Doctrine

plaisir est la finalité de toute action morale), le principe hédoniste (le plus grand bonheur pour le plus grand nombre) et le principe d’impartialité (le calcul de l’utilité en toute objectivité, sans tenir compte de sa situation). C’est aussi :« la doctrine qui donne comme fondement à la morale l’utilité ou le principe du plus grand bonheur et qui affirme que les actions sont bonnes ou mauvaises dans la mesure ou elles tendent à contrôler le bonheur ou à produire le contraire du bonheur ». (Page48-49

= Définition générale : la doctrine Le terme matérialisme recouvre une multiplicité de doctrines: une définition générale peut cependant être trouvée qui mette en évidence une caractéristique essentielle, propre à toutes ces doctrines: la matière est la seule réalité. Dans tous les cas le matérialisme pose que l'esprit peut être expliqué (= donner le processus causal antécédent) par la matière, ce qui rend la croyance en l'immortalité de l'âme pour le moins hasardeuse et ce qui nous avertit

d'un avis contraire: Pour ces derniers, le mercantilisme marque une rupture remarquable. Jusqu'au XVIe siècle en effet, la théorie économique tient peu de place. Le mercantilisme va contribuer à la faire apparaître dans le débat public. Et cette doctrine prend corps dans un contexte doublement favorable et porteur : d'une part, au lendemain des découvertes maritimes ; d'autre part, à l'époque de l'émergence des États-Nations. Du XVIe siècle au XVIIIs siècle, le mercantilisme se constitue progressivement

limitation du pouvoir étatique par la soumission de l’Etat au droit. (Concept anglo-saxon de « Rule of Law »). Le terme d’auto-obligation quand à lui renvoie à l’idée que l’état est antérieur au droit et qu’il l’aurait créée pour s’y soumettre. Mais des doctrines s’opposent quant au fait de cette auto-obligation, donc s’opposent concernant l’origine et la nature des limitations que comporte la puissance d’Etat. Ce texte est extrait de l’œuvre de 1962 du juriste autrichien Hans Kelsen Théorie pure du droit

retenir que c’est parce qu’il y a du droit qu’il y a des libertés. B) Les doctrines relatives à la liberté 1) La doctrine libérale Le libéralisme est une notion à géométrie variable, il y a plusieurs libéralismes selon les Etats. Il demeure que quel que soit les Etats, il existe un fonds commun au libéralisme, le postulat dans tous les cas est que l’individu est placé au-dessus de l’Etat ; il faut revenir à la doctrine des Lumières qui est apparue au 18ème siècle. On considère que l’individu

environnement Dogmatisme Primitivement désigne toute doctrine prétendant qu'il est possible d'atteindre la certitude absolue et de prouver des vérités certaines, en particulier des vérités métaphysiques, et s'opposant au scepticisme Dualisme Est dualiste toute théorie selon laquelle la réalité se compose de deux substances absolument hétérogènes (ex: le dualisme de l'âme et du corps) Empirisme L'empirisme est le nom génétique des doctrines selon lesquelles toutes nos connaissances dérivent de

Les doctrines révolutionnaires auxquelles adhérait Bertolt Brecht peuvent-elles e ffffffffffffffffffffffffffffffffffffffengendrer la paix dans le monde ? Ehhejrnjenrnnnnnnnnnnn Pour répondre à cette problématique, il me semble intéressant de commencer par vous dire qui est Bertolt Brecht et à quelles doctrines celui-ci adhérait et n’adhérait pas. Bertolt Brecht est un poète et auteur dramatique allemand. Il est né à Augsbourg en 1898 et est décédé

La philosophie que l'on désigne sous le nom de stoïcisme prit naissance dans les dernières années du IVe siècle avant notre ère; elle tint bien vite en balance les doctrines les plus fameuses. Ces principaux représentants furent Zénon, Cléanthe, Chrysippe, Panaetius, Posidonius, Sénèque , Épictète, Arrien et l'empereur Marc-Aurèle. Ce fut, dès son commencement, une philosophie morale et pratique; un caractère qui se prononça, lorsqu'elle passa au IIe siècle av. J. -C. de la Grèce à Rome. Également

tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif en vigueur ou d'autres facteurs locaux tels que l'ethnie, la nationalité ou la religion. Selon cette doctrine, combattue ou éclipsée aux xix éme siècle, xx éme siècle et xxi éme siècle par d’autres doctrines, tout homme -en tant que tel, et indépendamment de sa condition sociale- a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables et sacrés », et donc opposables en toutes circonstances à la société et

lequel tout être humain possède des droits universels, inaliénables, quel que soit le droit positif en vigueur ou d'autres facteurs locaux tels que l'ethnie, la nationalité ou la religion. Selon cette doctrine, combattue ou éclipsée aux xix e siècle, xx e siècle et xxi e siècle par d’autres doctrines, tout être humain – en tant que tel et indépendamment de sa condition sociale – a des droits « inhérents à sa personne, inaliénables et sacrés », et donc opposables en toutes circonstances à la société