Enfants-sans-Souci

classe ouvrière de l'époque. Immédiatement après être entrés dans ce monde contrasté, les enfants et la mère sont figés sur place. Zola utilise une sorte de juxtaposition que la chaleur de la pièce, la présence de ces

.......................................................... 3 Formes de fratrie ......................................................................................................................... 4 Aborder l’arrivée d’un nouveau-né avec un enfant .................................................................... 5 Conclusion ................................................................................................................................... 6 2)Pourquoi cette thématique amène

Dans le Québec rural d'avant « la révolution tranquille », par un matin d’hiver nait Emmanuel, le seizième enfant d’une famille dominée par une grand-mère à la poigne de fer, Antoinette, autour de laquelle le livre Une saison dans la vie d'Emmanuel s'articulera principalement. Dès les premières phrases du livre, Marie-Claire Blais, l'auteure, fait savoir que cette grand-mère au fort caractère est celle qui contrôle l'environnement familial. Dans la famille, grand-mère Antoinette assume le rôle

Justine 14ans,Je suis issue d'une famille de 5 enfants dont je suis la dernière,En 1974 ma mère avait fait les démarches pour être ce que l'on appelait a l'époque «Nourrice agréée» et j'ai donc connu dans ma jeune enfance ce domaine j'aimais déjà être au contact des enfants que ma mère gardait, j'avais aussi tous mes neveux et nièces que mes frères et sœurs me confiaient en toute sérénité , Ensuite je fus secrétaire, je me suis mariée et ai eu 2 enfants dont j'ai préféré être mère au foyer, En 2005

n'est pas très connue car toutes les sociétés de nos jours sont patriarcales, une notion qui n'est pas dans les traditions de la société des Mosuo. Leurs structures n'est pas nucléaire ( un ménage regroupant deux parents mariés ou non ainsi que leurs enfants ) mais seul la mère est la chef de famille car la valeur du père est inexistante à part bien sur pour procréer, un terme légèrement péjoratif mais qui montre bien que le père n'a pas de rôle : la mère et le père ne vivent pas en couple mais chacun

la douche dues au savon. Dans les WC, il y avait un évier avec du savon, un robinet avec un détecteur de gestes qu’il ne fallait pas toucher pour allumer et un essuies pour les mains (une poubelle à pédales). Dans la cuisine de l’internat, aucun enfant ne pouvait y rentrer pour des raisons d’hygiène. Les bouchon des produits avaient des fermetures de sécurités et étaient souvent placé en hauteur. Pour éviter les intoxications, des aérations étaient placées dans la cuisine ainsi que deux grandes

pour survivre + habits rudimentaires 2- Une femme ( et son enfant) : un carrosse : → « berline noire », « couronne ducale » = nous renseigne que c'est une duchesse à l’intérieur, « deux chevaux gris, deux laquais », « tapissé de damas bouton d'or » => nous renseigne déjà sur une classe sociale élevée description physique : → « fraîche, blanche, belle, éblouissante » = montre une aisance particulière → « charmant petit enfant » => femme « riait et jouait » = joie de vivre description

absolutisme, Louis XIV avec 2 moments. 1660-1680 : Jeunesse Louis 14 qui va organiser différentes fêtes ds ses châteaux (Fontainebleau, Marly…). Il x les maîtresses (Mme de Montespan avec qui il aura +sieurs enfants dits bâtards) Femme de Louis 14 : Marie-Thérèse. 4 enfants. Pr élever ses enfants -> Mme de Maintenon. A la mort de MT, il va épouser de façon morganique Maintenon, càd qui ne fait pas d’elle la Reine car origines obscures (petite noblesse). Extrêmement importante. 1680-1715 : Période

de deux enfants qui s’émerveillent à la vue d’un « rat vivant ». I) L’opposition des deux mondes II) Le regard du poète I) L’opposition des deux monde Il est aisé de noter que l’enfant riche et l’enfant pauvre, placés face à face, incarnent deux vies et deux mondes parfaitement antithétiques. L’antithèse est d’ailleurs soulignée par l’expression « ces barreaux symboliques séparant deux mondes » (l. 38-39). Le contraste est visible à travers les lieux, l’aspect physique des enfants et les joujoux :

saHsfacHon Dans la relaHon amoureuse, est-­‐ce le contrôle et l’uHlisaHon de l’autre à notre profit qui nous donne le plus de jouissance ? II. Plan : 1 (thèse) On pense le plus souvent que l’amour sup-­‐ pose le souci de l’autre, son épanouissement semble la condiHon de notre bonheur ; 2 (anHthèse) mais le mal peut être notre moHvaHon pour aller vers l’autre, que nous voyons parfois comme le moyen de saHsfaire nos désirs ; 3)