Forces aériennes françaises libres

connaîtra que très peu son père. Tout au long de sa vie, Romain Gary a montré de multiples facettes de sa personnalité ; Il a exercé la profession d’écrivain bien évidemment mais il entre aussi dans la Résistance en 1935 auprès des Forces aériennes françaises libres pendant la Seconde Guerre mondiale puis commence une carrière diplomatique en 1945. Gary restera un important écrivain de la seconde moitié du XXe siècle ; il est le seul écrivain à avoir reçu le prix Goncourt à deux reprises ; la

distingue cependant par des prix de composition française qu’il obtient en 1931 et 1932. Il obtient une licence de droit en 1938, tout en suivant une formation militaire. Il publie ses premières nouvelles « Gringoire ». Il devient français en 1935 et fais son service militaire en 1938 dans l’aviation. En juin 1940, il arrive à échapper au régime de Vichy et parviens à rejoindre Glasgow pour entrer dans les FAFL (Forces Aériennes Françaises Libres). Il est fait capitaine de réserve à la fin de la

des prix de composition française obtenus en 1931 et 1932, en revanche dans les autres matières, sa scolarité est sans grand éclat, excepté en allemand qu'il parle et écrit très correctement. Romain Kacew , en 1936 déménage, après avoir fait un court séjour à Aix-en-Provence, il va s'installer à Paris pour étudier le droit, il va obtenir péniblement sa licence en 1938.| En parallèle, il suit une préparation militaire. En attendant son incorporation dans l'armée française, Gary, au terme de médiocres

Ses débuts Après un court séjour à Aix-en-Provence, Romain Kacew monte à Paris pour « faire son droit ». Il obtient péniblement sa licence en 1938 et suit en parallèle une préparation militaire : « En attendant son incorporation dans l'armée française, Gary, au terme de médiocres études, bûchait sa procédure. »[4]. Il révise au petit jour et passe l'essentiel de son temps à écrire. C'est à cette époque qu'il publie ses premières nouvelles dans Gringoire, un hebdomadaire qui s'oriente ensuite à

le nom de Romain Gary, "Gary" signifie brûle en russe. Il est Naturalisé français en 1935 (accordé une nationalité à un étranger). En 1938, Romain Gary fait son service militaire dans l'aviation. Deux ans plu tard il sert dans les forces aériennes françaises libres (FAFL). En 1940, il part à la bataille de l'Angleterre. Puis il devient capitaine de réserve. Il est décoré : * Commandeur de la légion d'honneur. * Compagnon de la libération (20 novembre 1944). * Médaille de la résistance

distingue essentiellement par des prix de composition française, obtenus en 1931 et 1932, « dans les autres matières, excepté l'allemand qu'il parle et écrit très correctement, il est médiocre »5. Ses débuts Après un court séjour à Aix-en-Provence, Romain Kacew monte à Paris en 1936 pour « faire son droit ». Il obtient péniblement sa licence en 1938 et suit en parallèle une préparation militaire : « En attendant son incorporation dans l'armée française, Gary, au terme de médiocres études, bûchait sa

commençait déjà à recevoir des prix de compositions françaises à l’école. Il avait reçu, plus tard, son diplôme de droit à Paris et s’était inscrit dans l’armée de l’air. Pendant l’occupation nazie en France, il avait rejoint le Général Charles de Gaulle pour faire partie de la résistance française. C’est là où il avait changé son nom à Romain Gary. Comme pilote, il a fait partie de nombreux projets avec les Forces Aériennes Françaises Libres et a reçu plusieurs médailles comme la Légion d’honneur

Madame Rosa, Simone Signoret remporta le César de la meilleure actrice. Le service militaire : Il obtient la nationalité française en 1935 et est appelé au service militaire dans l'aviation. En juin 1940, alors qu'il se trouvait à Bordeaux, il s'évade en avion jusqu'à Alger, se rend à Casablanca, à Glasgow après quoi il s'engage dans les forces aériennes françaises libres et sert ensuite dans de nombreux pays. En février 1943, il est rattache au Groupe de bombardement Lorraine en Grande-Bretagne

distingue essentiellement par des prix de composition française, obtenus en 1931 et 1932, « dans les autres matières, excepté l'allemand qu'il parle et écrit très correctement, il est médiocre »5. Ses débuts Après un court séjour à Aix-en-Provence, Romain Kacew monte à Paris en 1936 pour « faire son droit ». Il obtient péniblement sa licence en 1938 et suit en parallèle une préparation militaire : « En attendant son incorporation dans l'armée française, Gary, au terme de médiocres études, bûchait sa

prix Goncourt pour ses romans La Vie devant soi (publié sous le pseudonyme d’Émile Ajar) et Les Racines du ciel. L’homme produit une oeuvre vivante et ironique qui se rapproche du courant postmoderniste. Devenu résistant auprès des Forces aériennes françaises libres en 1940, il embrasse ensuite une carrière diplomatique. L’écrivain s’invente plusieurs biographies et constitue à lui seul une métaphore de la liberté : Romain est insaisissable de par sa pluralité, il n’a jamais été autre chose que