Discours indirect libre

n’a accès qu’à l’apparence extérieure des événements et des êtres. *LES PAROLES RAPPORTÉES : Le DISCOURS DIRECT rapporte les paroles telles qu’elles ont été prononcées à l’aide d’un verbe introducteur et de guillemets. Le temps employé est celui du discours. Le DD produit un effet de réel. Le récit est vivant mais son rythme est ralenti. Pas d’intervention du narrateur. Le DISCOURS INDIRECT rapporte les propos par le biais d’un verbe introducteur et d’une relation de subordination. Les temps

exclamatives, interrogatives et la répétition : « A quoi bon ! A quoi bon ! » Emma s’irrite de voir sa vie placée sous le signe de la répétition. L’accumulation des expressions suggérant la monotonie de l’existence dans la première phrase au style indirect libre est significative et ce sentiment trouve un écho dans la réalité du monde extérieur où sensations auditives et sensations visuelles se mêlent. L’expression redondante « se suivre à la file » est confirmée par la cloche qui égrène ses sons monotones

transition : grâce aux deux verbes juxtaposés, LF prépare le passage suivant dans lequel on pénétrera dans les pensées du personnage : met bas instaure une pause propice au monologue intérieur / songe, en tant que verbe de pensée introducteur de discours, annonce les vers suivants c) L’art de la concision dans le retournement de situation et la chute (v. 13 à 16) De même que la S.I., cette étape du récit fonctionne en épisode clos et homogène avec l’utilisation des rimes croisées. ● Rebondissement :

dattes "mardi 29 mai" , "dans 3 jours" , "aujourd'hui" , "le premier juin" qui montre ainsi l'impatience et la hâte du personnage qui marque ainsi la joie d'accéder a un échelon supérieur. Son contentement s'exprime encore par la phrase du discours indirect libre "oui , c'était lui , c'était bien lui ce Deume là" où on constate qu'il y a une répétition pour exprimer sa façon d'être ravi , c'est pourquoi l'on peut citer deux autres répétitions "premier juin" (l.7et10) mais aussi "dans trois jours"

récits à la 3e personne (Larbaud), diverses techniques permettent le dévoilement de l'intériorité. Les commentaires explicatifs éclairent les motivations du per­sonnage. Quant au discours narrativisé, il permet d'inté­grer au mouvement même du récit les pensées ou les paroles du personnage. Enfin, le dis­cours indirect libre, parfois difficile à identifier dans la mesure où on risque souvent de le confondre avec le dis­cours du narrateur, restitue le flux des pensées et transcrit le monologue intérieur

reconnaître le discours indirect libre parmi les paroles rapportées. Il existe trois manières de rapporter les paroles des personnages dans un récit : - le discours direct qui reprend les paroles telles qu’elles sont énoncées ; - le discours indirect qui est intégré au récit ; - le discours indirect libre qui emprunte des caractéristiques à l’un et à l’autre des discours. 1. Les emprunts aux discours direct et indirect Le discours indirect libre est l’intermédiaire entre le discours direct et

(interrogation oratoire) Phrases verbales et nominales (« Point de pain… ») — des types de texte : description (vers 1 à 4) et récit (vers 5 à 16)  — des discours rapportés : présence d’un monologue intérieur au discours indirect libre (vers 7 à 9) ; d’un passage de discours narrativisé (vers 10 à 12) ; d’un dialogue restitué d’abord au style indirect (vers 14), puis au style direct (vers 15 et 16) 4 / Les effets sonores évocateurs : « Un pauvre Bûcheron, tout couvert de ramée, « Sous le faix

paroles des personnages sont le plus souvent rapportées avec le discours direct comme par exemple dans Le chêne et le roseau. ( « (…)La nature envers vous me semble bien injuste. _Votre compassion, lui répondit l arbuste (…) » vers 17 et 18. ) Il y a tout de même quelques exceptions comme par exemple dans la fable intitulée la Mort et le bucheron. Dans cette fable, les paroles sont rapportées au discours indirect libre : Il appelle la Mort ; elle vient sans tarder,               

29/04/2014 INVENTION - Réécrire la scène racontée par Manon ou vous choisissez d’alterner des discours directs, discours indirect et discours indirect libre (voir mémé narrative). * Je m’assis, elle demeura debout, le corps à demi tourné, n’osant l’envisager directement, elle commençait plusieurs fois une réponse en disant que j’étais naïf, sans cœur et n’éprouvait ni tendresse, ni affection pour elle. Mais loi j’étais immobile à ma place et je lui répondais : « Je vous aime et je vous aimerai

absence du sérieux ; parodie : imite un genre où un style pour s’en moquer ; caricature : exagération/déformation des défauts ; grotesque : comique de caricature qui imite avec des exagération évidentes, poussés à l’irréel ; la satire : écrit ou discours qui s’attaque à quelqu’un quelque chose en se moquant). Comique verbal / Comique de répétition / Comique de répétition / Comique de gestes / Comique de situation / Comique de caractère. Tragique : Inspire la terreur et la pitié, personnage lutte