Déficit budgétaire et déficit public

Au XIXe siècle (commencement des finances publiques ), on voyait dans les finances publiques que les finances de l'État. Dimension économique très réduite. On essaie de mettre en place des règles pour prévoir un budget, des règles d'exécution budgétaire. Mécanisme de contrôle d'exécution des finances publiques. Besoin de ressources publiques donc répartition de la charge par tous les citoyens (impôts). Angle juridique. Crise année 30 => changement rôle de l'État. Augmentation des dépenses

plus souvent en déficit (=plus de dépenses que de recettes) En 2000, le déficit prévu est de 215 milliards de francs Avantage : Le déficit permet de soutenir l'action économique et sociale du gouvernement, en dégageant plus de moyens. Inconvénient : le déficit doit être financé, en particulier par l'emprunt. Ceci alourdit les charges de l'État. Lorsque la dette devient trop importante, l'État peut se retrouver paralysé (C'est le cas par exemple de nombreux pays africains) Le déficit est désormais

L’augmentation des recettes budgétaires au cours de la décennie 2001-2010 a permis d’asseoir cette allocation accrue des ressources consacrées autant à l’investissement public qu’aux dépenses de fonctionnement ; le premier s’étant accru beaucoup plus vite que les secondes. Une telle démarche n’est pas propre à l’Algérie, puisque la corrélation positive entre l’augmentation des recettes budgétaires (provenant des hydrocarbures dans le cas de l’Algérie) et celle de l’investissement public est observée dans beaucoup

les statistiques économiques et financières d'un Pays *PIB *Chômage *Inflation *Consommation *Production industrielle *Balance commerciale *Déficit public *Dette publique PIB Le PIB (produit intérieur brut) est le principal indicateur utilisé pour étudier l'activité économique d'un pays. Il mesure l'ensemble des richesses créées sur une année, autrement dit, la valeur totale de la production interne de biens et services par les agents résidant sur le territoire national. -Montant du

stimulation de cette demande effective, par le biais d’investissements publics financés par le déficit budgétaire (mise en route du multiplicateur keynésien), d’une politique de redistribution des revenus en direction des ménages ayant la propension marginale à consommer la plus élevée ou encore une politique fiscale favorisant ces mêmes ménages. Dans la logique de Keynes, le financement des dépenses publiques par déficit budgétaire se justifie car in fine les recettes fiscales devraient augmenter, du

de l’inflation, en Espagne, la chute des prix est associée au ralentissement de l’activité économique du pays. Cette situation n’est pas arrangeante au regard des entreprises. Le solde des balances commerciales en Espagne (environ 5% PIB) est en déficit tout comme en France (2.5% PIB). Les entreprises en France et en Espagne souffrent d’un manque permanent de compétitivité. Une hausse des prix est à prévoir en France. Après avoir analysé les indicateurs conjoncturels, passons maintenant à l’analyse

cependant nous verrons ensuite que celles-ci présentent des limites. Au XXe siècle, le budget devient un instrument de la politique conjoncturelle pour gérer les fluctuations économiques, on appelle ça la politique budgétaire. En temps de crise, lorsque qu'il y a de l'inflation, que le niveau de chômage est élevé et qu'il y a un déséquilibre extérieur, elle tente de faire face aux récessions en mettant en place une politique expansionniste qui vise à stimuler la demande

RDB. L’inflation va jouer un rôle contraire d’un dynamisme du revenu des ménages. En générale, les évolutions nominales du RDB ne seront plus aussi favorables en 2011 et 2012 qu’en 2010. Parallèlement, avec une politique de fortes restrictions budgétaires, les prélèvements obligatoires, cotisations sociales et impôts vont se redresser. Mais l’Etat essai toujours de stimuler la consommation des ménages. La consommation des ménages a été stimulé en 2010 par des primes à la casse jusqu’à la fin de

taux d'inflation d'un État membre donné ne doit pas dépasser de plus de 1,5 point celui des trois États membres présentant les meilleurs résultats en matière de stabilité des prix.
2. Situation des finances publiques :
a. Interdiction d'avoir un déficit public annuel supérieur à 3 % du PIB.
b. Interdiction d'avoir une dette publique supérieure à 60 % du PIB.
3. Taux de change : interdiction de dévaluer sa monnaie. En outre, l'État membre doit avoir participé au mécanisme de taux de change (MCEII) du

40% et Fitch Rating 14 % Evaluer la solvabilité des emprunteur  politique (l’efficacité des institutions d’un pays face a des choc économique)  Economique(calcule le niveau de richesse du pays et la solidité de son économie)  Monétaire et budgétaire (la crédibilité de la politique monétaire: maitrise de l’inflation) 2) L’impact de la notation: baisse de confiance des investisseurs Taux d’intérêt plus élevé Hausse du coût de crédit Hausse du coût de la dete Politique d’austérité:+cotisations