Dithyrambe

Dionysos, dieu du vin, de la nature et des arts. Des dithyrambes, des processions, des danses, des chants et des paroles chantées à la gloire des héros grecs, avaient lieu autour de son temple ou sur l'agora dans la région de Corinthe.Lentement, un lieu spécifique s'intègre au temple pour les représentations théâtrales. La tradition rapporte que Thespis, auteur du VIe siècle av. J.‑C. qui se produisit près d'Icaria, révolutionna les dithyrambes : il introduit le premier acteur, le protagoniste. Pendant

certaines règles, des personnages illustres déchirés intérieurement par le destin qui les frappe ou les passions qu'ils éprouvent. Étymologie : du grec tragôidia. Se rattache à tragos = "Le bouc". La tragédie est née du dithyrambe dionysiaque. Le chœur qui exécutait ce dithyrambe était composé d'interprètes jouant le rôle de satyres à pied de bouc, compagnons habituels de Dionysos. La tragédie naît en Grèce et s'y épanouit avec les oeuvres d'Eschyle, Sophocle et Euripide. Le modèle antique sera

« odê » qui signifie chant. Le sacrifice du bouc faisait partie du culte que l’on rendait à Dionysos. La tragédie était l’une des 4 formes du genre dramatique dans le Grèce Antique : il y avait le drame satyrique (qui mettait en scène des satyres), le dithyrambe (chant en l’honneur de Dionysos et par extension poème élogieux), la comédie et la tragédie. Aristote dans sa Poétique (-V° siècle) la tragédie c’est : «  l’imitation d’une action sérieuse et complète, elle a une juste grandeur, son langage

plein de désordre et de querelle, la lyre d’Apollon l’adoucit et l’apaise ») et la « fureur dionysiaque » qui renvoie au dieu des extases, des mystères, des dérèglements et des rythmes des forces naturelles que l’on découvre par exemple dans le Dithyrambe de l’Antiquité grecque. Technique[modifier]

AUTEURS ET LES THEMES Les auteurs. Les thèmes. CONCLUSION LE THEATRE DANS LA GRECE ANTIQUE I.L’ORIGINE DU THEATRE. Une origine religieuse. C’est en Grèce que le théâtre à été inventé. Il est né de la religion et plus précisément du dithyrambe : le chant consacré à Dionysos. Ceci est toujours resté lié au culte. A l’origine, des chœurs chantaient des poèmes sacrés et mimaient la vie des dieux. De cette origine religieuse, le théâtre concerve des scènes rituelle( scène de deuil, de sacrifice

connaissance historique de l'histoire théâtrale afin de mieux comprendre cet enjeu important. Au IX éme siècle avant Jésus Christ le théâtre était un culte rendu aux dieux. En particularité au dieu Dionysos. En effet, selon Aristote le théâtre est né du dithyrambe (chant en l'honneur de dionysos) c'est donc au cours de cérémonie religieuse que nait l'essence du théâtre. Ainsi le théâtre était un culte qui visait à se rapprocher des divinités, ou du moins à les comblés, telle une offrande. Ainsi dans se

personnages. La tragédie apparaît à Athènes au Ve siècle avant J.-C. La tragédie est née des des cérémonies liées au culte de Dionysos à l'occasion desquelles il y avait une chasse suivie de sacrifices sanglants, de danses et d'un chant lyrique (dithyrambe) à la gloire de la divinité. Définition de la règle des 3 unités: Le théâtre de la seconde moitié du XVIIe siècle est souvent appelé théâtre classique parce qu'il répond à un ensemble de règles inspirées du théâtre antique. D'abord tacites

préface est un texte placé en tête d'un ouvrage pour le présenter, en préciser les intentions, développer ses idées générales (Préface de Cromwell, ou encore Préface duDernier Jour d'un condamné, de Victor Hugo) ; § l'éloge, le panégyrique, le dithyrambe sont des textes marquant l'enthousiasme et l'admiration que leur auteur voue à quelque chose ou quelqu'un. Registre * Polémique : (polemos : la guerre) S’adresse à la raison. Débat avec deux thèses opposés. Légerement violent dans les paroles

Au début de la Poétique, la mimèsis comprend « l'épopée et la poésie tragique, comme aussi la comédie, l'art du dithyrambe » et, en partie, l'art de la flûte et de la cithare (47 a 16). La différence avec Platon saute aux yeux, puisque épopée, drame et dithyramble relèvent cette fois tous trois de la mimèsis, alors que pour Platon celle-ci se limitait au discours direct, que le dithyrambe (diègèsis simple) n'en relevait pas et l'épopée seulement partiellement. Notons que la mimèsis n'est pas définie

une partie du corps ( surtout féminin), un objet. Souvent au XVI. Contre-blason = éloge ironique. Caricature : description qui accentue les traits pour se moquer, critiquer, ridiculiser. Diatribe : discours violent, parfois injurieux contre qqn Dithyrambe : éloge lyrique souvent excessif dans ses termes. À l’origine un chant entonné en l’honneur de Bacchus. Oraison funèbre : discours parfois d’inspiration religieuse, prononcé à l’occasion des obsèques de qqn. Pamphlet : écrit violent attaquant qqn