Dion Cassius

amant, qui se livrent à des exactions jusqu'à leur départ en -43. La guerre que se livrent les assassins de César, Cassius et Brutus et ses héritiers, Octave et Marc Antoine, oblige la reine à des contorsions diplomatiques. En effet, Brutus tient la Grèce ainsi que l'Asie Mineure, tandis que Cassius s'installe en Syrie. Le gouverneur de Cléopâtre à Chypre, Sérapion, aide donc Cassius avec sans aucun doute l'assentiment de la reine quels que soient les sentiments que lui inspire l'un des assassins

base de la colonne Trajane :" Le Sénat et le peuple romain à l'empereur César Nerva Trajan fils du divin Nerva(...) pour indiquer à quelle hauteur s'élevait la collune qui fut détruite pour les travaux" et également par un passage de l'historien Dion Cassius "on détruisit alors les constructions qui s'élevaient sur cette croupe , comme l'Atruim Libertatis et le tronçon de la muraille de Serviuls Tullius entre le Capitole et le Quirinal." On apprend donc par ces deux éxtraits que les travaux rien que

Cette bataille marque la fin des troubles issus des guerres civiles qui ont secoué Rome depuis -50, et permet à Octave, le futur Auguste, de s'imposer comme maître absolu de l'empire naissant Bibliographie Auteurs de l’Antiquité • Dion Cassius, Histoire romaine, L • Plutarque, Vies parallèles, Antoine • Velleius Paterculus, Histoire romaine, livre II • Virgile, Énéide, VIII Auteurs modernes • Maurice Larrouy , Antoine et Cléopâtre. La bataille d'actium, Le Masque

amphithéâtres situés à la périphérie des villes, le Colisée fut construit littéralement et symboliquement au cœur de Rome. À la mort de Vespasien, en 79, le troisième étage du Colisée était achevé. Le dernier niveau fut inauguré par son fils Titus, en 80. Dion Cassius rapporte que 9 000 bêtes sauvages furent tuées lors des jeux inauguraux. Le bâtiment fut ensuite rénové par Domitien, fils cadet de Vespasien, empereur nouvellement désigné, qui ajouta l'hypogée , réseau de souterrains utilisés pour abriter les

ouvre l’ordre équestre aux légionnaires. Il y’a donc, une démocratisation de l’armée avec Caracalla, tous les hommes libres de l’Empire ont accès à la citoyenneté Romaine. « Permettre une participation élargie aux dieux de Rome. » Caracalla. Pour Dion Cassius, il s‘agit d’un moyen de prélever d’avantage d’impôts. En effet, les caisses Romaines sont presque vide, et Caracalla doit combattre les Parthes et construire des routes. 3 sur 4 HISTOIRE 2nde6 Son édit eut pour effet : • Multiplication de

après les autres. A Antioche comme à Damas, autre centre hellénistique florissant, le judaïsme ne cessa alors de progresser. Le faîte de l’expansion de la religion de Moïse se situa, cependant, au IIIe siècle. Les auteurs de l’époque, Origène et Dion Cassius, désignaient alors, par le terme Ioudaios, non pas un nom ethnique mais celui de l’adepte de la religion et des mœurs juives. Le judaïsme, comme n’importe quelle religion, était alors licite (religio licita) ; mais comme tout païen polythéiste

Ce texte de Cicéron est consacré au courage des gladiateurs face à leurs blessures et à leur mort. De plus, Cicéron nous donne son avis concernant ces combats, ce qui nous prouve que dès l’antiquité certains étaient contre ces tueries. 9. Dion Cassius, Histoire romaine, LXII, 3 et 17. Combats de gladiatrices sous Néron 10. Florus, Abrégé de l’histoire romaine, III, 21. 11. Gaius, Institutions, III, 146. Ce texte concerne les prix d’achat et de vente des gladiateurs. Il est donc la preuve

légion qui a fondé Orange, « la légion II gallica ». Il s’agit d’une légion plutôt méconnue et c’est justement cette inscription qui nous révèle son existence. Selon toute vraisemblance elle fut dissoute après les troubles de 35 av J-C. On sait par Dion Cassius que des soldats mutinés ont été envoyés comme colons en Gaule, notamment pour y fonder Arausio et Bézier. Cette légion est probablement remplacée par la légion II Augusta en 27 av-JC, dont le symbole est le capricorne, figurant notamment sur

le code]De nombreuses traces d'écrivains grecs mentionnent les personnes rousses. Un fragment du poète Xénophane décrivait les Thraces comme ayant des yeux bleus et des cheveux roux. Hérodote exposait les Budinis comme étant principalement roux. Dion Cassius présentait Boadicée, reine des Iceni, comme « grande et d'une apparence terrifiante [...] une masse importante de cheveux roux […] sur ses épaules ». Ramsès II est connu comme “le pharaon roux”[3],[4]. Chez les Hébreux, Esaü est connu pour sa

descendance grecque, choses qui ne firent qu’accentuer sa beauté aux yeux des égyptiens. Étant un peuple à la peau relativement foncée, les traits et la couleur inhabituels de la reine accentuaient le mystère que ceux-ci percevaient en elle. Selon Dion Cassius, «Elle était splendide à voir et à entendre, capable de conquérir les cœurs les plus réfractaires à l’amour, et jusqu’à ceux que l’âge avait réfrigérés.» Mais elle sait aussi tirer parti des parures, parfums et bijoux qu’affectionnaient les Alexandrines