Forêt Méditerranéenne

Dossier de l’environnement de l’INRA, n°21 139 Protection de la forêt méditerranéenne contre les incendies et biodiversité Michel Étienne INRA - Unité d’Écodéveloppement Site Agroparc, 84914 Avignon cedex 9 etienne@avignon.inra.fr À partir des années 1970, des aménagements de défense de la forêt contre les incendies (DFCI) ont été mis en place en forêt méditerranéenne. Leur principal objectif était de créer des discontinuités au sein des massifs forestiers au moyen de bandes régulièrement

hydrique de Sebou qui dispose d’une nappe phréatique importante), et les sols fertiles dans les plaines au Nord Ouest de pays où le climat méditerranéenne est dominante. Par contre, ces deux ressources naturelles sont de faible importance ou quasiment inexistant dans d’autres parties du pays on réside le climat subsaharienne a caractéristique aride. * Le foret est majoritaire dans l’Atlas, le Rif et la plaine de Maamora, et regroupe très essentiellement à savoir le chêne verte, chêne liège, et junipére

milliers de maisons, de forêts et même de villes et, malheureusement, la liste n'en finira jamais. De l'Antiquité jusqu'à nos jours, les hommes ont peur du feu car face aux grandes flammes, la puissance humaine n'est rien. I-Définition : Le terme incendie a été emprunté par la langue française au XVIe siècle au latin « incendium » (embrasement), dérivé de « incendere » (allumer). Il désigne un feu violent, un embrasement qui se propage à un édifice, une maison, une forêt, etc. L'incendie est une

sortie est la forêt « Mkhinza » qui est une partie de la forêt de Temara et une extension de la forêt Maamoura , elle se trouve sur une hauteur de 150m au-dessus du dol, et se situe à 13Km de Rabat. La forêt « Mkhinza » est un milieu naturel riche en plantes. Elle est appelée « Mkinza » d’après la plante du même nom connue pour ses vetus bénéfiques pour la santé. On peut ajouter aussi le fait que la forêt est composée essentiellement de plante règne Cormophytes. La forêt est divisée en

comptes rendus La forêt de la Mamora Les rencontres du CERASE, Rabat (Maroc), 19-21 décembre 1996. Par Claire Villemant et Dominique Titolet Organisé par le Centre d'études et de recherches appliquées aux sciences de l'eau et de l'environnement (CERASE), ce colloque a bénéficié de l'appui de l'Union européenne et du Goethe Institut de Rabat. Ses objectifs étaient de dresser un bilan de l'état de la forêt de la Mamora et de proposer des actions visant à concilier la protection du patrimoine forestier

CIHEAM - Options Mediterraneennes A la recherche d'une d6finitiors des statuts fonciers au Maroc Jeanne CHICHE, hstitut Agronomiye Véfédnahe Hassan Rabat (Maroc) et Il Résumé: A travers une observation de fa situation de IWlisation et de Itmupation desterresetdesarguments développésparlesdifférentespgnlesenprésencedans différents du lieux Maroc, l'auteur les pose jalons d'un dagnostk sur fe contexfe du débat sortà &he au sfatut sur le desterresjusquSnouvelordrecollectives.Ladiscussion sbppuk

Introduction L’Amazonie accumule les superlatifs à l’échelle mondiale : plus grande forêt tropicale avec près de 7,5 millions de km2, plus grand réservoir de biodiversité avec des dizaines de nouvelles espèces découvertes chaque année, plus grande réserve d’eau douce avec près de 20 % de l’eau disponible sur la planète, d’innombrables ressources minérales, végétales et animales de son sol et de son sous-sol, etc. La fantastique richesse naturelle de l’Amazonie a attiré les premiers colonisateurs

l’absence du froid hivernal et par l’existence des forets humides. Certains sont froids avec un hiver marqué comme Saint Pierre et Miquelon. Dans l’ensemble, il s’agit de territoires moins transformés par l’Homme avec une biodiversité moins forte mais particulièrement fragile, très sensible à l’érosion torrentielle sur les pentes volcaniques (Antilles, Réunion). Le milieu actuellement le plus menacé est la forêt de Guyane, vaste fragment de l’immense forêt amazonienne trop étendue dans un espace sous

l'administration centrale, il y resta comme inspecteur adjoint puis comme inspecteur jusqu'au 21 février 1913. A cette date se place une nomination qui devait décider de son avenir. Le Général LYAUTEY songeait à protéger et à mettre en valeur les forêts du Maroc et demandait, à cet effet, l'assistance d'un forestier. C'était là une préoccupation, assurément peu commune dans les milieux militaires, qui n'étonne pas quand on sait que ce grand chef qui était né et avait passé son enfance dans une

présidentiel N° 84/326 du 3 Novembre 1984, au même moment que les deux Parcs Nationaux de Gouraya et de Taza. Sa classification a été motivée par la présence de grandes étendues de cèdre de l'Atlas dans une zone de grandes influences saharienne et méditerranéennes, la présence d'un patrimoine archéologique et historique d'une valeur inestimable et une mosaïque de zone humides au Nord- Nord-Est. Situation géographique Le Parc National de Belezma se situe dans la partie orientale de l'Algérie du Nord,