Dom Juan Libre Penseur

représentant de la bourgeoisie (incarnation de la bonne fortune), quant à la droite, elle le traite de démagogue, de socialiste. Sur le plan idéologique et religieux : d'un côté, il est voué aux Gémonies par les catholiques : penseurs rationalistes, voltairiens. Des gens représentants de la libre pensée le considèrent comme bigot, bienpensant et représentant d’un âge ancien. Donc, Hugo est un personnage à prendre avec des pincettes. Préjugés politiques, idéologiques et esthétiques. III) Hugo et la tradition

rue Basse-du-Rempart ». Les italiques de l’adverbe de lieu « là-dedans » et les points de suspension qui le suivent disent assez bien sa répugnance à s’y engager et son dédain pour cet endroit qu’il désigne ainsi dans sa tête, au discours indirect libre. Le verbe « s’enfoncer » comme l’adjectif « Basse » qui compose le nom de cette rue, bien nommée, expriment l’idée d’une descente dans les bas-fonds que vient appuyer l’expression dégoûtée « la honte du boulevard de ce temps ! » ponctuée par un point

rue Basse-du-Rempart ». Les italiques de l’adverbe de lieu « là-dedans » et les points de suspension qui le suivent disent assez bien sa répugnance à s’y engager et son dédain pour cet endroit qu’il désigne ainsi dans sa tête, au discours indirect libre. Le verbe « s’enfoncer » comme l’adjectif « Basse » qui compose le nom de cette rue, bien nommée, expriment l’idée d’une descente dans les bas-fonds que vient appuyer l’expression dégoûtée « la honte du boulevard de ce temps ! » ponctuée par un point

procure cette puissance. On peut aussi considérer la souveraineté vis à vis de l’intérieur et vis à vis de l’extérieur. Cette puissance suprême qui s’applique sur l’état et ses collectivités mais sur l’extérieur c’est cette liberté qui fait qu’on est libre. Elle est liée au concept qu’est l’État, réalité sociologique. Elle s’exprime à l’intérieur de la hiérarchie des normes, et elle s’exprime dans la constitution. La norme constitutionnelle est l’expression de la souveraineté. Expression de la souveraineté :

dans sa vie : la poétesse Anna de Noailles et la comédienne Mary Marquet. 1911 : Il parvient cependant à écrire un long poème, Le Cantique de l’Aile, en l’honneur des premiers aviateurs, héros modernes, ainsi qu’une pièce, La Dernière Nuit de Don Juan, qui commence où s’achève la pièce de Molière. Cette œuvre ne sera publiée qu’après sa mort, de même qu’une seconde version de La Princesse lointaine, pourtant promise à Sarah Bernhardt. 1914-1918 : La guerre semble redonner un souffle nouveau

regroupement au sein des deux poèmes ? Qui sont alors les vivants ? Qui meurt dans les textes ? Le « pauvre père » et la « pauvre mère » ou seulement le père. Il y aussi le « général » dont le cheval se moque de façon un peu irrévérencieuse à la manière de Dom Juan vis à vis du commandeur. Souhaiter « bon appétit » à un défunt ne fait pas partie des règles de la bonne conduite. Seulement deux de ces figures d'autorité appelaient la révolte. Le militaire est caricaturé dans sa lâcheté : le « général qui qui

Ce 1er type de romantisme s´oppose aux philosophes du XVIIIe siècle. Ils revendiquent contre la raison, ils veulent l´inspiration divine, toute exprimée par le poète non par le philosophe. Mais, tout au long du XIXe , ce poète deviendra « poète - penseur », qui croit en une société nouvelle. Cette figure apparaît entre 1830-1848. Dans le préromantisme va apparaître la partie théorique de ce nouveau mouvement. # La sensibilité, les sentiments et le cœur conduisent à la vertu. On croit à la bonté

félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un hédoniste au sens de Calliclès et Hobbes : il cherche à satisfaire sans cesse tous ses désirs, notamment ses désirs de conquêtes féminines. L’inconvénient d’une telle théorie est qu’un tel bonheur n’est pas facile à atteindre. L’homme est

félicité en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un hédoniste au sens de Calliclès et Hobbes : il cherche à satisfaire sans cesse tous ses désirs, notamment ses désirs de conquêtes féminines. L’inconvénient d’une telle théorie est qu’un tel bonheur n’est pas facile à atteindre. L’homme est

en cette vie. Car il n’y a rien qui ressemble à la béatitude perpétuelle de l’esprit, tant que nous vivons ici, parce que la vie n’est elle-même que le mouvement et ne peut être ni sans désir, ni sans crainte. Hobbes, Léviathan, I, 6 Dom Juan est un hédoniste au sens de Calliclès et Hobbes : il cherche à satisfaire sans cesse tous ses désirs, notamment ses désirs de conquêtes féminines. L’inconvénient d’une telle théorie est qu’un tel bonheur n’est pas facile à atteindre. L’homme est