Bède le Vénérable

Bède, dit le Vénérable (en latin : Beda Venerabilis, en anglais : Bede, prononcé /bi:d/), est un moine et lettré anglo-saxon né vers 672/673 en Northumbrie et mort le 26 mai 735. Son œuvre la plus célèbre, l'Histoire ecclésiastique du peuple anglais, lui a valu le surnom de « Père de l'histoire anglaise ». Il est également linguiste et traducteur, et ses traductions des œuvres grecques et latines des premiers pères de l'Église ont joué un rôle important dans le développement du christianisme en Angleterre

qu’à la volonté divine →discipline secondaire souvent exercée par des non spécialistes, l’historien est incapable de s’imposer des critères heuristiques. →Les débuts de l’érudition bénédictine et la renaissance carolingienne (8es.) : * Bède le vénérable (7e-8es.) : rédige des manuels destinés à fournir aux jeunes moines une culture élémentaire des traités scientifiques, des homélies, des hagiographies et des commentaires sur les Testaments. Historia eccclesiastica gentis Anglorum, De temporidus

soumission à la règle poétique, mais aussi à la règle sociale. C'est la grande époque des arts poétiques. Le poète fut tour à tour le protégé du seigneur, du prince ou du roi. Quelques auteurs d'arts poétiques (en latin uniquement) au Moyen Âge : Bède le Vénérable Ars metrica Matthieu de Vendôme Geoffroy de Vinsauf Jean de Garlande Au xviiie siècle, l'art poétique (ensemble de règles concrètes et rationnelles devant régir la production artistique) est concurrencé par les réflexions sur l'esthétique

soumission à la règle poétique, mais aussi à la règle sociale. C'est la grande époque des arts poétiques. Le poète fut tour à tour le protégé du seigneur, du prince ou du roi. Quelques auteurs d'arts poétiques (en latin uniquement) au Moyen Age : Bède le Vénérable Ars metrica Matthieu de Vendôme Geoffroy de Vinsauf Jean de Garlande Au xviiie siècle, l'art poétique (ensemble de règles concrètes et rationnelles devant régir la production artistique) est concurrencé par les réflexions sur l'esthétique

ha Zone tampon : ha Comté de Durham, Angleterre N54 46 29 W1 34 34 Ref: 370bis Brève description Construite à la fin du XIe siècle et au début du XIIe, pour abriter les reliques de saint Cuthbert, évangélisateur de la Northumbrie, et de Bède le Vénérable, la cathédrale atteste l''importance du monachisme bénédictin primitif et apparaît comme le monument le plus vaste et le plus achevé de l''architecture normande en Angleterre. L''audace novatrice de sa voûte annonce déjà l''art gothique. Derrière

l'identité d'un peuple (latin gens) chrétien issu d'une nation « barbare » (latin natio). C'est,par exemple, ce que décrit Bède le Vénérable dans son Histoire ecclésiastique du peuple anglais (latin historia ecclesiastica gentis anglorum) achevée vers 732. La notion de « peuple élu », tellequ'elle est exprimée dans l'Ancien Testament, a un rôle à jouer dans cette évolution : ainsi Bède considére-t-il que son peuple a servi les desseins de Dieu en envahissant les terres des Bretons touchés parl'hérésie

l'oeuvre une éloge à Louis le Pieux. Alcuin (v. 730-804) Alcuin est un savant anglais né en Northumbrie vers 730. Il fut l'un des plus proches amis et conseillers de Charlemagne. Il étudia, sous la direction de Aelbert (disciple de Bède le Vénérable), les sciences religieuses à l'école épiscopale de York, dont il devient maître en 778. Il rencontra Charlemagne à Parme en 781. Charlemagne lui demanda, en 782, de prendre la tête de l'école palatine d'Aix-la-Chapelle, ce que Alcuin accepta

à cause de la proximité avec l’ancienne statue de Néron. A ce propos, Bède le Vénérable (env. 672-735) écrivit un célèbre épigramme par rapport à la signification symbolique de la statue : Quandiu stabit coliseus, stabit et Roma ; « quando cadet coliseus, cadet et Rom, quando cadet Roma, cadet et mundus »(tant que durera le Colosse, Rome durera, Quand le Colosse tombera, Rome tombera, Quand Rome tombera, le monde tombera). Bède se réfère à la statue de Néron, et non au Colisée comme on peut couramment

de Bangor dont il regardait parfois l'hymne alphabétique et monorime, chantée en l'honneur de sint Comgill, la littérature se confinait preque exclusivement dans des biographies de saints, dans la légende du bienheureux Cuthbert, rédigée par Bède le Vénérable sur les notes d'un moine anonyme de Lindisfarn, il se bornait à feuilleter, dans ses moments d'ennuis, l'oeuvre de ces hagiographres et à relirer quelques extraits de la vie de sainte Rusticula et de sainte Radegonde, relatées, l'une par Defensorius

existe chez Hérodote, masse de comparaisons qui ne vont pas au-delà du simple constat concernant la manière dont on peut honorer les Dieux par exemple Au moyen Age, on note les faits importants comme les épidémies, les inondations, miracles… Bède Le Vénérable au 8ème siècle définit la véritable loi de l’histoire : « s’efforcer de mettre par écrit ce qui se rapporte habituellement ». On relate les évènements sans se tenir tenu de les expliquer C) La révolution de la méthode Au XVI, l’historiographie