Fables Dialogue

l'état animal qui séduit Jean ). Bérenger : Au contraire, Bérenger rappelle les valeurs de la civilisation « une philosophie » l.3 + « un suprême de valeurs » l.4 + « esprit » l.33 ( mais ces valeurs morales sont anéanties par Jean ). 2 ) Un dialogue impossible - Bérenger tente de préserver un rapport d'amitié : L.42 « mon cher Jean » + Bérenger emploi aussi des formules de politesse pour s'opposer à Jean « Je suis étonné de vous entendre dire cela » l.42 + L.42 également « Aimeriez vous être

tableau différemment après cette querelle, le tableau lui parle, il en f ait un lecture très poétique ; c'est donc un personnage qui a beauoup évolué, qui est tourné vers une renaissance amicale Tout cela ne reste qu'une apparence aucun dialogue, trois monologues,et qui dit monologue, dit difficulté à communiquer, ou certaines choses à ne pas révéler Yvan toujours en retrait, toujours tourné vers lui-même puisqu'il fait toujours etat de sa sensibilité exacerbée. ( Il pleure, ...cf.texte)

le registre tragique s’exprime par la grandeur du personnage qui se bat contre lui-même. I-Un monologue Les indices de la solitude du personnage Je/les miens… Tu/t’/tes… Pronoms et adjs 1° et 2° personne Renvoient à Titus Ce « dialogue » Titus ne peut l’avoir qu’avec lui-même (solitude du Prince) Titus, seul Didascalie doublement significative « seul » en scène et « seul » face à son choix Moi-même(14)/et moi seul (19) Insistance sur le « moi » en cause Titus

LE REGISTRE COMIQUE TEXTE 4 : ART -comique de répétition -terme grossier -critique de l'art moderne et tout les préjugés Questions : p 249 Dialogue vif pour captiver l'attention du spectateur : introduit la pièce Il figure la pièce pour voir si le lit peut rentrer. Le comte choisit la chambre car il aime Suzanne et lorsque Figaro partira, il pourra la “ courtiser”. Beau Marchais, dans cette scène d'exposition, met au centre de l'intrigue la chambre. Dans la tragédie en revanche

histoire couple qu'il construit, devine leur histoire. -«3 jr»: moment du meurtre/ se connaissent. * Dialogue. débouche sur rien: crée hist. possible, susceptible rejoindre la leur. Conclusion : * Extrait car. écriture Durasienne. Narration discontinue traduit sentiment vide & absence. Univers inachevé met en scène de la passion inassouvies. Lecteurs dérouté par dialogue chargé d'implicite, au langage pourtant très simple. Alors que le récit 1er progresse peu, métarécit sème la

dans leur cheminement personnel. les Obstacles de l'écout active : -Bruit -Distractions visuelles -Climat au travail -Orateur ne parlant pas suffisamment fort ou clair -L’homme préfère convaincre qu’être convaincu -N’introduit pas de dialogue constructif Techniques de l’écoute active: Il est important de connaître et de maîtriser les techniques de l'écoute active : 1. Le résumé de contenu : reprendre dans ses propres mots tous les éléments du contenu d’un message, sert à vérifier

réactions normales -Gaby = parisien, délicas, réfléchie, avec un parler populaire, costaud mais pacifique -narrateur omniscient au début -narrateur qui nous fait aimer l'histoire, qui guide, assez discret, avec des limites -présence d'un dialogue -temps du passé -3eme personne II...La fait disparaître (=destruction du roman) -début fracassant des le premier mot avec le neo français (doukipudonktan) pensée très basse, qui déstabilise le lecteur -rupture des codes typographiques, on

Une séance, notre professeure de technique de communication nous a propose de changer la monotonie de la classe, et de faire le court dans la nature. Elle nous a demandé de faire un grand cercle dont la professeure été au centre. La professeure a commencée de lancer le premier thème de débat, il concerne le travail. La question été « est ce que le travail fait le bonheur ? ». Au début, le débat été froid, les étudiant ont été timides un petit peu, mais la professeure a les encouragé de prendre

famille : elle interpelle directement son époux, avant de faire valoir ses qualités maternelles en se rapprochant de son fils. Follavoine se tourne vers Chouilloux pour le prendre à témoin, et essaie de tenir Toto à l'écart en n'engageant jamais le dialogue avec lui. Le père est dépossédé de l'autorité qu'il exerce traditionnellement dans la famille bourgeoise : il subit la « scène » que lui fait son épouse ; c'est Julie qui explose, qui agit (elle pose le verre, l. 4, soulève Toto, l. 16, etc.) et

être la culture de notre pays, en matière de gout culinaire par exemple ou notre appartenance sociale. C’est aussi pour cela que la discussion à propos des gouts est inutile. Comme on le voit bien chez Platon, la discussion se présente comme un dialogue qui se tient sur le terrain de la raison argumentative. L’accord avec soi-même, la cohérence est la condition suffisante de l’accord avec les autres. La discussion joue alors le role d’un accordeur. Or on chercherait en vain les principes d’une