Frédégonde

longuement dans ses Dix livres d'histoires : Une querelle familiale opposa en effet pendant près de cinquante ans les deux fils de Clotaire Ier, à savoir Chilpéric Ier et Sigebert Ier, ainsi que leurs conjointes respectives, Frédégonde et Brunehilde. Selon Grégoire de Tours, Frédégonde, maîtresse de Chilpéric Ier, fit assassiner la femme de celui-ci, Galswinthe, une princesse wisigothique. La sœur de Galswinthe, Brunehilde, également épouse de Sigebert Ier, demanda alors à son mari de réagir en demandant

diversité amena entre les deux peuples une rivalité sanglante qui dura plus d'un siècle et finit par le triomphe de l'Austrasie. Deux femmes célèbres par leurs crimes, commencèrent cette lute et l'excitèrent longtemps : Frédégonde, femme de Chilpéric, et Brunehaut, femme de Sigebert. Frédégonde, après avoir remporté plusieurs victoires[5] sur les Austrasiens, mourut en 597, laissant une mémoire chargée de crimes. Brunehaut était une reine aux passions violentes ; mais elle était bien supérieure à sa

! ! ! ! ! ! ! ! B) Des princesses et des reines! Elles sont pour Grégoire de Tours responsables de tous les maux du royaume.! En tête figure la reine Brunehaut, sa soeur Galswinthe, et Frédégonde, concubine de Chilpéric qui va assassiner sa rivale Galswinthe en 568.! Frédégonde est à l’origine de nombreux assassinats : Sigebert Ier, roi d’Austrasie en 575, son mari, ses enfants ont disparu dans des circonstances troubles, Prétextat l’évêque de Rouen en 586. Elle tue aussi Audovère

Clotaire I, de 558 à 561. Par là suite, de nombreux conflits ont été générés par les divisions et les successions, l'exemple le plus connu étant la lutte fratricide entre Brunehaut et Frédégonde, les deux sœurs Wisigoths, épouses respectives de Sigebert et Chilpéric. Cependant en 613, Clotaire II, le fils de Frédégonde et Chilpéric, est le seul héritier mâle de l'ensemble du Regnum Francorum. Un an après, en 614, il promulgue un édit, connu sous le nom de « Édit de Clotaire II », à Paris. Ce texte

marchent contre Clotaire II , fils de Frédégonde , qui vient à leur rencontre : mais alors que la bataille est sur le point de s’engager, l’armée de Sigebert (et particulièrement les austrasiens travaillés par Warnacharius )se retire. Clotaire capture trois des fils de Thierry , tue Sigebert et Corbus , et envoie secrétement Mérovée ,qu’il a tenu sur les fonts baptismaux, en Neustrie .Ce texte présente donc la fin de la faide qui opposait Brunehaut et Frédégonde, qui s’est perpétuée après la mort de

Partage du royaume entre les trois frères. Sigebert, roi d’Austrasie (nord-est), épouse Brunehaut, la fille du roi W. Chilpéric épouse Galswinthe, sœur de Brunehaut, mais garde sa concubine Frédégonde. 575 : Frédégonde fait assassiner Galswinthe. 584 : Mort de Chilpéric Ier, sans doute assassiné par sa femme Frédégonde, qui devient seule reine de Neustrie. Mineur, son fils Clotaire II doit lui succéder mais la régence est confiée à Gontran. 28 mars 592 : Mort de Gontran, roi de Bourgogne. Royaume Franc

1er a 4 fils) puis en 567,à la mort de Caribert,l'un des fils de Clotaire 1er,en 3:l'Austrasie,la Burgondie et la Neustrie. Bien vite,cette situation va causer des conflits notamment entre Brunehaut(534-613) femme de Sigebert,roi d'Austrasie et Frédégonde(545-597),femme de Chilpéric,roi de Neustrie.C'est ainsi que durant quarante ans,les rois et les épouses des différents royaumes francs vont se livrer une guerre sans merci. Comment Clotaire II va t-il parvenir à unir à nouveau la Gaule ? Dans

décédés, les trois frères ont chacun obtenu une part du royaume franc, mais continuent d’intriguer pour s’emparer du territoire des autres. Ce conflit latent est accentué par la haine farouche que se vouent les deux épouses royales : Brunehaut et Frédégonde. Le document s’ouvre sur une brève introduction, ou l’auteur – Grégoire de Tours- est lui-même acteur, et appartient au camp de Childebert. Le pacte est retranscrit dans son intégralité et son caractère officiel est souligné par une formule d’introduction

Bérénice acte II scène 4 Dans l’acte II scène 4, Bérénice et Titus entretiennent un dialogue déséquilibré. En effet, Bérénice cherche des réponses à ses questions auxquelles Titus ne parvient pas à répondre. 1 et 2) Dans ses répliques Bérénice ne cesse de questionner Titus. On peut le remarquer avec de nombreuses interrogations « ? » (v.562, 570, 573, 574, 575, 579, 580, 582, 584, 590, 591, 592 ; 596, 597, 598, 599, 619, 620, 629). Les phrases exclamatives « ! » (v.569, 571, 581, 596, 610, 619)

successeurs du trône. Mais en réalité les enfants sont pris en otage. Le plus jeune des enfants est épargné de la mort, il deviendra moine dans un monastère qui porte son nom Clodoald puis Cloud, et enfin plus tard Saint-Cloud. 9) Brunehaut et Frédégonde : deux reines Elles ont lutté pour acquérir du pouvoir. A la mort de Clovis, en 511, le royaume est partagé selon la loi germanique entre ses fils. Ceux-ci s’unissent pour agrandir le territoire et vainquent, en 523, le roi burgonde Sigismond