Foret Amazonienne

transmis l'amour de la nature, la connaissance de la forêt, de sa faune et de sa flore. Il découvert chez les Shuars leur sens de la liberté, entre rêve et réalité. De cette expérience, il a gardé un mode et un cadre de vie simples, il vit dans une cabane, avec une table haute et une loupe pour lire, un hamac, du matériel de cuisine et de toilette simplissime. Il mène donc une existence paisible, ignorant le temps, l'espace, entièrement hypnotisé par la forêt, savourant sa liberté. Malgré tout, il est issu

mangroves. Le climat est équatorial au nord ; vers le sud, il devient tropical puis subtropical, avec une humidité variable. La chaleur de l’été n’est atténuée que par l’altitude. Au nord, le paysage est dominé par la forêt pluviale tropicale à feuilles persistantes dont la forêt amazonienne est un exemple unique au monde. On y trouve non seulement des essences rares, mais aussi beaucoup d’autres plantes ainsi qu’une faune d’une variété exceptionnelle : jaguars et pumas, anacondas et dauphins, perroquets

Le Vieux qui lisait des romans d'amour, de Luis Sepulveda A El Idilio, petit village situé à l'orée de la forêt amazonienne, les anciens colons cohabitent tant bien que mal avec les chercheurs d'or, les aventuriers partis à la recherche de l'Eldorado et avec les Jivaros, des Indiens rejetés par leur propre peuple et hantant le port en quête d'alcool. La bourgade est administrée par un maire obèse suant continuellement à grosses gouttes et surnommé "La Limace" par les habitants du village. En dehors

l’agriculture productiviste.. III / Un chemin difficile vers l’agriculture durable brésilienne. A / Le poids considérable de l’agribusiness. B / La mise en place de l’agriculture bio et du commerce équitable. C / La protection de la forêt amazonienne sous l’impulsion de l’État brésilien. MISE EN PERSPECTIVE : Vers une agriculture durable ?

de 15 % . Au cours des trois derniers siècles, les ressources de la forêt ont été exploitées par les humains. Que ce soit pour la recherche de combustibles, de matériaux de construction ou pour l'agriculture la coupe du bois a été et est toujours très pratiquée. Mais il faut savoir que le rythme de destruction de nos espaces forestiers s'est beaucoup accru. Aujourd'hui, il y a un peu moins de quatre milliards d'hectares de forêt sur notre planète ce qui correspond à 30 % de la superficie terrestre

France donc elle peut réaliser beaucoup plus de bénéfice car les salaires brésiliens sont beaucoup moins élevé. Cela se caractérise par une production immense de soja pour nourrir les volailles ce qui emmène une déforestation constante de la foret amazonienne pour pouvoir nourrir les bêtes et avoir un rendement meilleure. Frangosul produit cela essentiellement pour l’étranger l’Afrique (Burkina-Faso, Côte-D’ivoire, Benin et Ghana.) Ceci est dangereux car ces pays là ne peuvent en aucun cas conserver

intensifier ses cultures vivrières plutôt que de continuer à déboiser. A – Pour accroître sa production agricole, le Brésil fait le choix du déboisement de l’Amazonie 1. Agriculture commerciale : un front pionnier qui a déboisé 20 % de la forêt amazonienne 2. Agriculture vivrière : les paysans pauvres du Nordeste empiètent sur l’Amazonie à la recherche de nouvelles terres. B – Plutôt que de continuer à déboiser, le Brésil devrait intensifier sa production vivrière 1. Certaines régions connaissent

Idilio sur le quai du port ,les habitants s’installent sur le fauteuil d’un dentiste appelé Rubicondo Loamin ou il se rende une ou deux fois par an dans ce port surnommé « Sucre ».Le cadavre d'un homme est retrouvé sur une pirogue, en pleine forêt amazonienne . Chapitre 2 : À peine arrivé sur le quai, le maire accuse les Shuars, qu’il traite de « sauvages » (p. 24), d’avoir assassiné l’Américain à la machette. Ceux-ci s’en défendent et Bolivar les soutient : après avoir examiné le cadavre, il conclut

la capacité de nous surprendre, la curiosité et le respect pour ceux qui ne vivent pas si commodément comme nous... Tous ne sommes pas préparés pour monter(lever) le toit(plafond) du monde, nous ne sommes pas tous préparés pour vivre dans la forêt amazonienne et pour vivre ensemble avec les indigènes, bien qu'aujourd'hui toutes ces destinations(destins) "exotiques" qu’ offrent les agences de voyages en tourisme de masses. Il faut savoir respecter la nature et les communautés qui y habitent depuis

| | | |- la selva (la forêt amazonienne) : sol très pauvre (indice de fertilité le plus bas du monde). Représente 57% du| | |territoire du Pérou. Certains morceaux de forêts sont partagés avec les pays frontaliers. | | |