Foret Amazonienne

Les enjeux géopolitiques de la forêt amazonienne L’élection de Lula à la présidence brésilienne le 30 octobre dernier permet de reconsidérer les questions qui entourent la forêt amazonienne, mais également les échanges internationaux et les intégrations régionales autour de l’Amazonie. La nouvelle présidence de Lula, après la présidence de Jair Bolsonaro,  Dans ce dossier, nous étudierons les enjeux géopolitiques que soulève la forêt amazonienne. Avant de s’intéresser à ces enjeux, nous

Qui doit protéger la forêt amazonienne ?La forêt amazonienne, ou le problème de la protection d’une forêt sur neufs États, la plus grande forêt du monde ? Intro : forêt amazonienne : 5,5M de km2 de forêt + 20% de l’eau douce non gelée de la Terre = 7,4M de km2 bassin amazonien = la plus grande forêt au monde 420 tribus (34 M d’hab.) le tout sur près de, 40% de la superficie de l’Am du SudDe quelle manière les enjeux de protection de la forêt amazonienne sont-ils un problème de taille pour sa gouvernance 

auxquelles élèves et professeurs sont constamment exposés. On en retiendra : 1. que la déforestation de l’Amazonie est très importante, au rythme d’environ 140 km2 par jour (chaque seconde, 5 000 m2 de forêt primaire disparaissent, entrainant la perte de 72 espèces par jour) ; à un tel rythme, la forêt pourrait disparaître d’ici au milieu du siècle ; 2. que cette déforestation est pour l’essentiel menée illégalement (on estime que 80 % des grumes coupées en Amazonie brésilienne le sont sans autorisation)

idées reçues, voire les idées fausses ne manquent pas. On en retiendra : 1. que la déforestation de l’Amazonie est très importante, au rythme d’environ 140 km2 par jour (chaque seconde, 5 000 m2 de forêt primaire disparaissent, entrainant la perte de 72 espèces par jour) ; à un tel rythme, la forêt pourrait disparaître d’ici au milieu du siècle ; 2. que cette déforestation est pour l’essentiel menée illégalement (on estime que 80 % des grumes coupées en Amazonie brésilienne le sont sans autorisation)

idées reçues, voire les idées fausses ne manquent pas. On en retiendra : 1. que la déforestation de l’Amazonie est très importante, au rythme d’environ 140 km2 par jour (chaque seconde, 5 000 m2 de forêt primaire disparaissent, entrainant la perte de 72 espèces par jour) ; à un tel rythme, la forêt pourrait disparaître d’ici au milieu du siècle ; 2. que cette déforestation est pour l’essentiel menée illégalement (on estime que 80 % des grumes coupées en Amazonie brésilienne le sont sans autorisation)

FRANÇAIS Questions p194 : le Vieux qui lisait des romans d’amour, 1-a.L’ancien nom des shuars est jivaros, peuple amérindien et habitants de la forêt de la haute Amazone. Dans leur langue « shuar » signifie « les gens ». Le nom de « jivaros » a été donné par les envahisseurs espagnols. Il veut dire sauvage ou barbare. Les jivaros « réducteurs de têtes » étaient connu comme un peuple très puissant et féroce car ils ne faisaient aucun prisonnier. Ils tuaient et arrachaient les têtes de

Le Serpent Phallus – Amazonie Le reptile Atretochoana eiselti est une créature rare ressemblant à une partie de l’anatomie masculine, il a été découvert en Amazonie. Jusqu’en 2011, il n’y avait que deux spécimens connus. Atretochoana eiselti est le plus grand caecilian du monde, un amphibien sans membres, atteignant une longueur de 75 cm. On en sait peu sur l’espèces mais on pense qu’il lui manque des poumons et qu’il respire par la peau. Cette espèce est endémique du Brésil, elle se rencontre

Lors de la présentation des thèmes par les professeurs celui de l'homme et la nature ma tout de suite plu et c'est celui qui m'a paru le plus intéressant. Ensuite les professeurs nous ont expliqué qu'il fallait ce mettre par groupe de trois. J'ai concerté toutes les personnes et puis mon choix c'est fait très rapidement d'une part par affinité mais aussi car ces deux personnes étaient tout de suite très intéressé par ce thème et semblait être déterminé,ces personnes se nomment Nicolas Meynieux et

compagnie aujourd'hui, nous accueillons l'éminent professeur Hadrien Lavroff, expert en forêt et le réputé géographe Mr Paul-Louis Veisse, qui vont tous deux débattre d'un sujet actuel, tout aussi bouleversant que les autres, la Déforestation. Tous les jours, des forêts, particulièrement sous les tropiques, disparaissent à une vitesse inquiétante environ 3 millions de km². Tous les ans, 13 millions d’hectares de forêts sont déboisés ; additionnés, ils représentent la superficie de pays entiers comme

de sa patrie, avec la colonisation forcée et la déforestation de la forêt amazonienne. Lorsque Luis dit qu’ils souillent la virginité de l’Amazonie, il veut enfaite dire qu’ils exploitent des ressources qui n’avait pas été exploité et qui ne devrait pas l’être. C’est aussi avec se même point de vue qu’il décrit les profondeurs de la forêt, n’ayant pas été exploité, il dit alors : « (…) l’emportèrent dans les profondeurs de la forêt, vers les territoires jamais profanées par l’homme blanc (…) ». Ainsi