E caduc

loisir, c-m 5 (2/3) Aimer/ et mourir c-m 7 (3/4) Au pays/ qui te ressemble ! b-f5 (3/2) Les soleils/ mouillés d-m Enj5 (3/2) De ces ciels/ brouillés d-m 7 (4/3) Pour mon esprit/ ont les charmes e-f Enj5 (3/2) Si mysté/rieux f-m Enj5 (3/2) De tes traî/tres yeux, f-m 7 (4/3) Brillant à travers/ leurs larmes. e-f7 (4/3 ou 1/6) Là, tout n'est qu'ordre / et beauté, g-m 7 (3/4) Luxe, calme / et volupté. g-m Chaque distique (composé de 2 vers) comporte 5 syllabes, c'est un pentamètre ou pentasyllabe. Il

terminée par un E muet s’élide devant un mot commençant par une voyelle ou un H muet. « Non, Madam(e) : il vous aim(e) et je n’en doute plus. » Racine, Andromaque « Jamais mensong(e) heureux n’eut un effet si prompt » Racine, Athalie En revanche le E muet qui est élidé dans la langue ordinaire doit être prononcé s’il est suivi d’une consonne. Cette pratique donne au vers limpidité, sonorité et équilibre avec la séquence consonne + voyelle + consonne. « C’était l’heure tranquill(e) où les lions

syllabe en 2 temps ) L'emplacement des diérèses (V10, V23, V38) prouve la régularité des rythmes. Les mots illustrent l'exotisme, illustrant le pays. Les heptasyllabes embrassent des distiques de pentasyllabe. Les heptasyllabe sont des rimes féminines (e muet). Etude : I-Des tableaux : -Un triptyque (tableau en 3 parties) femme paysage : 1ère strophe Un intérieur : 2ème strophe La ville (portuère) : 3ème strophe II-Un lieu magique : -Imaginaire, souhait de voyage -Le lieu est idéal parce

Rimes riches : 1-4 (mais avec e muet), 5-8 Vers 1-5 : Louise reproche à l'aimé le pétrarquisme de ses éloges passés : la comparaison de ses yeux au soleil et la métaphore selon laquelle ils tirent des flèches d'amour.Vers 4 : « Amour » : il s'agit du personnage symbolique, que l'on retrouve dans d'autres sonnets et dans le Débat de Folie et d'Amour.Vers 12 : « Ire » signifie « colère ».Vers13 : Ce vers est un endécasylalbe, à moins de pratiquer l'éllision du « e muet » d'« assure » ; si on le fait

sont des rimes féminines (e muet). ETUDE DE LA 1ère STROPHE : - V1-2 : riche, " s ", " eu " et " r ". Masculine. Autres sons : " on " et " a " ce qui renforce la rime. - V 3-6 : riche, " s ", " en ", " b " et " l ". Féminine - V 4-5 : suffisante, " i " et " r ". Masculine - V 7-8 : riche, " ou ", " ill " et " é ". Masculine - V 9-12 : riche, " a ", " r " et " m ". Féminine - V 10-11 : suffisante, " i " et " eu ". Masculine - V 13-14 : suffisante, " t " et " é ". Masculine ETUDE DE LA

rythme. C’est le nombre et l’accentuation des syllabes qui vont définir ce rythme. a) Comment compter les syllabes ? En général, toutes les syllabes doivent être comptées sauf : - la dernière syllabe d’un vers si elle est terminée par un e muet. - quand un e muet est immédiatement suivi d’une voyelle dans le vers. b) Les types de vers les plus utilisés: Un vers composé de 6 syllabes est un hexamètre ou hexasyllabe. Un vers composé de 8 syllabes est un octosyllabe. Un vers composé de 10

des vers imparisyllabiques (nombre impair de syllabes) comme l’heptasyllabe (7 syllabes) par exemple. Comment compter les syllabes ? Le décompte des syllabes doit être fait avec soin. Il faut pour cela tenir compte de trois particularités : le –e muet : le –e muet (final) ne se prononce que s’il est suivi d’une consonne. Il ne se prononce jamais en fin de vers. la diérèse : on prononce en deux syllabes ce qui se prononce habituellement en une seule. Ex. « li-on » pour « lion ». la synérèse : on prononce

La versification I. Le mètre C’est le nombre de syllabe contenues dans un vers. Un vers est une ligne de poésie. Pour compter les syllabes, il faut se méfier du e muet : il compte à l’intérieur d’un vers s’il est suivi d’une consonne. Nombre de syllabes Nom du vers 12 Alexandrin 10 Décasyllabe 8 Octosyllabe 7 Heptasyllabe 6 Hexasyllabe II. Les rimes On les classe par leur richesse, leur disposition et leur genre. Critère Terminologie Définition Richesse • rime riche

pas utiliser un ton monotone et à bien respecter la ponctuation. Dans le cas d'un poème, respectez le rythme des vers. Attention aux e muets, aux diérèses, aux enjambements. Rappelons ici au sujet des e muets que toute syllabe contenant un e muet compte pour un pied si le e se trouve devant une consonne ou un h aspiré. Il faut alors prononcer distinctement le e. La diérèse se rapporte à deux voyelles que l'on prononce de manière à en faire deux syllabes au lieu d'une. Par exemple, violon peut

pose parfois problème. • Le e muet A la fin du vers, le e muet ne compte jamais comme une syllabe (ex : « l’infini qui nous désaltèr(e)... » = 8 syllabes, octosyllabe) A l’intérieur du vers, le e habituellement muet qui termine un mot se prononce si le mot suivant commence par une consonne ou par un h aspiré (ex : « Grand ange qui portez sur votre fier visage... » = 12 syllabes, alexandrin) En revanche, si le mot suivant commence par une voyelle ou par un h muet, le e muet ne se prononce pas et ne