants et les corvidés (pies, corbeaux), qui peuvent se reconnaître dans un miroir, les chimpanzés et les corvidés qui fabriquent des outils, les perroquets qui peuvent tenir une conversation structurée, comprendre la notion de zéro et communiquer avec plus de 800 mots, les éléphants qui ont un comportement singulier face à leurs

Jacques Metius, un chercheur qui a trouvé par hasard l'invention de la lunette. Ce chercheur, «a pris plaisir à faire des miroirs et verres brûlants, en composant même l'hiver avec de la glace». Lors d'une expérience réalisée avec plusieurs verres de diverses formes, il a regardé au travers de deux d'entre eux, dont l'un était un peu plus épais au milieu que sur les bords, et l'autre au contraire beaucoup plus épais sur les bords qu'au milieu. Enfin, il les a fixés aux deux extrémités d'un tuyau. La

nudité permet notamment de refléter l’intimité, la solitude à travers la photo. À peu près toutes les photos sont mises en scène, rien n’est laissé au hasard. Cependant, l’idée de faire une photo lui vient spontanément, presque sur un coup de tête. Le miroir a une certaine importance dans ses photos. Il permet de faire disparaître ou avantager un corps. Mais aussi de se le réapproprier. En tout, Francesca Woodman a fait plus de 1000 clichés. Les critiques d’art considèrent Woodman comme « un fantôme

fait du stade du miroir un moment essentiel de la construction de l’identité  un moment fondateur de l’identité .Ce stade représente la conquête de l’image de soi au sens de l’image du corps et de l’identité personnelle.L’enfant perçoit d’abord l’image comme un être réel qu’il va essayer d’approcher , se manifeste une confusion entre soi et l’autre. Puis il perçoit qu’il s’agit d’une image qu’il va bientôt assumer comme étant la sienne. Lacan montre ainsi que par le stade du miroir la représentation

siècle a trouvé l'essentiel de ses ressources mythologiques. L'époque actuelle serait peut-être plutôt l'époque de l'espace. Nous sommes à l'époque du simultané, nous sommes à l'époque de la juxtaposition, à l'époque du proche et du ,lointain, du côte à côte, du dispersé. Nous sommes à un moment où le monde s'éprouve, je crois, moins comme une grande vie qui se développerait à travers le temps que comme un réseau qui relie des points et qui entrecroise son écheveau. Peut-être pourrait-on dire que certains

Heureusement qu’Henry était là pour me ramener  avec sa voiture ; satanée agoraphobie, elle ne cessera donc jamais de m’emprisonner chez moi. A peine entré je me dirige vers ma salle de bain et me lave le visage plein de sueur. Je lève la tête et observe le miroir, je n’y vois qu’un quadragénaire tendu, fatigué dont les cheveux noirs sont aussi emmêlés que ses pensées. Fatigué, je décide de me coucher immédiatement, je m’allonge donc et sens une légère caresse remonter mon flanc, une tête poilue en sortie,

Vous chantiez ? j'en suis fort aise :Et bien ! dansez maintenant. | (*) sources : "le canevas de départ pouvait être fourni au poète à la fois par l'apologue original d'Esope et par la version qu'en propose Aphtonius, qui figurent l'une et l'autre, avec leur traduction latine, dans le recueil de Nevelet."(M.Fumaroli : L.F. Fables, éd. La Pochothèque) (1) Jean-Henri Fabre (1823-1915) dans ses "Souvenirs entomologiques" relève les erreurs de L.F. concernant la cigale : elle ne dispose pour s'alimenter