Exposé Sur Rhinocéros

cœur a failli s'arrêter : au milieu de l'arène, me tournant le dos, se trouvait le plus gros chien des Enfers que j'aie jamais vu. Pourtant, j'en ai vu de sacrément grands. Quand j'avais douze ans, un chien des Enfers qui faisait la taille d'un rhinocéros a essayé de me tuer. Mais celui que j'avais là sous les yeux avait le gabarit d'un blindé. Je me suis demandé comment il avait bien pu franchir la limite magique de la colonie. Couché sur le ventre, il avait l'air parfaitement à l'aise et grognait

laissait libre carrière à l’imagination. L’esprit humain se plaît à ces conceptions grandioses d’êtres surnaturels. Or la mer est précisément leur meilleur véhicule, le seul milieu où ces géants près desquels les animaux terrestres, éléphants ou rhinocéros, ne sont que des nains, – puissent se produire et se développer. Les masses liquides transportent les plus grandes espèces connues de mammifères, et peut-être recèlent-elles des mollusques d’une incomparable taille, des crustacés effrayants à contempler

laissait libre carrière à l’imagination. L’esprit humain se plaît à ces conceptions grandioses d’êtres surnaturels. Or la mer est précisément leur meilleur véhicule, le seul milieu où ces géants près desquels les animaux terrestres, éléphants ou rhinocéros, ne sont que des nains — puissent se produire et se développer. Les masses liquides transportent les plus grandes espèces connues de mammifères, et peut-être recèlent-elles des mollusques d’une incomparable taille, des crustacés effrayants à contempler

laissait libre carrière à l’imagination. L’esprit humain se plaît à ces conceptions grandioses d’êtres surnaturels. Or la mer est précisément leur meilleur véhicule, le seul milieu où ces géants près desquels les animaux terrestres, éléphants ou rhinocéros, ne sont que des nains, – puissent se produire et se développer. Les masses liquides transportent les plus grandes espèces connues de mammifères, et peut-être recèlent-elles des mollusques d’une incomparable taille, des crustacés effrayants à contempler

laissait libre carrière à l’imagination. L’esprit humain se plaît à ces conceptions grandioses d’êtres surnaturels. Or la mer est précisément leur meilleur véhicule, le seul milieu où ces géants – près desquels les animaux terrestres, éléphants ou rhinocéros, ne sont que des nains – puissent se produire et se développer. Les masses liquides transportent les plus grandes espèces connues de mammifères, et peut-être recèlent-elles des mollusques d’une incomparable taille, des crustacés effrayants

laissait libre carrière à l’imagination. L’esprit humain se plaît à ces conceptions grandioses d’êtres surnaturels. Or la mer est précisément leur meilleur véhicule, le seul milieu où ces géants – près desquels les animaux terrestres, éléphants ou rhinocéros, ne sont que des nains – puissent se produire et se développer. Les masses liquides transportent les plus grandes espèces connues de mammifères, et peut-être recèlent-elles des mollusques d’une incomparable taille, des crustacés effrayants

substance called camphor, but the tree itself withers up and dies when it has been so treated. In this same island we saw the rhinoceros, an animal which is smaller than the elephant and larger than the buffalo. It has one horn about a cubit long which is solid, but has a furrow from the base to the tip. Upon it is traced in white lines the figure of a man. The rhinoceros fights with the elephant, and transfixing him with his horn carries him off upon his head, but becoming blinded with the blood

imperatives and his Satires (1660–1708) move from the portrayal of modern life, through literary criticism (he defended Molière and mocked empty vessels like Chapelain) to a consideration of human folly and social abuses in more general terms. Reluctant to expose his limitations as a writer by tackling the ‘great’ genres, he was nevertheless a considerable stylist, capable of a wide range of tones. Passages from the Satires, together with his contributions to the Chapelain décoiffé and his satire of the heroic

génération », son « porte-drapeau ». On me couvrait d’éloges sur mon talent, on me plébiscitait et on étudiait mes textes. Et si j’avais connu une fin aussi tragique qu’une Amy Winehouse, comme cela a failli être le cas après la clinique, si j’avais exposé au monde ma déchéance, alors j’aurais sûrement été considérée comme un génie mal compris, une star pas comme les autres, un talent hors du commun, fracassé par la vie. C’est vrai, on m’aurait peut-être regardée comme un animal de foire ou on m’aurait

altière, plus prodigue et, pour ce, cent fois plus exposée au danger, mais encore présenter à l'homme l'idéal absolu, le but, l'étalon, l'objet du plus haut désir. L'érection d'un pareil idéal fut jusqu'à présent la plus inquiétante tentation à quoi fut exposé l'homme: car, par elle, l'exception mieux venue, le coup de bonheur dans la création de l'espèce humaine, ces fortes individualités, où la volonté de puissance et de développement du type homme tout entier font un pas en avant, étaient menacées de