Francisco de Zurbarán

muestra la caricatura de Luis Fabián Gaspardo representado Hércules transformado en Rafaël Nadal. El héroe presentado está siempre tan fuerte, sus armas son su raqueta y una bala, que le permitan  ser famoso.  En cambio, sobre la pintura de Francisco de Zurbarán “Hércules y el cancerbero” la leyenda de ayer sirve el héroe hoy. Como Hércules, Nadal tiene que vencer Cancerbero y demonstrar su valiente.   Au contraire, il existe des héros d’aujourd’hui, réels, célèbre pour leurs exploits comme le montre

très semblable a celui que Claudie Gagnon en a fait, il exclut cependant le chien de notre vision, mais il reste présent par le son. -ZURBARAN, Francisco, Sainte-Agathe, 1630. Cette toile de Zurbaran est représentative du siècle d’or. C’est une commande faite par l’église. Cette femme c’est fait trancher les deux seins, car elle avait refusé à des avances. Zurbaran ne devait pas utiliser de sang, car celui-ci était réservé au Christ, il a donc du représenter cette affreuse histoire dans froisser

une des principales œuvres et le premier tableau représentant un garçon des rues du peintre espagnol Estéban Murillo (1618-1682). Murillo fait parti du mouvement baroque espagnol du XVIIème siècle. Il est, avec les peintres Diego Velázquez, Francisco Zurbaran et José de Ribera, l'un des principaux représentants du siècle d'Or espagnol (période de rayonnement culturel de l'Espagne au XVIIème siècle en Europe) et le chef de fil de l'école de Séville, second centre artistique de l'Espagne après Madrid

cronológica y geográfica, la obra se adscribe estilísticamente al ámbito del barroco hispánico. La época barroca ha sido tradicionalmente considerada la más esplendorosa de la pintura española, ya que en ella florecieron figuras como Ribera, Velázquez, Zurbarán o Murillo. Sin embargo, no voy a ofrecer en este trabajo una Historia del Arte basada en los artistas, pues supondría una innecesaria jerarquización en la que Ignacio de Ríes sería considerado “pintor de segunda fila”; cuando el propósito de este

Valence, le style baroque naturaliste apparaît dans l'oeuvre de Francisco Ribalta (1565-1628), encore inspiré par la haute Renaissance italienne et Titien et par José de Ribera. Séville et Madrid devinrent les deux plus grands centres de l'art baroque espagnol avec, au début du XVIIe siècle Juan de las Roelas (!?- 1625), Francisco Pacheco (1564-1654), et Francisco de Herrera le Vieux. Installé à Séville dès 1629, Francisco de Zurbarán subit l'influence du naturalisme caravagesque et de la sculpture

l’épaule (1518, Louvre). Titien a peint deux beaux portraits de lui-même en vieillard dans les années 1560. Véronèse apparaît pour sa part en violiste vêtu de blanc dans les Noces de Cana, au côté de Titien jouant de la viole de gambe (1562). Francisco de Zurbarán en saint Luc peintre devant la Crucifixion À l'exception peut-être d'Annibal Carrache, les Italiens ne sont pas, jusqu'au XVIIe siècle, des adeptes du genre. Le Caravage, cependant, s'il ne laisse aucun autoportrait à proprement parler, se

espagnol se montra particulièrement productif pendant le Siècle d’or. José de Ribera, qui travailla à Naples, suivit l’exemple du Caravage dans l’utilisation de violents contrastes entre ombre et lumière. La collection comprend aussi plusieurs toiles de Zurbaran qui s’illustra dans la nature morte et les portraits de moines et de saints. C’est toutefois Diego Velazquez, peintre de la cour pendant près de 40 ans, qui domine cette époque. Son génie s’exprime aussi bien dans les portraits que dans les

politique espagnole, puis la guerre d'Espagne oriente ce nouveau style vers le pessimisme et la révolte. En 1935, Une exposition des chefs-d’oeuvre du musée de Grenoble est organisée au Petit Palais à Paris où Picasso aurait pu admirer les oeuvres de Zurbarán qu’il cite à Kahnweiler lors de l’un de ses entretiens. (Daniel-Henry Kahnweiler, « Huit entretiens avec Picasso », Le Point, Mulhouse, n°XLII (octobre 1952). Le 5 septembre, Marie-Thérèse donne naissance à une fille, Maria de la Concepción, surnommée

ou de Baglione pour ne prendre qu’eux se justifie parfaitement à travers des tableaux franchement caravagesques par des peintres qui ne le furent pratiquement pas, on ne comprend pas bien ce que Guerchin, Michiel Sweerts, Leonaert Bramer ou même Zurbaran et Velázquez ont de caravagesque. Quant à Rembrandt, l’exposition Rembrandt-Caravage d’Amsterdam, il y a quelques années, avait suffi à montrer qu’il n’y a absolument rien de commun entre les deux peintres. Le réalisme, même agrémenté d’effet luministe

parallèlement fréquente l’atelier un peintre d’histoire qui l’encourage dans la voie artistique[2]. Courbet se rend aussi au musée du Louvre[->2] pour y étudier les maîtres, en particulier les peintres de l’école espagnole du XVIIe siècle Vélasquez[->3], Zurbaran[->4] et Ribera[->5]. Il est admiratif du clair-obscur hollandais, de la sensualité vénitienne et du réalisme espagnol. Courbet est un œil, il a un sens unique de l'alchimie visuelle. Il est aussi influencé par les œuvres de Géricault[->6] dont il