Djihad

donc représentations présente. Idée qu’il ne faut pas avoir peur de l’Islam mais de la logique d’affrontement. Vision qui des 2 côtés est stéréotypée. Anecdotes : quand on parle de Djihad, on pense à la guerre sainte (petit et grand djihad. Grand Djihad = lutte contre le mal à l’intérieur de soi-même / Petit djihad = la guerre). ° D. Duclos : part de l’idée que le S (au N) est envisagé comme la partie négative. Il parle de « déplacement de la menace » et l’analyse. Prend l’ex des 4 points cardinaux

diffusent pacifiquement cette religion et convertissent les Toucouleurs, lesquels la propageront partout au Sénégal. Plus tard, au xie siècle, les Almoravides, aidés des Toucouleurs, tentent d'islamiser les groupes de religion traditionnelle par le Djihad. C'est l'une des raisons qui entraîne la migration des Sérères vers le Sine-Saloum, des Wolofs, des Peuls et des Mandingues, qui étaient tous concentrés au Tekrour. Une légende populaire, chantée par les griots et illustrée par le poète-président

conversion. F/ les limites del'expansion : la bataille de Poitiers et l'expulsion des musulmans de Gaule méridionale. 2/4 du VIII : crid califat omeyyade qui provoque sa disparition. Abd al-Malik (724-743) lance un dernier grand effort de djihâd = pasbonne idée (coute cher). Rencontre résistane, troupe arabe sont défaite. Carcassonne et Nîme occupé en 725 732 = défaite de Poitiers. = objectif pillage / occupation, armée arabe commander par le gouverneur de Cordoue entre en Aquitaine.

terroriste fut de mettre en place les conditions des clashs culturels et religieux. En effet, c'est exactement cette réaction que les attentats du 11 septembre voulaient déclencher. Il s'agit pour les fondamentalistes islamistes, de territorialiser le djihad et d'attirer l'Occident dans le piège de l'action militaire au sol. | | Thème n°8 : Existe-t-il un empire

internationaliste7. Il s’apparente aux mouvements fraternalistes (ikhnawi) des Frères musulmans et s’oppose à la fois au clergé traditionnel et aux coutumes tribales. Il s’appuie sur une idéologie solide, cohérente, théorisée. Durant les années de djihad, il a créé l’un des plus grands réseaux politico-militaires en dépassant les clivages ethniques. Bien qu’il ait subi de nombreuses transformations tout au long des années 1980 et 1990, son 6. P. Haéri et L. Fromaget, Stabiliser autrement ? Les équipes

des terres des citoyens israéliens d'origine arabe). L’antisionisme des religieux musulmans Ce courant rappelle que Jérusalem est le troisième lieu saint de l’islam, et que la conquête d’une terre musulmane quelle qu'elle soit, est un motif de Djihad défensif, à la fois légitime et obligatoire pour tous les croyants. La lutte contre le sionisme est donc une obligation religieuse. L’antisionisme des antisémites Il s’agit d’une hostilité aux Juifs, qui se traduit par une hostilité à leur État

manifestations politiques, la célébration des terroristes comme héros dans les écoles dirigées par l’Autorité Palestinienne (AP) - rend ces intentions claires, sans oublier que c’est le but déclaré des principales organisations terroristes, le Hamas et le Djihad islamique. Mais peut-on les considérer comme le but du mouvement de libération palestinien pris dans son ensemble ? Est-ce vraiment ce que cherche Yasser Arafat ? Il n’est pas facile de voir dans son jeu ; peut-être pense-t-il qu’il manipule les terroristes ;

« guerre mondiale contre le terrorisme » à la recherche d’un nouvel ennemi susceptible de remplacer le péril communiste. Il est vrai qu’Oussama Ben Laden et Al-Qaïda s’inscrivent aussi dans cette approche du choc des civilisations par l’appel au « Djihad mondial ». L’influence du facteur culturel sur les RI a été abordé dans le cadre d’études sur les conflits post-Guerre froide. Ainsi, pour Bertrand Badie et François Thual, la culture et son expression la plus radicale, les revendications identitaires

l'enjeu est dans les importants gisements de pétrole qui viennent d'être découverts. • À partir du coup d'État de 1989, par la junte islamiste des Frères musulmans de Khartoum, alors qu'ils n'avaient recueillis que 10% des voix aux élections, le djihad est déclaré contre les populations du Darfour. Cette première guerre va causer près de 2 millions de morts. 2003 • Le 10 février 2003, les rebelles du SLA/M et du MJE, attaquent et occupent Gulu, ville du Nord-Darfour, et revendiquent une meilleure

officiellement annoncée qu’en 1995. Le GICL est inscrit sur la liste noire des organisations terroristes par le Conseil de sécurité de l'ONU. À partir de 1995, sous la houlette d’Abou Abdallah Saddik, son leader historique, le GICL s'est lancé dans le djihad contre le régime de Tripoli. Une grande partie de ses militants est alors rentrée en Libye afin de renverser le colonel Kadhafi et de lui substituer un Etat islamique radical. Des actions terroristes ont ainsi été menées à l’intérieur du pays. Les