De l'ombre à la lumière

vous ai vu vous prosterner aux portes de la cité et dans vos foyers, et vous vouer au culte de votre propre liberté, Comme les esclaves qui s'humilient devant un tyran et le louent, alors qu'il les anéantit. Oui, dans le bosquet du temple et dans l'ombre de la citadelle, j'ai vu les plus libres d'entre vous porter leur liberté comme un joug ou des menottes. Et mon cœur saigna en moi ; car vous ne pouvez être libre lorsque vous forgez une chaîne du désir même de la liberté, et quand vous ne cessez

plus grande difficulté de ce voyage qui débute avant même d'être commencé. » Extrait, le « sourire du silence » Jean-Jacques PRADE 1er jour de l'automne 2013, il faisait un temps splendide… Fameux été indien. J’avais eu le plaisir de participer à une conférence sur l’importance des couleurs dans notre vie et sur le lien que font certaines cultures hindouistes ou bouddhistes entre couleurs, chakras et niveau de conscience… Mais là n’est pas l’objet de ma planche. Je suis interpellée car voilà

Emploi du pronom « je » : identification possible du lecteur avec le narrateur, authenticité du témoignage. Des détails comme la blessure qui justifie son arrêt en pleine nuit dans la montagne, de plus le narrateur est un amateur d’art qui s’intéresse à la peinture et peut en parler avec des termes techniques. Par ailleurs le narrateur est accompagné de son domestique dont il va donner l’identité ; il s’appelle Pedro. Au niveau des lieux L’action se passe dans un château, au milieu des Apennins.

apportait l'odeur des fleurs qui s'ouvrent tard; La nuit tombait; l'oiseau dormait dans l'ombre épaisse. Le printemps embaumait, moins que votre jeunesse; Les astres rayonnaient, moins que votre regard. Moi, je parlais tout bas. C'est l'heure solennelle Où l'âme aime à chanter son hymne le plus doux. Voyant la nuit si pure, et vous voyant si belle, J'ai dit aux astres d'or: Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux: Versez l'amour sur nous!                Victor Hugo (1802-1885), Les Contemplations

c‘est le versant clair. Mais la lumière et l‘ombre ne se partagent pas le livre en deux moitiés, elles sont presque partout mélangées. “ Cet avis de Marcel Raymond dans la Pléiade semble-t-il correspondre á votre lecture personnelle de l‘œuvre ? Les Rêveries du promeneur solitaire, un ouvrage inachevé de Jean-Jacques Rousseau rédigé entre 1776 et 1778 et publié à titre posthume, qui est un livre de mémoire, dans lequel il déclare n’espérer plus transmettre à ses semblables ses idées, mais

mots principes qu’il est apte à prononcer. » Martin Buber, JE et TU « Je retournais à moi-même, ayant contemplé la lumière autour de moi et le bien qui était en moi.  Je devins Dieu. » Traité de l’étranger, codex  de Nag Hammadi « Apprenti(e), j’ai beaucoup dormi sur ma colonne. Ce n’est que lorsque j’ai été compagnon que j’ai commencé à participer, que je n’ai eu le sentiment de participer pleinement aux travaux de la loge ». Cette expression je l’ai déjà entendue à plusieurs reprises. Serait-ce

V∴M∴ et Vous tous mes FF∴ Introduction C’est à une promenade que je veux vous convier ce soir. Pour cela, je vais vous demander de fermer les yeux et de me suivre en imagination. Nous allons nous lever pour quitter le temple, traverser la ville de Saint-Germain-en-Laye puis pénétrer dans la forêt. Regardez autour de vous… Partout la nuit dans laquelle la nature s’est endormie. Les branches des arbres sans feuilles ressemblent à des squelettes. Sur la terre noire, les restes de la végétation

d’abord Hugo présente son poème comme un message sacré qu’il adresse à toute l’humanité, l’objet de son discours est de définir la place du poète dans la société. D’une part le poème possède un aspect fortement oratoire. En effet, dès le premier vers le poète annonce clairement qu’il s’adresse aux « Peuples ! » qui se doivent d’ « Ecoutez le poète ! / Ecoutez le rêveur sacré » (v. 1 et 2), l’emploi du pluriel généralise la population à l’inverse de l’auteur qui se place au-delà des hommes comme le montre

Emploi du pronom « je » : identification possible du lecteur avec le narrateur, authenticité du témoignage. Des détails comme la blessure qui justifie son arrêt en pleine nuit dans la montagne, de plus le narrateur est un amateur d’art qui s’intéresse à la peinture et peut en parler avec des termes techniques. Par ailleurs le narrateur est accompagné de son domestique dont il va donner l’identité ; il s’appelle Pedro. [modifier]Au niveau des lieux L’action se passe dans un château, au milieu

Soleil et la Lune apparaissent dans notre ciel avec le même diamètre apparent. Cette similitude de taille s’explique par le fait que notre Soleil est à peu près 400 fois plus gros que notre satellite, mais que celui si se trouve aussi 400 fois plus près de nous environ… Si la Lune était plus proche, ou plus grosse par rapport au Soleil, les éclipses à la totalité provoqueraient une véritable nuit en plein jour, nous ne pourrions pas voir les protubérances solaires qui font toute la beauté du phénomène